Le prix Nobel de littérature pour l’année 2015 a été attribué jeudi 8 octobre à l’écrivaine biélorusseSvetlana ALEXIEVITCH « pour son œuvre polyphonique, mémorial de la souffrance et du courage à notre époque ».
Svetlana ALEXIEVITCH est née le 31 mai 1948. Longtemps journaliste, elle a construit une bonne partie de ses œuvres à partir d’interviews.
Son premier livre (U vojny ne ženskoe lico, 1985 ; La guerre n’a pas un visage de femme, 2005) s’appuie ainsi sur des entretiens avec des centaines de femmes ayant participé à la Deuxième guerre mondiale. Jusqu’à son livre le plus récent intitulé Vremja second chènd (2013; La Fin de l’homme rouge – ou le temps du désenchantement, 2013) où elle pratique »le collage de voix humaines qui témoignent d’une époque historique pour en approfondir la connaissance ».
L’auteure brise un par un les tabous de l’ex-URSS. Mais ses livres « ne plaisent pas », selon elle, au président biélorusse Alexandre LOUKACHENKO, qui dirige le pays depuis 20 ans de manière autocratique. En 2000, elle fuit son pays pour la France et l’Allemagne, avant de revenir à Minsk en 2011.
L’écrivaine et journaliste est également connue pour ses prises de position critiques envers Vladimir Poutine. « L’aisance n’a pas mené à la démocratie, elle a fait resurgir un état d’esprit impérialiste. Le rêve russe, c’est d’être un grand empire et d’inspirer la peur », écrivait-elle dans une tribune publiée par Le Monde en juillet 2014. Dans son dernier récit, La Fin de l’homme rouge ou le temps du désenchantement, Svetlana ALEXIEVITCH dresse un portrait – sans concession, mais sans manquer de compassion – de »l’homo sovieticus ». Plus de 20 ans après l’implosion de l’Empire soviétique, la liberté manque encore définitivement à l’appel, mais pas dans sa plume.
Née d’un père Biélorusse et d’une mère Ukrainienne, elle vit intimement les déchirements actuels de l’ancien empire soviétique qui nourrissent toute son œuvre, construite uniquement sur les récits des témoins qu’elle questionne inlassablement, revenant les voir des années durant, jusqu’à ce qu’elle trouve enfin ce qu’elle cherche : « le mystère de l’homme ».
Reprise du spectacle mis en scène par Bruno BOUSSAGNOL et interprété par Nathalie VANNEREAU. Elena, femme d’un sapeur-pompier, regarde son mari mourir après être intervenu pour éteindre le feu de la centrale de TCHERNOBYL. Une émission de FRANCE CULTURE diffusée le 11 avril 2006.
Ci-joint un texte de Martine LECOEUR pour TELERAMA, en avril 2006: » Il y a vingt ans, TCHERNOBYL. L’histoire de la plus grande catastrophe de l’ère industrielle est aussi celle du mensonge organisé. Celui qui tua aussi sûrement qu’absurdement; que dire de ces « héros » que l’on envoya planter le drapeau rouge au-dessus du réacteur une fois enfoui; le drapeau très vite se consumait, et un nouveau héros plantait un nouveau drapeau. Quant à ce qu’ont vécu les habitants des villages aux alentours de la centrale, les pompiers, les militaires, il serait difficile de le savoir sans la volonté , le désir de quelques-uns de rapporter quelles ont été les conséquences de l’explosion sur les corps, les âmes, la terre, les arbres. Oui, il s’est passé quelque chose à TCHERNOBYL. Svetlana ALEXIEVITCH a recueilli la parole de « survivants » . De ce travail de journaliste, elle a fait une oeuvre d’écrivain.
La Supplication donne à entendre la maladie, l’abandon, la mort, mais aussi l’amour, la vie. Le feuilleton croise les récits des mères irradiées parlant des malformations de leurs bébés, d’une vieille qui refusa de quitter son village et vécut seule avec les rats, d’un homme revenu en cachette récupérer la porte de sa maison – chez lui on couche les morts sur les portes… Les comédiens donnent leurs voix à ces survivants et leur sobriété sert magnifiquement la transcription de Svetlana ALEXIEVITCH. Et puis il y a le long monologue d’Elena, diffusé dans ce document sonore. Elena, jeune femme de 23 ans, voit partir cette nuit-là son mari, pompier Elle parle ensuite de l’hôpital, décrit le corps de son mari jour après jour, et sa mort; et les sacs en plastique, le cercueil en zinc, le cimetière de « déchets radioactifs »…Et sous les mots terribles, c’est l’amour fou que sait transmettre la saisissante et sensible Nathalie VANNEREAU ». Durée: 55’54 »
Les lectures diffusées ce soir sont extraites de Fictions-Le Feuilleton, une émission coordonnée par Blandine MASSON, réalisée par Laure EGOROFF et diffusée sur FRANCE CULTURE la semaine du 10 février 2014.
Michel POLAC, sur FRANCE INTER le 24 décembre 1998, présentant, avec une grande émotion, le livre La Supplication de Svetlana ALEXIEVITCH. (Origine INA).
Trois magnifiques témoignages sonores. Merci à celles et ceux qui ont permis cette belle expression.
Je suis évidemment très touché par ces mots, moi l’ancien irradié…
A voir également ces documents essentiels et exceptionnels:
Une rencontre exceptionnelle avec Roger MANCEAU. Un personnage hors du commun. Les amoureux du « Vrai Savoir » seront comblés…
Oui, Roger est « né comme cela. »
Un agriculteur qui ne possède aucun diplôme, excepté le Certificat d’étude primaire. Pas de lycée et aucune université.
Toute sa vie, ce journalier aura cultivé la terre en tant que pépiniériste et horticulteur… « comme quoi et contrairement aux idées reçues, la culture de la terre n’est pas incompatible avec la culture de l’esprit. » disait Roger.
Un paysan, créateur des hélices « anti-cavitation » des moteurs hors-bord, qui remet en cause les principes fondamentaux de la physique théorique…c’est, pour le moins, troublant !
Enquête réalisée en 1989 pour l’Atelier de Création Radiophonique de FRANCE CULTURE. J’ai repris l’émission en rajoutant une lecture personnelle d’un texte de Roger MANCEAU à 49 minutes.
Première diffusion: Dimanche 14 janvier 1990. Lecture finale: Jean-Yves CHATELET Montage: Thierry LAMIREAU et Yves BAUDRIE Mixage: Jean-Louis BOISSONADE et Thierry LAMIREAU Prise de sons: Maurice CHAMOULAUD et Thierry LAMIREAU Chargée de réalisation: Annie DELERS Matériel de reportage: NAGRA III + microphone LEM DO21B
L’Humain est un prédateur. Rien de bien nouveau à cela.
Ceux qui prônent « le Bien contre le Mal » sont des MANIPULATEURS qui ne vivent que pour engraisser les banquiers, les multinationales et les Marchands de la Mort. Mais ici, nous parlons de pléonasme…
Ceux qui se disent « civilisés » vomissent le respect de la Nature.
Soyons clair, si la planète est bouleversée depuis les premières périodes d’industrialisation, elle s’en sortira !
Des périodes de glaciation ou de réchauffement climatique ont déjà existé.
Comme je l’écris souvent: « L’Homme est arrivé le dernier sur la planète…il en repartira le premier. »
Méfions-nous de ceux qui AUJOURD’HUI se présentent en gestionnaires rigoureux pour DEMAIN alors que nous devons faire face à leur catastrophique imprévoyance d’HIER.
Considérant l’ambiance qui existe dans les coursives de la COP21 et d’ailleurs, je pense qu’il est plus que temps de reproposer à la lecture certains documents afin de montrer que celles et ceux qui se satisferaient d’un nucléaire à hauteur de 50% en FRANCE seraient les co-gestionnaires du nucléaire et les fossoyeurs de l’Humanité.
Né en 1928, Roger Belbéoch était physicien, ingénieur ESPCI, retraité du CNRS. Il a travaillé dans un laboratoire universitaire de recherche (Orsay, Paris-Sud) et s’était spécialisé dans les accélérateurs de particules et la physique des faisceaux de haute énergie.
Utilisateur de grosses installations productrices de rayonnements, il s’est intéressé aux effets biologiques des rayonnements ionisants qui, depuis le début des années 70, sont à l’origine de son questionnement sur les dangers de l’énergie nucléaire et de ses prises de position antinucléaires.
Au sein du Groupement de Scientifiques pour l’Information sur l’Energie Nucléaire (GSIEN), membre du bureau, il a publié de nombreux articles dans la revue La Gazette Nucléaire. Il a démissionné du GSIEN fin 2004. Il faisait partie du Comité antinucléaire Stop Nogent-sur-Seine et collaborait à la Lettre d’information du comité Stop Nogent-sur-Seine.
« L’apparition de cette dégradation était improbable » disent en chœur l’IRSN, l’ASN et EDF !
FAUX ! Ma regrettée amie physicienne Bella BELBÉOCH, spécialisée dans l’irradiation des matériaux, le criait déjà il y a 40 ans face au silence des instances officielles et des écolos nullos occupés à d’autres « priorités » politiques…
Un montage sonore proposé et diffusé sur RADIO FRANCE CREUSE en 1984.
Deux exemples qui nous permettent de poser une question toute simple: y-a-t-il incompatibilité entre modernisme et traditionalisme ?
Partons à la découverte de celles et ceux qui utilisent des chevaux dans une exploitation…
A travers divers cas, à l’époque où le matériel s’est révélé, pour certains, plus rentable qu’un tracteur et son équipement.
Sur une exploitation de 130 ha, dans une région humide comme le LIMOUSIN, l’on peut adapter des matériels récents à l’utilisation des chevaux.
Depuis très peu de temps, le Ministère de l’Agriculture s’est aperçu que le cheval était très rentable sur certaines exploitations familiales.
Un agriculteur a mis au point un épandeur centrifuge qui permet d’épandre 1 ha en moins d’1/4 h avec un seul cheval.
Un semoir à tracteur ne va pas plus vite. Le gros avantage de cet appareil, avec les chevaux, c’est que l’on passe par n’importe quel temps.
Il y a 70 ans, en Haute-Vienne, on labourait plus de 100 000 ha…aujourd’hui, à peine 30 000 ha. Il y a de plus en plus de jeunes qui s’intéressent au cheval mais ils n’ont aucune formation. Un jeune agriculteur qui a 40 ha a laissé le tracteur pour quatre chevaux.
En Haute-Vienne, 10 personnes utilisent le cheval essentiellement.
Il y a aussi des gens qui apportent des « trucs » adaptés à l’agriculture actuelle. On trouve l’exemple d’un half-track: c’est un attelage de 8 à 10 chevaux avec un relevage: le polyculteur. Il est utilisé en AFRIQUE sous une autre appellation: le tropiculteur.
Donc, économie énorme et meilleure adaptation. Les concours de labour servent à rapprocher les différentes générations. Les anciens apportent leur expérience, les jeunes leur dynamisme.
Les participants sont presque tous des utilisateurs permanents du cheval. Désormais, il n’y a aucune école d’agriculture capable d’enseigner aux jeunes volontaires l’attelage de chevaux. En Ardennes, il y a des stages mais il faut réserver un an à l’avance !
Dans les écoles d’agriculture, il n’y a plus une paire de chevaux…
Enregistrement réalisé avec un NAGRA III et un micro LEM DO 21 B.
Prise de sons et réalisation: Thierry LAMIREAU
Merci à Jean-Pierre BARRE, Bernard COUTY et à tous les anciens et jeunes agriculteurs rencontrés en Haute-Vienne.
Élise LUCET, journaliste tant connue, m’a donc « utilisé »…sans me contacter directement.
Comment ? Fastoche, c’est une boîte de production (« Ligne de Mire Production ») qui m’a contacté (en me disant qu’un de mes articles avait déclenché le projet) pour m’impliquer dans la « fameuse » émission intitulée: « Uranium: le scandale de la France contaminée » diffusée dans le cadre de l’émission « Pièces à conviction » de France 3 (diffusée le 11 février 2009).
L’équipe a travaillé d’après mes informations, mes diapositives, mon intervention in situ, et des extraits de mon film « Uranium en Limousin »…que j’ai tourné seul après la censure orchestrée par la COGEMA (AREVA/ORANO) sur le dos de l’émission « Envoyé Spécial » de France 2…en 1992. Un comble !
Pour revoir le sujet en basse résolution c’est ici:
Et pour le final, un sujet de Guillaume MEURICE, de FRANCE INTER, sur les travailleurs du nucléaire lors d’une manifestation d’employés d’AREVA contre la suppression d’emplois dans l’entreprise le 16 septembre 2015.
MAGNIFIQUE dans le genre, si l’on peut dire !
MINES D’URANIUM AU NIGER:
UN SCANDALE NOMMÉ…
COGÉMA !
Des trous, des trous, des p’tits trous !
La mine d’uranium d’Arlit via Google Earth, exploitée par une filiale d’Orano, la Société des mines de l’Aïr (Somaïr), créée en 1968.
Alors que certains déchets miniers ont une durée de vie de 4,5 milliards d’années, la CRIIRAD vient nous jouer la comédie de l’étonnement en disant que l’on « trouve encore des lieux radioactifs/radiotoxiques sur les sites des anciennes mines d’uranium en France ou au Niger ».
Tu parles d’une découverte !
Le laboratoire (pas indépendant puisque son agrément dépend de ministères de l’État) profite d’un tournage pour France 3 Nouvelle Aquitaine pour nous sortir…l’évidence…
« Le plan présenté hier dresse la liste de ces minerais critiques ou stratégiques, que l’on retrouve dans les technologies dites propres, batteries électriques ou panneaux solaires, mais aussi dans les satellites, les matériels informatiques ou les armes. »
Dans la foulée d’un rapport remis le 10/01/22, le Gouvernement français annonce vouloir créer une norme/label « mine responsable » au niveau européen. (sic)
« Diplômé de l’ISAE-ENSMA (aéronautique et spatial) et du Génie Atomique, Tristan KAMIN est aujourd’hui ingénieur d’études en sûreté nucléaire.
Agacé par les idées reçues sur le nucléaire, il a développé un goût pour la vulgarisation et le « fact-checking » et utilise les réseaux sociaux pour remettre les vérités scientifiques au cœur des débats.
Il nous propose donc à l’occasion de cette intervention de vulgariser la réalité du traitement des déchets nucléaires. »
…ou comment te dire qu’enfouir des déchets radioactifs c’est le top !
Le plus petit réacteur nucléaire en France : dite « pile Zoé » à Fontenay-aux-Roses: arrêté en 1976: si tout va bien (et rien n’est certain), il sera démantelé en…2057 ! 81 ans !
Précisée dansdeux décretspubliés en 2006, la fin du démantèlement devait être achevée en 2018. Mais dès 2011, le CEA de Fontenay-aux-Roses a alerté les autorités sur ses difficultés à tenir l’échéancier.
Au fil des années, plusieurs dates sur le bouclage du chantier ressortent: 2025, 2034, 2040, puis désormais 2057.
« La direction s’aperçoit que ce n’est plus possible de finir le démantèlement dans les délais initialement prévus au vu de certaines difficultés techniques et administratives rencontrées”, explique Régis VALLÉE, chef de l’unité d’assainissement-démantèlement du site de Fontenay-aux-Roses.
27 mars 2023:Feu vert du Conseil d’État à la valorisation des substances faiblement radioactives.
Le dispositif réglementaire qui autorise de façon dérogatoire la valorisation de substances métalliques faiblement radioactives après fusion et décontamination est validé par la justice administrative.
Par une décision du 27 mars 2023, le Conseil d’État a en effet rejeté les requêtes du Réseau « Sortir du nucléaire » (RSN) visant à faire annuler les deux décrets du 14 février 2022 qui autorisent cette valorisation.
Ben tu vois, si tu es patient, le lobby pronucléaire gagne toujours !
D’autres questions les cons ?…
La pollution atmosphérique
augmente le risque
de cancer du sein
Depuis 40 ans je dis que les seins sont autant touchés par la pollution chimique et radioactive mais, comme je suis un gros con, tout le monde me dit que « je raconte n’importe quoi pour me rendre intéressant et affoler pour rien la population »
J’ai perdu trente années de ma vie à essayer de remuer les consciences et j’ai également détruit ma santé (à cause des sites radioactifs fréquentés) en tentant d’amener des informations fortes.
(Photos: les physiciens Bella et Roger BELBÉOCH)
ROGER BELBEOCH:
Histoire et critique radicale
du nucléaire
Né en 1928, Roger Belbéoch était physicien, ingénieur ESPCI, retraité du CNRS. Il a travaillé dans un laboratoire universitaire de recherche (Orsay, Paris-Sud) et s’était spécialisé dans les accélérateurs de particules et la physique des faisceaux de haute énergie.
Utilisateur de grosses installations productrices de rayonnements, il s’est intéressé aux effets biologiques des rayonnements ionisants qui, depuis le début des années 70, sont à l’origine de son questionnement sur les dangers de l’énergie nucléaire et de ses prises de position antinucléaires.
Au sein du Groupement de Scientifiques pour l’Information sur l’Energie Nucléaire (GSIEN), membre du bureau, il a publié de nombreux articles dans la revue La Gazette Nucléaire. Il a démissionné du GSIEN fin 2004. Il faisait partie du Comité antinucléaire Stop Nogent-sur-Seine et collaborait à la Lettre d’information du comité Stop Nogent-sur-Seine.
J’ai trop approché la radioactivité de l’uranium et ses compléments chimiques tels l’arsenic et tant d’autres.
J’ai aussi été empoisonné/contaminé avec l’amiante, malgré moi et sans le savoir au départ, dans la dernière école où j’ai essayé (au mieux ou au moins pire, si je puis dire) d’être instituteur à VALLIÈRES, petite bourgade près de RUMILLY/ANNECY en Haute-Savoie:
On recherche d’éventuels problèmes sur mes conduits auditifs et…l’on trouve avec une IRM du très grave: c’est dans le cerveau !
C’est une leucopathie vasculaire au stade 1 dite de « Fazekas ».
Pas de traitement ni de médicaments pour cela.
L’évolution est imprévisible pour les toubibs et peut évoluer par paliers rapides ou lents puisqu’il y a plusieurs stades (trois stades). La substance blanche du cerveau sera de plus en plus touchée et tout est dégénératif.
C’est, en quelque sorte, la mort du cerveau.
(document: Association d’anciens militaires Italiens sous couvert de l’OTAN)
Les causes sont diverses puisque j’ai d’autres pathologies: apnée du sommeil (j’ai arrêté l’aide d’un respirateur la nuit: je risque donc d’avoir un 3e AVC ou de faire une crise cardiaque), hypertension, j’ai eu le COVID-19 fin janvier 2020, deux AVC et j’ai été fortement irradié… et notamment à cause d’uranium « appauvri » contenu dans des fûts de l’ancienne usine militaire de la région parisienne du BOUCHET.
(Photo perso: fûts rouillés d’uranium « appauvri » sur le site de BESSINES
provenant de l’ancienne usine militaire du BOUCHET)
Oui, couillon inconscient que j’étais, je suis resté des heures près de ces merdes pour ne pas me faire choper par les rondes de vigiles et de gendarmes.
Incroyable puisque j’en connaissais le danger !
La boucle est bouclée !
Bref de nombreux cofacteurs aggravant mon état, et je ne vous parle pas du reste dont 12 carcinomes basocellulaires, opération d’un stade précancéreux à l’estomac/œsophage, etc…
J’ai déjà certaines conséquences: vue et audition qui baissent, déséquilibre corporel, fourmillements dans la main droite, mémoire immédiate déficiente, fatigue arrivant vite même après un effort minime, trouble de l’humeur, je me mets à pleurer pour le moindre problème matériel, je ne trouve plus les mots parfois.
CE QUI ARRIVERA APRÈS:
(Merde, j’ai déjà pris un sacré coup de vieux)
Accélération d’une démence cognitive, plus possible d’avoir une discussion soutenue et cohérente, problèmes moteurs aggravés, pisser et chier dans son froc (pardon d’écrire cela), etc.
Je vais voir prochainement pas mal de toubibs en supplément de mon généraliste et je vais essayer de mettre au point le moment où je demanderai que l’on m’aide à « partir » et si ce n’est pas possible dans la région il faudra que j’aille chercher ailleurs.
Déjà j’ai fait l’impasse sur certaines solutions: trop cher en Suisse (11000 euros), trop compliqué et trop loin pour mon cas en Belgique.
En France: RIEN !…car le Législateur est un minable.
Que me reste-t-il considérant que je ne souhaite pas me suicider de peur de me louper ou de trop souffrir ?
Je ne souhaite pas finir comme une épave.
La difficulté sera de me décider pas encore trop atteint pour ne pas louper ce moment où j’aurai conscience de ne plus pouvoir me supporter…
NOTA:
Je me moque complètement de mettre toutes ces informations personnelles sur internet.
J’estime, en outre, que les gens doivent découvrir honnêtement mes enquêtes et la situation qui en découle.
Enfin, je ne souhaite pas « faire pitié » ou me faire plaindre.
Je décris une situation. C’est un témoignage, c’est tout.