APOCALYPSE SELON SAINT JEAN…CROYANT OU NON, C’EST TROUBLANT…
APOCALYPSE SELON SAINT JEAN
Et j’entendis une voix qui, du temple, criait aux sept Anges :
» Allez, répandez sur la terre les sept coupes de la colère de Dieu. « (16)
LA CITÉ, LES ROIS, LES HOMMES
Et l’un des 7 anges qui tenaient les 7 coupes s’avança et me parla en ces termes: Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui réside au bord des océans. Avec elle les rois de la terre se sont prostitués, et les habitants de la terre se sont enivrés du vin de sa prostitution. Alors il me transporta en esprit au désert.
LA CITÉ :
MÈRE DES PROSTITUÉS ET DES ABOMINATIONS
DE LA TERRE
Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, couverte de noms blasphématoires, et qui avait 7 têtes et 10 cornes.
La femme, vêtue de pourpre et d’écarlate, étincelait d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or pleine d’abominations: les souillures de sa prostitution. Sur son front un nom était écrit, mystérieux: Babylone la grande, mère des prostitués et des abominations de la terre. Et je vis la femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. A sa vue je restai confondu. Alors l’ange me dit: pourquoi cette stupeur ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête aux 7 têtes et aux 10 cornes qui la porte.
LA BÊTE, LES 7 TÊTES, ET LES 10 CORNES
La bête que tu as vue était, mais elle n’est plus. Elle va monter de l’abîme et s’en aller à la perdition. Et les habitants de la terre, dont le nom n’est pas écrit, depuis la fondation du monde, dans le livre de vie, s’étonneront en voyant la bête, car elle était, n’est plus, mais reviendra.
C’est le moment d’avoir l’intelligence que la sagesse éclaire : Les 7 têtes sont les 7 montagnes où réside la femme. Ce sont aussi 7 rois. 5 d’entre eux sont tombés, le 6ème règne, le 7ème n’est pas encore venu, mais quand il viendra, il ne demeurera que peu de temps.
La bête qui était et qui n’est plus, est elle-même un 8ème roi. Elle est du nombre des 7 et s’en va à la perdition.
Les 10 cornes que tu as vues sont 10 rois qui n’ont pas encore reçu la royauté, mais, pour une heure, ils partageront le pouvoir royal avec la bête. Ils n’ont qu’un seul dessein: mettre au service de la bête leur puissance et leur pouvoir. Ils combattront l’agneau et l’agneau les vaincra, car il est Seigneur des seigneurs et Roi des rois, et avec lui les appelés, les élus et les fidèles vaincront aussi.
L’ACCOMPLISSEMENT DE LA BÊTE
Puis il me dit: Les eaux que tu as vues, là où réside la prostituée, ce sont des peuples, des foules, des nations et des langues. Les 10 cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, elles la rendront solitaire et nue. Elles mangeront ses chairs et la brûleront au feu. Car Dieu leur a mis au coeur de réaliser son dessein, un même dessein: mettre leur royauté au service de la bête jusqu’à l’accomplissement des paroles de Dieu. Et la femme que tu as vue, c’est la grande cité qui règne sur les rois de la terre. (17)
LA CHUTE
UN MONDE IMPUR
Je vis ensuite un autre ange descendre du ciel. Il avait un grand pouvoir et la terre fut illuminée de sa gloire. Il s’écria d’une voix forte: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande. Elle est devenue demeure de démons, repaire de tous les esprits impurs, repaire de tous les oiseaux impurs et odieux. Car elle a abreuvé toutes les nations du vin de sa fureur de prostitution; les rois de la terre se sont prostitués avec elle, et les marchands de la terre se sont enrichis de la puissance de son luxe.
PÊCHÉS ET FLÉAUX
Et j’entendis une autre voix qui, du ciel, disait: Sortez de cette cité, ô mon peuple, de peur de participer à ses péchés, et de partager les fléaux qui lui sont destinés. Car ses péchés se sont accumulés jusqu’au ciel, et Dieu s’est souvenu de ses injustices. Payez-la de sa propre monnaie, rendez-lui au double ce qu’elle a fait. Dans la coupe où elle a mêlé ses vins, mêlez-en pour elle le double. Autant elle s’est complu dans la gloire et le luxe, autant rendez-lui de tourment et de deuil. Puisqu’elle dit en son coeur: je trône en reine et ne suis point veuve, jamais je ne verrai le deuil. A cause de cela viendront sur elle, en un seul jour, les fléaux qui lui sont destinés: mort, deuil, famine, et elle sera consumée par le feu. Car puissant est le Seigneur Dieu qui l’a jugée.
LE TEMPS DES LAMENTATIONS
MALHEUR ! MALHEUR !
Alors ils pleureront et se lamenteront sur elle, les rois de la terre qui ont partagé sa prostitution et son luxe, quand ils verront la fumée de son embrasement. Ils se tiendront à distance par crainte de son tourment, et ils diront: Malheur ! Malheur ! Ô grande cité, Babylone cité puissante, il a suffi d’une heure pour que tu sois jugée !
Et les marchands de la terre pleurent et prennent son deuil, car nul n’achète plus leurs cargaisons, cargaisons d’or et d’argent, de pierres précieuses et de perles, de lin et de pourpre, de soie et d’écarlate; bois de senteur, objets d’ivoire, de bois précieux, de bronze, de fer ou de marbre, cannelle et amome, parfums, myrrhe et encens, le vin et l’huile, la fleur de farine et le blé, les boeufs et les brebis, les chevaux et les chars, les esclaves et les captifs.
Le fruit que désirait ton âme s’en est allé loin de toi. Tout ce qui est raffinement et splendeur est perdu pour toi. Jamais plus on ne le retrouvera. Les marchands qu’elle avait enrichis de ce commerce, se tiendront à distance par crainte de son tourment.
Dans les pleurs et le deuil, ils diront: Malheur ! Malheur ! La grande cité, vêtue de lin, de pourpre et d’écarlate, étincelante d’or, de pierres précieuses et de perles, il a suffi d’une heure pour dévaster tant de richesses ! Et tous les pilotes, tous ceux qui naviguent dans les parages, les marins et tous ceux qui vivent de la mer, se tenaient à distance, et s’écriaient en voyant la fumée de son embrasement: Quelle cité était comparable à la grande cité ? Ils se jetaient de la poussière sur la tête, poussaient des cris de larmes et de deuil en disant: Malheur ! Malheur ! La grande cité dont l’opulence a enrichi tous ceux qui ont des vaisseaux sur la mer, il a suffi d’une heure pour qu’elle soit dévastée ! Réjouis-toi de sa ruine, ciel ! Et vous aussi, les saints, les apôtres et les prophètes, car Dieu, en la jugeant, vous a fait justice. (18)
LE JUGEMENT
ALLÉLUIA !
Alors un ange puissant saisit une pierre comme une lourde meule et la précipita dans la mer en disant: avec la même violence sera précipitée Babylone, la grande cité. On ne la retrouvera plus. Et le chant des joueurs de harpe et des musiciens, des joueurs de flûte et de trompette, on ne l’entendra plus chez toi. Aucun artisan d’aucun art ne se trouvera plus chez toi. Et le bruit de la meule, on ne l’entendra plus chez toi. La lumière de la lampe ne luira plus chez toi. La voix du jeune époux et de sa compagne, on ne l’entendra plus chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que tes sortilèges ont séduit toutes les nations et que chez toi on a trouvé le sang des prophètes, des saints et de tous ceux qui ont été immolés sur la terre. (18)
Ensuite j’entendis comme la grande rumeur d’une foule immense qui, dans le ciel, disait: alléluia ! Le salut, la gloire et la puissance sont à notre Dieu. Car ses jugements sont pleins de vérité et de justice. Il a jugé la grande prostituée qui corrompait la terre de sa prostitution, et il a vengé sur elle le sang de ses serviteurs. Et de nouveau ils dirent: alléluia ! Et sa fumée s’élève aux siècles des siècles.
Les 24 anciens et les 4 animaux se prosternèrent, ils adorèrent le Dieu qui siège sur le trône et dirent: amen. Alléluia! Alors sortit du trône une voix qui disait: louez notre Dieu, vous tous ses serviteurs, vous qui le craignez, petits et grands! Et j’entendis comme la rumeur d’une foule immense, comme la rumeur des océans, et comme le grondement de puissants tonnerres.
Ils disaient: alléluia! Car le Seigneur, notre Dieu Tout-Puissant, a manifesté son Règne. Réjouissons-nous, soyons dans l’allégresse et rendons-lui gloire, car voici les noces de l’agneau. Son épouse s’est préparée, il lui a été donné de se vêtir d’un lin resplendissant et pur, car le lin, ce sont les oeuvres justes des saints.
Un ange me dit: écris ! Heureux ceux qui sont invités au festin des noces de l’agneau ! Puis il me dit: Ce sont les paroles mêmes de Dieu. Alors je me prosternai à ses pieds pour l’adorer, mais il me dit: Garde-toi de le faire ! Je suis un compagnon de service, pour toi et pour tes frères qui gardent le témoignage de Jésus. C’est Dieu que tu dois adorer, car le témoignage de Jésus, c’est l’esprit de la prophétie. (19)
LE COMBAT
Alors je vis le ciel ouvert: c’était un cheval blanc, celui qui le monte se nomme Fidèle et Véritable. Il juge et il combat avec justice. Ses yeux sont une flamme ardente; sur sa tête, de nombreux diadèmes, et, inscrit sur lui, est un nom qu’il est seul à connaître.
Il est revêtu d’un manteau trempé de sang, et il se nomme: la Parole de Dieu. Les armées du ciel le suivaient sur des chevaux blancs, vêtues d’un lin blanc et pur. De sa bouche sort un glaive acéré pour en frapper les nations. Il les mènera paître avec une verge de fer, il foulera la cuve où bouillonne le vin de la colère du Dieu Tout-Puissant. Sur son manteau et sur sa cuisse il porte un nom écrit: Roi des rois et Seigneur des seigneurs.
Alors je vis un ange debout dans le soleil. Il cria d’une voix forte à tous les oiseaux qui volaient au zénith: venez, rassemblez-vous pour le grand festin de Dieu, pour manger la chair des rois, la chair des chefs, la chair des puissants, la chair des chevaux et de ceux qui les montent, la chair de tous les hommes, libres et esclaves, petits et grands. Et je vis la bête, les rois de la terre et leurs armées, rassemblés pour combattre le cavalier et son armée.
La bête fut capturée, et avec elle le faux prophète qui, par les prodiges opérés devant elle, avait séduit ceux qui avaient reçu la marque de la bête et adoré son image. Tous 2 furent jetés vivants dans l’étang de feu embrasé de soufre. Les autres périrent par le glaive qui sortait de la bouche du cavalier, et tous les oiseaux se rassasièrent de leurs chairs. (19)
LE RÈGNE DES 1.000 ANS
LA 1ÈRE RÉSURRECTION
Alors je vis un ange qui descendait du ciel. Il avait à la main la clé de l’abîme et une lourde chaîne. Il s’empara du dragon, l’antique serpent, qui est le Diable et Satan, et l’enchaîna pour 1.000 ans. Il le précipita dans l’abîme, qu’il ferma et scella sur lui, pour qu’il ne séduise plus les nations jusqu’à l’accomplissement des 1.000 ans. Il faut, après cela, qu’il soit relâché pour un peu de temps.
Et je vis des trônes. A ceux qui vinrent y siéger, il fut donné d’exercer le jugement. Je vis aussi les âmes de ceux qui avaient été décapités à cause du témoignage de Jésus et de la parole de Dieu, et ceux qui n’avaient pas adoré la bête ni son image et n’avaient pas reçu la marque sur le front ni sur la main.
Ils revinrent à la vie et régnèrent avec le Christ pendant 1.000 ans.
Les autres morts ne revinrent pas à la vie avant l’accomplissement des 1.000 ans. C’est la 1ère résurrection. Heureux et saints ceux qui ont part à la 1ère résurrection. Sur eux la seconde mort n’a pas d’emprise: Ils seront prêtres de Dieu et du Christ, et régneront avec lui pendant les 1.000 ans.
LE JUGEMENT DERNIER
L’ÉTANG DE FEU
Quand les 1.000 ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison, et il s’en ira séduire les nations qui sont aux 4 coins de la terre, Gog et Magog. Il les rassemblera pour le combat: leur nombre est comme le sable de la mer. Ils envahirent toute l’étendue de la terre et investirent le camp des saints et la cité bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel et les dévora. Et le diable, leur séducteur, fut précipité dans l’étang de feu et de soufre, auprès de la bête et du faux prophète. Et ils souffriront des tourments jour et nuit aux siècles des siècles.
Alors je vis un grand trône blanc et celui qui y siégeait: devant sa face la terre et le ciel s’enfuirent sans laisser de traces. Et je vis les morts, les grands et les petits, debout devant le trône, et des livres furent ouverts. Un autre livre fut ouvert: le livre de vie, et les morts furent jugés selon leurs oeuvres, d’après ce qui était écrit dans les livres. La mer rendit ses morts, la mort et l’Hadès rendirent leurs morts, et chacun fut jugé selon ses oeuvres. Alors la mort et l’Hadès furent précipités dans l’étang de feu. L’étang de feu, voilà la seconde mort! Et quiconque ne fut pas trouvé inscrit dans le livre de vie fut précipité dans l’étang de feu. (20)
UNE TERRE NOUVELLE
Alors je vis un ciel nouveau et une terre nouvelle, car le 1er ciel et la 1ère terre ont disparu et la mer n’est plus. Et la cité sainte, la Jérusalem nouvelle, je la vis qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu, prête comme une épouse qui s’est parée pour son époux. Et j’entendis, venant du trône, une voix forte qui disait: Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il demeurera avec eux. Ils seront ses peuples et lui sera le Dieu qui est avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux. La mort ne sera plus. Il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni souffrance, car le monde ancien a disparu. Et celui qui siège sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles.
Puis il dit: écris, ces paroles sont certaines et véridiques. Et il me dit: c’en est fait. Je suis l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif, je donnerai de la source d’eau vive, gratuitement. Le vainqueur recevra cet héritage, et je serai son Dieu et lui sera mon fils. Quant aux lâches, aux infidèles, aux dépravés, aux meurtriers, aux impudiques, aux magiciens, aux idolâtres et à tous les menteurs, leur part se trouve dans l’étang embrasé de feu et de soufre: c’est la seconde mort.
Alors l’un des 7 anges qui tenaient les 7 coupes pleines des 7 derniers fléaux vint m’adresser la parole et me dit: viens, je te montrerai la fiancée, l’épouse de l’agneau. (21)
LA CITÉ SAINTE, JÉRUSALEM
Il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne, et il me montra la cité sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu. Elle brillait de la gloire même de Dieu. Son éclat rappelait une pierre précieuse, comme une pierre d’un jaspe cristallin. Elle avait d’épais et hauts remparts.
LA CITÉ, SES PORTES ET SES REMPARTS
●Elle avait 12 portes et, aux portes, 12 anges et des noms inscrits: les noms des 12 tribus des fils d’Israël. A l’orient 3 portes, au nord 3 portes, au midi 3 portes et à l’occident 3 portes.
●Les remparts de la cité avaient 12 assises, et sur elles les 12 noms des 12 apôtres de l’agneau. Celui qui me parlait tenait une mesure, un roseau d’or, pour mesurer la cité, ses portes et ses remparts.
●La cité était carrée: sa longueur égalait sa largeur. Il la mesura au roseau, elle comptait 12.000 stades: la longueur, la largeur et la hauteur en étaient égales.
●Il mesura les remparts, ils comptaient 144 coudées, mesure humaine que l’ange utilisait. Les matériaux de ses remparts étaient de jaspe, et la cité était d’un or pur semblable au pur cristal. Les assises des remparts de la cité s’ornaient de pierres précieuses de toute sorte. La 1ère assise était de jaspe, la 2ème de saphir, la 3ème de calcédoine, la 4ème d’émeraude, la 5ème de sardoine, la 6ème de cornaline, la 7ème de chrysolithe, la 8ème de béryl, la 9ème de topaze, la 10ème de chrysoprase, la 11ème d’hyacinthe, la 12ème d’améthyste.
●Les 12 portes étaient 12 perles. Chacune des portes était d’une seule perle.
●Et la place de la cité était d’or pur comme un cristal limpide. Mais de temple, je n’en vis point dans la cité, car son temple, c’est le Seigneur, le Dieu Tout-Puissant ainsi que l’agneau.
●La cité n’a besoin ni du soleil ni de la lune pour l’éclairer, car la gloire de Dieu l’illumine et son flambeau c’est l’agneau. Les nations marcheront à sa lumière, et les rois de la terre y apporteront leur gloire.
●Ses portes ne se fermeront pas au long des jours, car, en ce lieu, il n’y aura plus de nuit. On y apportera la gloire et l’honneur des nations.
●Il n’y entrera nulle souillure, ni personne qui pratique abomination et mensonge, mais ceux-là seuls qui sont inscrits dans le livre de vie de l’agneau. (21)
Puis il me montra un fleuve d’eau vive, brillant comme du cristal, qui jaillissait du trône de Dieu et de l’agneau. Au milieu de la place de la cité et des 2 bras du fleuve, est un arbre de vie produisant 12 récoltes. Chaque mois il donne son fruit, et son feuillage sert à la guérison des nations. Il n’y aura plus de malédiction. Le trône de Dieu et de l’agneau sera dans la cité, et ses serviteurs lui rendront un culte, ils verront son visage et son nom sera sur leurs fronts. Il n’y aura plus de nuit, nul n’aura besoin de la lumière du flambeau ni de la lumière du soleil, car le Seigneur Dieu répandra sur eux sa lumière, et ils régneront aux siècles des siècles.
VISIONS PROPHÉTIQUES
Puis il me dit: ces paroles sont certaines et véridiques; le Seigneur, le Dieu des esprits des prophètes, a envoyé son ange, pour montrer à ses serviteurs ce qui doit arriver bientôt. Voici, je viens bientôt. Heureux celui qui garde les paroles prophétiques de ce livre.
Moi, Jean, j’ai entendu et j’ai vu cela. Et, après avoir entendu et vu, je me prosternai, pour l’adorer, aux pieds de l’ange qui me montrait cela. Mais il me dit: Garde-toi de le faire ! Je suis un compagnon de service, pour toi et pour tes frères les prophètes, et pour ceux qui gardent les paroles de ce livre. C’est Dieu que tu dois adorer.
Puis il me dit: ne garde pas secrètes les paroles prophétiques de ce livre, car le temps est proche. Que l’injuste commette encore l’injustice et que l’impur vive encore dans l’impureté, mais que le juste pratique encore la justice et que le saint se sanctifie encore. Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon son oeuvre. Je suis l’Alpha et l’Oméga, le 1er et le Dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer, par les portes, dans la cité. Dehors les chiens et les magiciens, les impudiques et les meurtriers, les idolâtres et quiconque aime ou pratique le mensonge!
Moi, Jésus, j’ai envoyé mon ange pour vous apporter ce témoignage au sujet des Églises. Je suis le rejeton et la lignée de David, l’étoile brillante du matin. L’Esprit et l’épouse disent: viens! Que celui qui entend dise: viens! Que celui qui a soif vienne, Que celui qui le veut reçoive de l’eau vive, gratuitement. Je l’atteste à quiconque entend les paroles prophétiques de ce livre: Si quelqu’un y ajoute, Dieu lui ajoutera les fléaux décrits dans ce livre. Et si quelqu’un retranche aux paroles de ce livre prophétique, Dieu retranchera sa part de l’arbre de vie et de la cité sainte qui sont décrits dans ce livre. (22)
Illustrations : Pat Marvenko Smith ©
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Louis Scutenaire a dit très justement: » Souvent, au lieu de penser, on se fait des idées ». Quand on pense librement, on avance dans ses
propres mocassins et l’on n’a pas besoin de demander la permission à qui que ce soit. Et que les formatés arrogants et ignorants en restent
à leurs opinions. On s’en fout! message à Fred. Je ne te blâme pas, mais pour le lien je te donne à penser. Ici, en France; on confond religion et spiritualité, et c’est nier, cacher comme un tabou, ne pas reconna$itre la véritable nature du genre humain dans ses dimensions. On perçoit seulement ce qu’on peut. J’ai apprécié la haute teneur de ce que tu déprécies et cela me fais du bien
Patricia Perez
Il manquait plus que celle là! Allez, positivez mon ami……
Cher ami,
Oui, vous avez raison: pour l’état du monde, rien ne tend vers le « positif »…mais pour ma vie personnelle, je profite des bons petits instants car ce sont souvent les meilleurs.
Et puis, l’on dit parfois que les pessimistes sont des optimistes avertis.
Je vous soumets une phrase personnelle que j’avais utilisée lorsque j’habitais en LIMOUSIN à l’occasion d’une conférence de presse organisée lorsque je préparais un documentaire ( URANIUM EN LIMOUSIN) sur les mines d’uranium. Vous pourrez constater que l’on peut utiliser cette phrase sous plusieurs thèmes (environnement, politique, économie, religions, etc):
« Méfions-nous de ceux qui AUJOURD’HUI se présentent en gestionnaires rigoureux pour DEMAIN alors que nous devons faire face à leur catastrophique imprévoyance d’HIER. »
Je vous laisse méditer…
Thierry LAMIREAU
Thierry,
Je suis honorée de te rencontrer et fière de toi. Tu es un vrai de vrai, tu as le courage d’appeler un chat, un chat.
Je pense au regard de ta réflexion et de ton vrai travail
sur notre réalité, que tu es un reporter né et véritable et davantage…, un être humain digne du nom.
Patricia Perez alias Wani Pita
PS: je n’ai pas encore tout lu, – » à chaque jour suffit sa peine « . – BRAVO! – je ne suis pas une groupie et je revendiquen, que quand j’applaudis c’est avec mes deux mains et fort.
Dithyrambique et alors! Je suis juste moi.