Extraits d’une interview de John HALPER, coordinateur du Comité Israélien contre les Démolitions des Maisons (ICAHD).
Israël est placé
du point de vue stratégique
au centre du réseau mondial d’armement.
Les armes sophistiquées israéliennes et les logiciels militaires sont très importants pour le développement militaire des Etats-Unis.
Israël est devenu le principal sous-traitant des Etats-Unis en matières d’industries militaires.
L’année dernière Israël a signé un contrat de formation et d’équipement de l’armée chinoise, et un contrat similaire avec l’armée indienne. Israël équipe l’armée indienne avec des armes américaines.
D’un côté Israël joue un rôle crucial du fait de la sophistication de ses industries high-tech et de ses capacités commerciales.
De l’autre, il n’y a en Israël aucune contrainte éthique ou morale en ce qui concerne les armes,Le gouvernement israélien peut faire tout ce qu’il veut.
Ainsi le congrès américain impose, lui, des restrictions aux ventes d’armes à la Chine, en raison des atteintes aux Droits de l’Homme perpétrées dans ce pays. Alors que fait Israël ?
Il bricole des armes américaines juste assez pour les maquiller en armes israéliennes, et voilà qui permet de court-circuiter le congrès américain !
Pour la part essentielle de ses activités en la matière, Israël sert de couverture aux ventes d’armes américaines aux pays du Tiers Monde: Colombie, Guatémala,Uruguay, Argentine, Chili à l’époque des colonels, Birmanie, Taïwan, Zaïre, Libéria, Congo, Sierra Léone ont des relations primordiales avec Israël.
Exemple : Les mercenaires israéliens en Sierra Léone contournent les boycotts de l’ONU, imposés à ce que nous appelons les diamants sanglants, de même pour l’Angola.
Israël développe un système de missiles en Angleterre, un nouveau type d’avion de chasse avec la Hollande et vient d’acheter trois sous-marins nucléaires à l’Allemagne.
Les trafiquants d’armes israéliens sont très actifs dans les pays rudes et troublés où les américains se feraient bouffer tout crus: l’Ouzbékistan, le kazakhstan, la Russie, la Chine, l’Indonésie…
Les Etats-Unis et Israël ont conclu un traité officiel, scellant une alliance en vertu de laquelle Israël a accès a pratiquement toutes les données ultra-secrêtes de la technologie militaire américaine .
Voici, une partie de l’argumentaire adressé aux membres du Congrès américain pour leur demander de soutenir Israël:
« Vous êtes membre du congrès des Etats -Unis et il est de votre responsabilité de soutenir Israël car de nombreuses entreprises, dans votre état, ont des liens d’affaires avec Israël et c’est grâce à cela que de nombreux ingénieurs en recherche et développement effectuent des recherches dans les universités de votre Etat, dont beaucoup d’emplois dépendent des industries militaires et de défense. »
En effet, dans la plupart des districts des Etats-Unis , les membres du congrès dépendent énormément du secteur de l’armement, plus de la moitié de l’emploi industriel en Californie, par exemple, est lié à la défense…
Bien qu’Israël soit un tout petit pays, sur le plan de l’empire américain, il occupe une place importante dans les industries de la défense, la production et les ventes d’armes. Il est un élément clé de l’Empire, un élément essentiel pour la protection des intérêts économiques américains au Moyen Orient.
Il dispose, entre autres, d’un énorme avantage en matière de relations publiques, c’est qu’il sait, malgré sa force militaire, se faire passer pour une victime.
Voilà un moment que le diplomate et directeur de la communication de l’Ambassade d’ISRAËL en FRANCE me suit en s’étant abonné à mon compte Twitter, sûrement pour surveiller mes commentaires.
Deux communications avec l’Ambassade d’ISRAËL en FRANCE:
Ce vendredi 18 juillet 2014, l’histoire a pris une autre tournure puisque Twitter m’a mis en garde (menace de suppression du compte Twitter) contre mes messages envoyés, entre autres, à M.Elad RATSON, diplomate et directeur de la communication à l’Ambassade d’ISRAËL en FRANCE.
Je venais d’envoyer un mot après l’intervention scandaleuse (mais pas étonnante) de M.RATSON concernant l’attitude de son pays et celle du Hamas.
Dans mon message j’écrivais:
-Tsahal est trop bon. Vous qui voulez la transparence, vous ne me téléphonez toujours pas pour parler des armes à l’URANIUM « appauvri » utilisées par ISRAËL contre les Gazaouis…OMERTA ?-
Quelques instants après je recevais le message de Twitter m’avertissant de la fermeture de mon compte si je continuais à agir ainsi…alors que Twitter nous permet de répondre !
Dans le même temps, M.RATSON retirait son abonnement à mon compte Twitter et bloquait mon abonnement à son compte !…Attitude MINABLE puisque l’on peut avoir accès à son compte d’une autre manière !
MORALE de l’histoire:
(Photo: Explosion d’armes à l’URANIUM « appauvri » sur GAZA)
L’Ambassade d’ISRAËL ne supporte pas la critique (pas étonnant) et refuse d’avouer que ISRAËL utilise des armes à l’URANIUM « appauvri » pour détruire les Gazaouis.
Mais ISRAËL a également de bons petits « soldats aux ordres »: les journalistes français notamment.
Les combats redoublent à GAZA et tous les médias se TAISENT
pour ne pas dire la VERITE sur les armes employées.
(Photo: Hélicoptère APACHE israëlien lançant
un missile à l’URANIUM « appauvri » sur GAZA)
Les aéronefs de Israël balancent en toute tranquillité et en toute impunité leurs armes à l’URANIUM « appauvri » sur les populations de GAZA.
Personne ne crie au Monde que ces armes polluent les sols, les eaux et l’air avec, comme action machiavélique, une atteinte définitive de l’ADN…donc pour l’éternité du genre humain.
Qui dénonce cela…
à part moi ?…Personne !
Et pourtant les images et les vidéos sont là, à qui sait analyser ces clichés, pour constater que Israël emploie ces armes monstrueuses !
Une boule de feu énorme (5000 °C), des fumées noires gigantesques chargées de nanoparticules CHIMIQUES et RADIOACTIVES, une destruction presque totale des lieux et des corps très fortement brûlés…voire FONDUS !
HONTE à vous Etat d’ISRAËL alors que votre peuple a connu l’holocauste !
Les morts
(entre autres des enfants)
sous les bombes
israéliennes:
1. Mohammed Sha’aban, 24, was killed in a bombing of his car in Gaza City. 2. Ahmad Sha’aban, 30, died in the same bombing. 3. Khadir al-Bashiliki, 45, died in the same bombing. 4. Rashad Yaseen, 27, was killed in a bombing of the Nusseirat refugee camp in central Gaza. 5. Riad Mohammed Kawareh, 50, was killed in a bombing of his family’s home in Khan Younis. 6. Seraj Ayad Abed al-A’al, 8, was wounded in the same bombing and succumbed to his injuries Tuesday evening. 7. Mohammed Ayman Ashour, 15, died in the same bombing. 8. Bakr Mohammed Joudah, 22, died in the same bombing. 9. Ammar Mohammed Joudah, 26, died in the same bombing. 10. Hussein Yousef Kawareh, 13, died in the same bombing. 11. Mohammed Ibrahim Kawareh, 50, died in the same bombing. 12. Bassim Salim Kawareh, 10, died in the same bombing. 13. Mousa Habib, 16, from Gaza City’s al-Shujaiyah neighborhood, was killed along with his 22-year old cousin while the pair were riding a motorcycle. 14. Mohammed Habib, 22, was killed with Mousa Habib. 15. Sakr Aysh al-Ajouri, 22, was killed in an attack on Jabalya, in northern Gaza. 16. Ahmad Na’el Mehdi, 16, from Gaza City’s Sheikh Radwan neighborhood, was killed in a bombing that wounded two of his friends. 17. Hafiz Mohammed Hamad, 30, an Islamic Jihad commander, was killed in a bombing of his home in Beit Hanoun, along with five of his family members. 18. Ibrahim Mohammed Hamad, 26, died in the same bombing. 19. Mehdi Mohammed Hamad, 46, died in the same bombing. 20. Fawzia Khalil Hamad, 62, died in the same bombing. 21. Dunia Mehdi Hamad, 16, died in the same bombing. 22. Suha Hamad, 25, died in the same bombing. 23. Suleiman Salman Abu Soaween, 22 24. Abdelhadi Jamaat al-Sufi, 24, was killed in a bombing near the Rafah crossing. 25. Naifeh Farjallah, 80, was killed in an airstrike on the town of Moghraqa, southwest of Gaza City. 26. Abdelnasser Abu Kweek, 60, was killed in the bombing of Gaza’s central governorate. 27. Khaled Abu Kweek, 31, Abdelnasser Abu Kweek’s son, was killed in the same bombing. 28. Amir Areef, 13, died in a bombing in Sha’af. 29. Mohammed Malkiyeh, 1½ years old, died in a bombing. 30. Amniyeh Malkiyeh, 27, Mohammed Malkiyeh’s mother, died in the same bombing. 31. Hatem Abu Salem, 28, died in the same bombing. 32. Mohammed Khaled al-Nimri, 22 33. Sahar Hamdan, 40, died in the bombing of her home in Beit Hanoun. 34. Ibrahim Masri, 14, Sahar Hamdan’s son, was killed in the same bombing. 35. Unknown 36. Sumoud al-Nawasra, a mother, was killed in a bombing along with her two children. 37. Mohammed Khalaf al-Nawasra, 4, arrived at the hospital “in shreds.” 38. Nidal Khalaf al-Nawasra, a child of unreported age, died along with Mohammed and Sumoud. 39. Salah Awwad al-Nawasra, was killed in the same bombing. His body was found under the rubble of the house. 40. Amal Youssef Abdel Ghafour 41. Ranim Jawde Abdel Ghafour, a young girl
Simon TIVOLLE, spécialiste des questions de Défense à FRANCE
INTER, a pu voir voler en juin 2014 l’un des appareils sans pilote
les plus sophistiqués, il s’appelle le « nEUROn ».
Les drones actuellement en service servent à la surveillance ou tirent parfois des missiles dans des missions ponctuelles, mais aucun ne rivalise avec les performances des avions de combat.
Le démonstrateur technologique de drone de combat nEUROn, développé par DASSAULT AVIATION, unique maître d’œuvre, et la Direction Générale de l’Armement, unique maître d’ouvrage, réunit l’expertise de six pays européens.
C’est un drôle d’oiseau qui ressemble un peu à une soucoupe volante, ou à une raie Manta, très plat, très lisse de 12 mètres d’envergure et qui pèse 7 tonnes.
Il est destiné à déboucher sur la création des futurs drones de combat communs à la France et la Grande-Bretagne, qui a, elle aussi, son prototype, le Taranis.
Le contrat du nEUROn a été décidé en 2003 et notifié en 2006. Le démonstrateur a réalisé son premier vol le 1er décembre 2012. Une cinquantaine de vols ont depuis été effectués. La DGA a pu évaluer les performances de furtivité du drone. En avril 2014 le nEUROn a volé en formation avec un RAFALE.
FRANCE INTER
Simon TIVOLLE
Ce drone européen est un avion de combat et il devrait dans plusieurs années accompagner les avions pilotés dans des missions. Ces dernières pourraient par exemple consister à détruire les défenses anti aériennes des ennemis. Le directeur général du groupe estime que personne aujourd’hui n’envisage « un avenir entièrement avec des avions sans pilote ». Ce drone est un démonstrateur, il ne peut donc pas combattre, il permet seulement de développer de nouvelles technologies et de les tester. Mais la société estime que, d’ici 2030, ils pourraient tout à fait venir en aide aux forces aériennes européennes.
Notifié à Dassault Aviation par la DGA en 2006 ainsi que les contrats de partenariats industriels pour un coût de 400 millions d’euros, le programme nEUROn associe la France, l’Italie, la Suède, l’Espagne, la Grèce et la Suisse. Sous la maîtrise d’oeuvre de Dassault Aviation, le programme a été construit « pour fédérer les compétences et les savoir-faire »d’Alenia Aermacchi (Italie), Saab (Suède), EADS-Casa (Espagne), HAI (Grèce), Ruag (Suisse) et Thales (France).
RAPPEL:
Jean-Yves LE DRIAN
assistera à ISTRES
au vol du drone « nEUROn »
LE 12 JUIN 2014
Les armées célèbrent le 70e anniversaire des essais en vol de ses équipements aéronautiques. A cette occasion, Jean-Yves LE DRIAN, ministre de la Défense, se rendra à Istres (Bouches-du-Rhône), pour y rencontrer les équipes de la DGA et se faire présenter leurs missions. Un vol du démonstrateur de drone de combat nEUROn est également planifié.
Une semaine après les arbitrages rendus par le Président de la République sur la Loi de Programmation Militaire 2014-2019, cette visite au cœur des industries de Défense rappelle le rôle de ces 4 000 entreprises dans l’innovation technologique, et la responsabilité de la Défense dans l’anticipation et le maintien des compétences humaines nécessaires à notre équipement militaire et notre souveraineté.
En présence d’Eric TRAPPIER, président-directeur général de Dassault Aviation et de Laurent COLLET-BILLON, Délégué Général pour l’Armement, Jean-Yves LE DRIAN prendra la parole sur le thème des industries de défense et celui des compétences nécessaires au maintien de notre avance technologique.
Source: MinDef
Le nEUROn ouvre un nouveau chapitre
de l’aéronautique
militaire française
(Jean Dominique MERCHET)
Le ministre de la Défense Jean-Yves LE DRIAN s’est rendu jeudi à Istres pour le 70e anniversaire du centre d’essais en vol. Il a notamment assisté au vol d’un nEUROn, le démonstrateur européen de drone de combat furtif, qui préfigure le successeur du RAFALE à l’horizon 2030.
Seul le bruit est familier aux passionnés d’aviation : c’est celui d’un vieux réacteur Adour qui équipait jadis le JAGUAR. Pour le reste, le changement est radical. L’appareil est une sorte d’aile volante sans poste de pilotage.
Le nEUROn est le premier drone européen de combat furtif. Depuis décembre 2012, iI vole régulièrement depuis la base aérienne d’Istres pour des essais. Le ministre de la Défense, Jean Yves LE DRIAN, est venu jeudi assister au 53e vol de l’appareil, une manière pour lui de réaffirmer que «la France va continuer à soutenir sa filière aéronautique» avec les milliards de la loi de programmation militaire qu’il vient de sauver de haute lutte. «Il en va de nos intérêts stratégiques comme de nos intérêts industriels » a-t-il ajouté.
Le nEUROn n’est pour l’heure qu’un démonstrateur technologique. Ce n’est pas donc le prototype d’un futur avion de combat mais un moyen pour les industriels de découvrir et de maîtriser des technologies qui serviront, demain, dans de véritables projets militaires qui entreront en service vers 2030. Ceux qui viendront remplacer le RAFALE ou l’Eurofighter.
Lancé véritablement en 2006, ce programme est européen avec une forte participation française (46,1%), Dassault Aviation étant le maître d’œuvre industriel de l’ensemble. L’Italie avec Alenia (22,5%) et la Suède avec Saab (18,1%) sont les deux principaux partenaires aux côtés de l’Espagne, la Grèce et la Suisse.
nEUROn n’est que la première brique d’une coopération qui va être élargie au Royaume Uni. En janvier, Paris et Londres ont décidé de s’associer pour concevoir l’avion de combat du demain, le FCAS (Future Combat Air System) sur la base des acquis du nEUROn et de son homologue britannique, le Taranis. Un contrat devrait être signé en juillet pour un développement qui durera sans doute une dizaine d’années. Jean-Yves LE DRIAN a confirmé jeudi que plus de 200 millions d’euros y seraient consacrés.
Le nEUROn constitue une rupture technologique majeure pour l’industrie européenne.
Deux grandes raisons à cela : cet appareil de combat est furtif, c’est-à-dire qu’il échappe à la détection radar, et il n’a pas de pilote à son bord.
Sa forme très profilée, son revêtement, la sortie de son réacteur : tout est conçu pour que les ondes radar rebondissent sur lui. Les Américains savent faire depuis un quart de siècle mais ne partagent pas ce genre de chose. Avec le nEUROn, les Européens apprennent. Ou réapprennent des techniques abandonnées depuis la seconde guerre mondiale, comme le stockage des bombes dans une soute. Impossible de rester discret au radar si l’on accroche des missiles sous le fuselage : il faut les cacher à l’intérieur puis ouvrir une trappe et sortir l’engin. Pas si simple, surtout quand tout est automatisé.
Contrairement aux drones d’aujourd’hui, qui traquent les terroristes au Sahel ou au Pakistan, le nEUROn et ses descendants ne sont pas pilotés par un équipage installé dans une station au sol. Son vol et sa mission sont entièrement programmés à l’avance, mais l’appareil reste en permanence sous le contrôle d’une équipe au sol.
Un responsable, toujours appelé «pilote» peut intervenir si nécessaire, par exemple pour annuler la mission et faire revenir l’appareil. Le cockpit est simplement devenu un écran d’ordinateur avec son clavier et sa souris…
«Il faut maintenir l’homme dans la boucle, pour des raisons éthiques» explique-t-on à la Direction Générale de l’Armement.
Les industriels ne sont pas en train d’inventer des robots tueurs, mais des systèmes qui préserveront la vie des aviateurs dans les missions de bombardement à très haut risque.
Déroulement du sonore du journaliste Simon TIVOLLE:
L’essai se passe à Istres et le ministre de la Défense s’exprime:
« C’est un émerveillement, beaucoup de considération pour ceux qui ont fabriqué le nEUROn. »
Simon TIVOLLE:
« C’est que c’est impressionnant, qu’il y a de l’émotion. »
Eric TRAPPIER,
PDG de DASSAULT AVIATION:
« C’est un avion de combat très furtif et discret. »
Simon TIVOLLE:
Non seulement il est discret mais il n’y a pas de pilote dans l’avion ! (dit-il, avec insistance).
Journaliste plateau FRANCE INTER:
« L’avion devra être capable de faire TOUT…tout seul ! » (Texte de Simon TIVOLLE).
Simon TIVOLLE:
Les drones viendront en complément des avions de chasse sans se faire repérer pour effectuer un bombardement risqué. La priorité: ne pas perdre l’excellence aéronautique française et investir dans des technologies de demain. »
Le ministre LE DRIAN:
« Il faut un vrai projet industriel. »
Eric TRAPPIER:
« Dans deux ans, il y aura un programme avec les Britanniques. »
Derniers sons du reportage:
Satisfaction des militaires, du ministre et des industriels à l’atterrissage du drone nEUROn et…APPLAUDISSEMENTS avec BRAVO !
Ce reportage est un véritable SCANDALE !
Simon TIVOLLE travaille sur une chaîne publique pour laquelle nous donnons de l’argent à travers la redevance audiovisuelle.
Il « sert la soupe » au ministre de la Défense (et au Président HOLLANDE), à DASSAULT AVIATION et à la Direction Générale de l’Armement.
Non, Monsieur TIVOLLE, il n’y aura pas de bombardement risqué…puisqu’il n’y aura pas de pilote embarqué !...les risques seront réservés aux populations qui recevront sur « la gueule » les armes à l’URANIUM « appauvri » !
Simon TIVOLLE est un habitué qui CACHE la vérité sur l’utilisation des armes à l’URANIUM « appauvri » par la France dans chaque intervention de drones, de MIRAGE 2000, de RAFALE et d’hélicoptères TIGRE comme au MALI ou en CENTRAFRIQUE, pour ne parler que de ces pays.
Je vous renvoie au lien suivant pour découvrir que Simon TIVOLLE participe à l’OMERTA imposée par le SECRET DEFENSE de l’Etat français !
Simon TIVOLLE n’est pas un journaliste…c’est un petit soldat zélé…AUX ORDRES !
Il a un profil de soucoupe volante. Sur la piste de la base aérienne d’Istres (Bouches-du-Rhône), le nEUROn s’élance dans un bruit sourd craché par son réacteur. L’aéronef, sorti tout droit du futur, a tous les traits d’un avion de chasse, sans pilote à son bord. L’appareil est le fruit d’un programme européen lancé en 2003. Un démonstrateur de drone élaboré dans le cadre d’une coopération industrielle entre six Etats partenaires (Italie, Suède, Espagne, Grèce, Suisse et France). « C’est l’aviation de chasse de 2030 », déclare du bord de la piste le ministre de la Défense Jean-Yves LE DRIAN. «Mais ça se prépare maintenant ! »
Développé sous l’égide de la Délégation Générale pour l’Armement (DGA), la maîtrise d’oeuvre du nEUROn est conduite par Dassault Aviation. Ce chasseur dispose des technologies les plus pointues de l’aviation militaire. Dix mètres de long, 12,50m d’envergure, ses capacités lui permettent de voler pendant 1 h 40, à 100 km de sa base d’opération. La furtivité est son principal atout. Son fuselage bombé laisse une trace sur les radars à peine plus visible que celle d’un oiseau. Bardé de caméras et d’instruments de mesure, sa mission est d’abord d’observer. Mais pas seulement. Les deux bombes à guidage laser de 250 kg qu’il emporte dans sa soute en font une arme redoutable…[Redoutable car armées à l'URANIUM "appauvri" / Remarque de Thierry LAMIREAU].
Les pays européens étaient jusque là restés hors jeu dans le domaine des drones. Un créneau où seuls les Américains sont véritablement présents. En août 2013, la France en était réduite à acheter aux Etats-Unis deux Reaper, des systèmes de drone de surveillance à moyenne altitude, non armés, actuellement basés au Tchad.
« Ce type de drones est adapté à l’observation en Afghanistan ou au Mali contre les talibans ou la guérilla jihadiste. Mais il serait vite neutralisé dans des conflits de haute intensité comme en Syrie », avoue Mathieu Durand, cadre chez Dassault.
Le nEUROn n’est à ce jour qu’un démonstrateur qui n’a pas vocation à être transformé en programme de série, même s’il en prend le chemin. « Nous sommes déjà là dans l’après RAFALE », poursuit Jean-Yves LE DRIAN.
« La France a besoin de ces outils de souveraineté pour tenir sa place et relever les menaces face à sa sécurité. » Le projet est inscrit dans la loi de programmation militaire votée par le Parlement. L’alliance européenne permet de répartir les coûts, pour un budget de 400 M€. Des montants à la fabrication dix fois inférieurs à ceux des concurrents américains.
Le drone du futur poursuit ses essais de développement sur la base d’Istres. Ensuite, le nEUROn effectuera des essais en Italie, avec un scénario d’attaque air-sol.
Le 20 mars 2014, Dassault Aviation a organisé un vol en patrouille du nEUROn avec un RAFALE et un FALCON 7X. C’est la première fois au monde qu’un drone de combat effectue un vol en formation avec d’autres appareils, en l’occurrence un avion d’affaires et un avion de combat. L’ensemble de l’opération a duré 1 h 50 mn et a emmené la patrouille au-dessus de la Méditerranée sur plusieurs centaines de kilomètres.
Pour Eric TRAPPIER, Président-Directeur général de Dassault Aviation :
« Cet événement illustre notre maîtrise des technologies les plus avancées. Nos compétences dans les domaines civils et militaires s’enrichissent mutuellement pour concevoir et produire des avions d’exception au service des armées et des utilisateurs de Falcon. »
Un tel vol est très complexe à organiser : pour chacune des figures à enchaîner, il faut que se retrouvent dans un même espace de travail, au même moment, des aéronefs venant de points d’attente distincts et affichant des performances de vol différentes.
Faire évoluer un avion sans pilote à bord avec quatre autres avions pilotés (RAFALE, FALCON 7X et deux avions de prises de vues) constituait un défi supplémentaire. Il a fallu se prémunir des risques d’interférences, comme les turbulences aérodynamiques des appareils entre eux, et des risques de perturbation dans les communications entre le nEUROn et sa station de contrôle au sol.
Dans la nuit du 30 juin au 1er juillet 2014, Israël a encore frappé GAZA avec ses armes à l’URANIUM « APPAUVRI » larguées par ses aéronefs.
La Coupe du Monde de football attire les regards quant à l’utilisation d’armes à l’URANIUM « APPAUVRI » tout le monde s’en fout !
C’est normal, la presse et les Etats préfèrent distrairent les peuples avec des mecs de 22 ans qui tapent dans un ballon…
Crever d’empoisonnement avec un ADN détruit c’est tout de même moins « porteur » que des « gamins » footballeurs payés des millions pour exciter et endormir les Nations !
On crève à cause des armes à l’URANIUM « APPAUVRI » dans ce beau monde, à GAZA, au MALI, en CENTRAFRIQUE, en UKRAINE ou en IRAK ?…
Peu importe, qu’ils crèvent !…et à petit feu (si l’on peut dire) s’il vous plait !
L’Irak a reçu de la Russie une première livraison d’avions Sukhoï
SU-25 pour l’aider dans sa contre-offensive face aux insurgés
menés par les djihadistes qui se sont emparés de nombreux
territoires en IRAK.
En réalité, c’est une tentative de créer un caliphat islamique en
Syrie et en Irak.
Tous contre les Djihadistes
Tous contre les djihadistes, après les Américains, les Iraniens et désormais les Russes !
L’annonce par Bagdad de cette livraison est survenue alors que les forces gouvernementales ont donné l’assaut pour reprendre la ville de Tikrit ancien fief de Saddam Hussein situé à 160 km au nord de Bagdad.
Les SU-25, qui viennent d’être livrés par Moscou, devraient être conduits par des pilotes de l’armée de l’air du temps du régime déchu de Saddam Hussein, qui ont eu l’habitude de piloter ces avions d’attaque au sol, a indiqué un responsable irakien.
Bagdad va acheter plus d’une douzaine d’avions à la Russie, un accord estimé à quelque 368 millions d’euros.
Un risque important de destabilisation du Proche-Orient
La dislocation de l’Irak déstabiliserait l’ensemble du Proche-Orient et les régions limitrophes pour des années, a estimé le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, samedi 28 juin 2014, à la télévision russe.
«Si l’Irak éclate (la Libye s’est presque disloquée, quelqu’un veut disloquer la Syrie), la région explosera, la déstabilisation s’y installera pour de longues années et non seulement au Proche-Orient et en Afrique du Nord, mais aussi dans les régions limitrophes», a déclaré le chef de la diplomatie russe.
Ce que les journalistes
et les Etats occidentaux
ne disent pas
avec l’intervention
de la Russie:
(Photo: Des militaires russes préparant les aéronefs SOUKHOI SU-25 pour l’IRAK)
Le Su-25 « Frogfoot » est un appareil d’attaque et d’appui d’aspect rustique, il est un redoutable appareil monoplace d’appui rapproché, adapté aux pistes très sommaire. Lourdement armé de canons et d’engins air-sol, cet avion a été spécialement conçu pour le soutien des troupes au sol. Le Su-25 fit son premier vol en 1976 et entra en service 4 ans plus tard, après une longue période de mise au point.
Comme ces missions sont très risquées, la cellule du Su-25 Frogfoot a été prévue pour pouvoir encaisser beaucoup de dommages, comme son homologue américain A-10 Thunderbolt II. Le pilote est placé dans une nacelle blindée au titane, les réservoirs sont spécialement conçus pour limiter les risques d’explosion. Mais ces blindages n’ont pas empêché l’avion de subir des pertes en Afghanistan, dues aux missiles sol-air portatifs des combattants. Mais en 60 000 sorties en 8 ans de guerre en Afghanistan, 23 Su-25 seulement furent perdus.
Les différentes versions sont nombreuses. Il y a le Su-25 « Frogfoot A » qui est la première version, capable d’embarquer 6 400 kg de bombes. Le Su-25B « Frogfoot B » est la version biplace d’entrainement. Le Su-25BK est sa version d’exportation.
Le Su-25UT est identique à la version UB mais dépourvue d’armement et rebaptisé Su-28. Le Su-25UTG est identique au Su-25UT mais est pourvu d’une crosse d’arrêt pour une utilisation sur porte-avions. Le Su-25T est la version monoplace du Su-25UT, destiné à l’attaque antichar. La version Su-25T est l’ancienne désignation du Su-34, qui a été amélioré grâce aux enseignements de la guerre afghane, en particulier pour la survivabilité en environnement antiaérien intense. On estime que plus plus de 6.000 exemplaires ont été livrés avec pour utilisateurs la Russie, la Hongrie, la Bulgarie, l’Irak, la Tchéquie, la Slovaquie et l’Afghanistan.
Une nouvelle version du Su-25 Frogfoot, le Su-39 Frogfoot (désignée également Su-25TM) a été mise au point. Celle-ci se distingue par des améliorations au niveau de la capacité de dommages et du système de navigation et d’attaque. Les pales du réacteurs sont mieux refroidis pour que la signature infrarouge soit plus faible. Cette nouvelle version est basée sur le biplace d’entraînement, dont le deuxième siège est remplacé par un réservoir et de l’avionique. Le Su-39 est très reconnaissable avec cette bosse derrière le fuselage.
Caractéristiques techniques:
Modèle :
Sukhoï Su-25 ‘Frogfoot-A’
Envergure :
14.36 m
Longueur :
15.53 m
Hauteur :
4.80 m
Motorisation :
2 turboréacteurs MNPK Tumanski R-13-300
Puissance totale :
2 x 5100 kgp.
Armement :
1 canon rotatif de 30 mm
charge offensive de 4.500 kg
Charge utile :
-
Poids en charge :
19200 kg
Vitesse max. :
880 km/h
Plafond pratique :
7000 m
Distance max. :
1100 Km
Equipage :
1
[...]
Plan 3 vues
Cet aéronef utilise,
entre autres,
des armes
à l’URANIUM « APPAUVRI »
RAPPEL:
Des SU-25 pour le NIGER:
La FRANCE a participé
au financement.
Certaines armes sont à
l’uranium « appauvri » !
(Entreprises Défense et Relations Internationales)
L’Ukraine a récemment vendu au Niger deux SU-25 Frogfoot, tirés de ses stocks de guerre froide. La France, qui aurait participé au financement de cet achat conséquent pour un pays comme le Niger, voit d’un très bon œil le renfort de moyens aériens locaux dans sa lutte sahélienne contre les mouvances terroristes, particulièrement dans le contexte des attaques sur les sites d’AREVA.
SU-25 Ukrainien avec une partie de l’armement qu’il peut emporter
(crédit: Wikimedia)
En toute discrétion…
Les deux avions font la fierté de la petite mais vaillante armée de l’air nigérienne, qui jusque là ne comptait que quelques avions de transports et quelques hélicoptères de manœuvre. Les deux SU-25 (portant les numéros d’immatriculation 5U-MCC et 5U-MCF, 5U étant le préfixe OACI du Niger naturellement) seront les premiers véritables avions de chasse de cette armée de l’air.
Ils sont vraisemblablement arrivés au Niger en février 2013, car les premières informations à leur sujet remontent à cette date. Ils ont très certainement été livrés début février en toute discrétion, sous la forme de kits apportés par avions gros porteurs, en même temps que l’outillage et les pièces nécessaires à la maintenance.
Ces avions proviennent sans doute de la 4070ème Base de Réserve ukrainienne qui, jusqu’à une date récente, stockait sous cocon une trentaine de SU-25 en version de base.
Quelques exemplaires de cette version originelle du SU-25, aussi appelée Frogfoot-A en codification OTAN, ont déjà été vendus par l’Ukraine à la Macédoine (4 appareils en 2001, dont 1 SU-25UB biplace), à la Guinée équatoriale (4 exemplaires entre 2007 et 2009 dont 2 SU-25UB) et au Tchad (6 ou 7 exemplaires entre 2008 et 2010 dont au moins 2 SU-25UB).
Les appareils destinés au Niger ont d’abord suscité l’intérêt de la République Démocratique du Congo en 2012, qui a finalement renoncé à l’achat et créé une opportunité pour le Niger.
Bien que cet investissement ait été qualifié « d’urgent » par le Niger, il n’a pas de lien avec l’offensive terrestre française au Mali, état donné que la commande a été passée à l’été 2012. Par contre, il découle directement de l’aggravation de la situation sécuritaire au Mali dont la France continue de faire les frais à travers les otages enlevés sur le site d’Arlit il y aura bientôt trois ans.
Les pilotes:
Des mercenaires
A l’instar de ce qui se passe chez les autres clients du SU-25 en Afrique, le Niger va très probablement confier le pilotage et l’entretien de ces avions à des contractors ukrainiens, connus pour officier de la même façon au Tchad ou en Guinée équatoriale. Mais à la différence du Tchad, où des pilotes tchadiens sont formés à prendre la relève des pilotes ukrainiens, le Niger ne dispose pas de version biplace permettant une formation dans de bonnes conditions. Les avions nigériens vont donc rester vraisemblablement longtemps entre les mains de mercenaires coûteux, peu prompts à prendre des risques et dont le comportement au combat peut être sujet à caution.
Mais malgré les réticences que peut susciter l’emploi de mercenaires, le Su-25 est probablement le meilleur choix possible pour une armée africaine. C’est un avion rustique spécialisé dans l’attaque au sol et l’appui des forces terrestres.
Il est le pendant russe de l’A-10 américain, bien que son design et sa masse le rapproche plus de l’YA-9 de Northrop, concurrent malheureux de l’A-10 lors de l’appel d’offre. La ressemblance est d’ailleurs suffisamment prononcée pour se demander s’il n’y a pas eu migration discrète des schémas de l’YA-9 de l’autre côté du rideau de fer.
Quoiqu’il en soit le SU-25 est un biréacteur subsonique, avec environ 800 km de rayon d’action (à pleine charge avec deux réservoirs supplémentaires), ce qui est relativement faible notamment dans les immensités sahéliennes.
Ce rayon d’action limité est compensé par la facilité avec laquelle l’avion peut être déployé sur des pistes sommaires avancées, avec un minimum de logistique : sur de courtes périodes, le SU-25 ne nécessite pas d’infrastructures particulières, à part une piste d’une longueur suffisante. Une équipe d’une demi-douzaine de mécaniciens, équipée d’un outillage rudimentaire et de quelques pièces détachées permet une utilisation opérationnelle de plusieurs semaines sur des bases sommaires.
L’armement:
(Photo: quelques armes à l’URANIUM « APPAUVRI »)
Possibilité d’usage
des munitions
à l’uranium « appauvri ».
En termes d’armement, le SU-25 est équipé du redoutable canon GSh-30-2, canon de 30 mm automatique à deux tubes fixes, mais avec la particularité d’avoir une seule culasse. Ce canon tire toutes les munitions en calibre 30x165mm, dont certaines contiennent de l’uranium appauvri.
Il se retrouve également sur les MI-24P, facilement reconnaissable du fait des deux tubes visibles sur le côté droit du fuselage.
Il est également réputé pour être particulièrement rustique. Bien que pouvant tirer quasiment aux mêmes cadences que le canon GAU-8A de l’A-10 des munitions aux effets équivalents, on notera qu’il pèse 20 fois moins lourd : à peine 115 kilos hors munitions. Avec 4 tonnes de charge utile réparties sur 11 points d’emport, le SU-25 peut embarquer une bonne partie de l’inventaire soviétique des munitions air-sol, mais il est utilisé de manière privilégiée en Afrique avec des bombes lisses de 250 ou 500 kg de type RBK ou OFAB (voir article sur les bombes syriennes pour plus de détails sur les bombes russes).
Ce sont des munitions non guidées, à effet de zone ou effet de souffle. Aucun détail n’a pour l’instant filtré sur les munitions que pourraient emporter les SU-25, sachant que les Nigériens ne dispose pas de stocks de telles armes, en théorie, n’ayant eu jusque là aucun aéronef pour en utiliser.
Ce site, il y a quelques semaines, avait longuement critiqué des articles écrit par moi-même surl’utilisation des armes à l’uranium « appauvri » par la France dans la guerre au MALI en précisant que c’était de la « désinformation ».
Or l’on note dans ce texte que la France a participé à l’achat
d’aéronefs qui utilisent des munitions à l’uranium « appauvri » !
« Le SU-25 est équipé du redoutable canon GSh-30-2, canon de 30 mm automatique à deux tubes fixes, mais avec la particularité d’avoir une seule culasse. Ce canon tire toutes les munitions en calibre 30x165mm, dont certaines contiennent de l’uranium appauvri. »…indique le site.
Ces « fameux » canons « redoutables » sont redoutables parce qu’ils utilisent justement des munitions à l’uranium « appauvri » !
En outre, la « codification OTAN » indique que ces aéronefs sont équipés d’armes à l’uranium « appauvri ».
En participant au financement d’un tel achat pour le Niger, la France pourra, d’une manière plus discrète, intervenir au Niger et ce avec toujours ces armes maléfiques à l’uranium « appauvri ».
On comprend mieux pourquoi la livraison s’est réalisée dans la plus grande discrétion !
Quel superbe achat pour un pays qui figure parmi les plus pauvres de la planète.
Bouffer de l’uranium « appauvri »…cela sera sûrement bon pour la santé des populations !
L’OMERTA continue !
Le conflit en IRAK montre une nouvelle fois l’action des occidentaux et de la Russie.
Pour frapper FORT et VITE, on utilise toujours les mêmes armes à l’ URANIUM APPAUVRI.