DIOT Isidore – bienfait de la déesse ISIS- se présentait en direction des habitants des villes, des panneaux de format 50×40 cm vraiment étranges posés sur les trottoirs…
Isidore DIOT, pharmacien apothécarial, chimiste agricole, étymologiste, longéviculteur, étudiant en sophrologie ou science de l’hygiène de l’esprit pour devenir un remarquable égrégius psychothérapeute.
Isidore DIOT aimait se présenter ainsi:
« Spécialiste en communication, ami de l’inspecteur ETYMOSS, de la pharmacienne S.DERIAU, de LOURTY, créateur de SPECIFAR, de l’avocat JASPAR VON GONZAC-de LUBRANY, de DEFONTAINE, des pharmaciens BERTHEL, de l’avocat SFULTITIAN FINXIT-de MATHAOU + AZOU-AZOU + LAMICHOTTE. »
Une nouvelle pépite sonore créée par la petite fille de Isidore DIOT, Clara BEAUDOUX, avec l’aide géniale de la réalisatrice Manoushak FASHAHI de FRANCE CULTURE. Une drôle d’histoire pleine de rencontres…
Un montage sonore proposé et diffusé sur RADIO FRANCE CREUSE en 1984.
Deux exemples qui nous permettent de poser une question toute simple: y-a-t-il incompatibilité entre modernisme et traditionalisme ?
Partons à la découverte de celles et ceux qui utilisent des chevaux dans une exploitation…
A travers divers cas, à l’époque où le matériel s’est révélé, pour certains, plus rentable qu’un tracteur et son équipement.
Sur une exploitation de 130 ha, dans une région humide comme le LIMOUSIN, l’on peut adapter des matériels récents à l’utilisation des chevaux.
Depuis très peu de temps, le Ministère de l’Agriculture s’est aperçu que le cheval était très rentable sur certaines exploitations familiales.
Un agriculteur a mis au point un épandeur centrifuge qui permet d’épandre 1 ha en moins d’1/4 h avec un seul cheval.
Un semoir à tracteur ne va pas plus vite. Le gros avantage de cet appareil, avec les chevaux, c’est que l’on passe par n’importe quel temps.
Il y a 70 ans, en Haute-Vienne, on labourait plus de 100 000 ha…aujourd’hui, à peine 30 000 ha. Il y a de plus en plus de jeunes qui s’intéressent au cheval mais ils n’ont aucune formation. Un jeune agriculteur qui a 40 ha a laissé le tracteur pour quatre chevaux.
En Haute-Vienne, 10 personnes utilisent le cheval essentiellement.
Il y a aussi des gens qui apportent des « trucs » adaptés à l’agriculture actuelle. On trouve l’exemple d’un half-track: c’est un attelage de 8 à 10 chevaux avec un relevage: le polyculteur. Il est utilisé en AFRIQUE sous une autre appellation: le tropiculteur.
Donc, économie énorme et meilleure adaptation. Les concours de labour servent à rapprocher les différentes générations. Les anciens apportent leur expérience, les jeunes leur dynamisme.
Les participants sont presque tous des utilisateurs permanents du cheval. Désormais, il n’y a aucune école d’agriculture capable d’enseigner aux jeunes volontaires l’attelage de chevaux. En Ardennes, il y a des stages mais il faut réserver un an à l’avance !
Dans les écoles d’agriculture, il n’y a plus une paire de chevaux…
Enregistrement réalisé avec un NAGRA III et un micro LEM DO 21 B.
Prise de sons et réalisation: Thierry LAMIREAU
Merci à Jean-Pierre BARRE, Bernard COUTY et à tous les anciens et jeunes agriculteurs rencontrés en Haute-Vienne.
L’atelier-exposition de Robert RAMEL est tenu et présenté par sa femme Madame RAMEL à RUMILLY en HAUTE-SAVOIE.
Robert RAMEL, né le 4 août 1929 et décédé en 1997, n’était pas un être ordinaire.
Ce merveilleux artiste, autodidacte, s’est inspiré de ses rêves, de son imagination et de la vie réelle pour dessiner, sculpter le bois, la pierre, les métaux, le verre et le plastique.
Robert RAMEL a toujours fait preuve d’une inépuisable énergie créatrice.
Puis les rencontres avec les plus grands artistes de l’époque s’enchaînent.
Les expositions sont programmées…au Musée RODIN à PARIS, PAGANI à LEGUANO près de MILAN, ROME, MONACO, BARCELONE,en SUISSE, etc…
Les commandes figuratives, sacrées et modernes se succèdent pour de nombreux lieux.
« La sculpture, c’est un besoin de dire, d’exprimer un sentiment. A travers mes sculptures je veux être un acteur de la vie, participer à l’évolution de l’homme. La sculpture est un travail d’action, un corps-à corps avec la matière » disait Robert RAMEL.
Ainsi, le mutant, né d’une souche de tilleul, n’est que le reflet du drame de la catastrophe majeure de TCHERNOBYL.
Les « boat people » sont de pierre, l’ « élévation » des hommes est édifiante, les couples enlacés affichent des lignes épurées » notait un journaliste de l’époque.
A côté de l’atelier, attendent, pour l’éternité, 10 tonnes de bois et de pierres.
Robert RAMEL était multiple, exceptionnel.
« Très impressionné par l’exposition d’un artiste unique, on ressent avec beaucoup d’émotion une grande sensibilité et conscience de l’UNIVERS »…ai-je écrit sur le livre d’or.
Merci à Madame RAMEL pour sa modestie, sa gentillesse et son humilité.
Grâce à elle, nous pouvons voir et découvrir pour l’éternité un artiste ignoré et oublié par la Société alors que son oeuvre témoigne d’une très grande qualité telle que d’autres artistes plus connus.
NOTA: En écoutant le montage sonore suivant vous pourrez retrouver, à travers les différentes photos, les repères de la visite en compagnie de Madame RAMEL. La prise des sons et les photos ont été réalisées avec mon téléphone portable….incroyable objet qui vous permet d’enregistrer du son en prenant des photos !
Prise de sons, montage, mixage:
Thierry LAMIREAU
Illustrations sonores:
HANDEL: Concerto in F N°4 Allegro, HANDEL Concerto in BN 2Opus 4 par Johann ARATORE à l’orgue et HANDEL FESTIVAL CHAMBER ORCHESTRA en 1988,
L.V BEETHOVEN: Concerto N°2 pour piano et orchestre Opus N°19 piano Andor FOLDS et Direction Ernest BOUR.
Enregistrement exceptionnel d’après des archives sauvées (de poubelles !) de l’Orchestre Symphonique de la SÜDWESTFUNK du 11 mars 1965.
Création sonore électroacoustique personnelle.
Durée:63 minutes.
Thierry LAMIREAU
lesoufflecestmavie.unblog.fr
Reportage réalisé le 26 mai 2015.
Bonne découverte !…
L’Atelier de Robert RAMEL à RUMILLY en HAUTE-SAVOIE.
Exposition présentée par Madame RAMEL.
10 tonnes de bois et de pierres attendent une autre vie.
Entrée de l’atelier Robert RAMEL.
Des oeuvres en bois et en bronze.
Des modèles originaux d’inspiration
traditionnelle et contemporaine.
Des sculptures qui ont servi parfois aussi
de modèle pour des structures plus grandes.
Présence d’oeuvres « modernes ».
Deuxième salle dans l’atelier.
De multiples matériaux travaillés.
Des maquettes pour des créations monumentales.
Bronzes.
Richesse de création.
Lignes épurées.
Stances de la Vie:
Tendresse, concertation,
caresse, dispute, naissance.
Modernité.
Maquette de Christ
pour FLORIMONT.
Maquette d’une sculpture
en pierre de JAUMONT.
(10 mètres de long sur 3 mètres de haut.
lycée technique de RUMILLY).
Maquette de sculpture en marbre
pour le Parc des Thermes
d’AIX-LES-BAINS (1971).
Quelques premières oeuvres
de Robert RAMEL.
Tableau peint sur platre et contreplaqué.
Recherche dans la variété des matériaux.
Grande inspiration, variété des oeuvres et des matériaux.
Élise LUCET, journaliste tant connue, m’a donc « utilisé »…sans me contacter directement.
Comment ? Fastoche, c’est une boîte de production (« Ligne de Mire Production ») qui m’a contacté (en me disant qu’un de mes articles avait déclenché le projet) pour m’impliquer dans la « fameuse » émission intitulée: « Uranium: le scandale de la France contaminée » diffusée dans le cadre de l’émission « Pièces à conviction » de France 3 (diffusée le 11 février 2009).
L’équipe a travaillé d’après mes informations, mes diapositives, mon intervention in situ, et des extraits de mon film « Uranium en Limousin »…que j’ai tourné seul après la censure orchestrée par la COGEMA (AREVA/ORANO) sur le dos de l’émission « Envoyé Spécial » de France 2…en 1992. Un comble !
Pour revoir le sujet en basse résolution c’est ici:
Et pour le final, un sujet de Guillaume MEURICE, de FRANCE INTER, sur les travailleurs du nucléaire lors d’une manifestation d’employés d’AREVA contre la suppression d’emplois dans l’entreprise le 16 septembre 2015.
MAGNIFIQUE dans le genre, si l’on peut dire !
MINES D’URANIUM AU NIGER:
UN SCANDALE NOMMÉ…
COGÉMA !
Des trous, des trous, des p’tits trous !
La mine d’uranium d’Arlit via Google Earth, exploitée par une filiale d’Orano, la Société des mines de l’Aïr (Somaïr), créée en 1968.
La journaliste dit: « aujourd’hui, le niveau de radioactivité sur le site n’est plus alarmant ».
C’est FAUX ! Les touristes se promènent alors que le niveau du compteur Geiger de la visiteuse indique: 0,89 microsievert par heure.
Or, le maximum à ne pas dépasser pour la population (hors fœtus) est de 0,15 microsievert par heure !…ou comment se faire irradier gratos avec l’aval des autorités.
Le coup de maître de la Russie, c’est de soutenir des juntes partout où il y a des ressources naturelles, sous prétexte de chasser la France, ancien colonisateur.
Alors que certains déchets miniers ont une durée de vie de 4,5 milliards d’années, la CRIIRAD vient nous jouer la comédie de l’étonnement en disant que l’on « trouve encore des lieux radioactifs/radiotoxiques sur les sites des anciennes mines d’uranium en France ou au Niger ».
Tu parles d’une découverte !
Le laboratoire (pas indépendant puisque son agrément dépend de ministères de l’État) profite d’un tournage pour France 3 Nouvelle Aquitaine pour nous sortir…l’évidence…
« Le plan présenté hier dresse la liste de ces minerais critiques ou stratégiques, que l’on retrouve dans les technologies dites propres, batteries électriques ou panneaux solaires, mais aussi dans les satellites, les matériels informatiques ou les armes. »
Dans la foulée d’un rapport remis le 10/01/22, le Gouvernement français annonce vouloir créer une norme/label « mine responsable » au niveau européen. (sic)
« Diplômé de l’ISAE-ENSMA (aéronautique et spatial) et du Génie Atomique, Tristan KAMIN est aujourd’hui ingénieur d’études en sûreté nucléaire.
Agacé par les idées reçues sur le nucléaire, il a développé un goût pour la vulgarisation et le « fact-checking » et utilise les réseaux sociaux pour remettre les vérités scientifiques au cœur des débats.
Il nous propose donc à l’occasion de cette intervention de vulgariser la réalité du traitement des déchets nucléaires. »
…ou comment te dire qu’enfouir des déchets radioactifs c’est le top !
Le plus petit réacteur nucléaire en France : dite « pile Zoé » à Fontenay-aux-Roses: arrêté en 1976: si tout va bien (et rien n’est certain), il sera démantelé en…2057 ! 81 ans !
Précisée dansdeux décretspubliés en 2006, la fin du démantèlement devait être achevée en 2018. Mais dès 2011, le CEA de Fontenay-aux-Roses a alerté les autorités sur ses difficultés à tenir l’échéancier.
Au fil des années, plusieurs dates sur le bouclage du chantier ressortent: 2025, 2034, 2040, puis désormais 2057.
« La direction s’aperçoit que ce n’est plus possible de finir le démantèlement dans les délais initialement prévus au vu de certaines difficultés techniques et administratives rencontrées”, explique Régis VALLÉE, chef de l’unité d’assainissement-démantèlement du site de Fontenay-aux-Roses.
27 mars 2023:Feu vert du Conseil d’État à la valorisation des substances faiblement radioactives.
Le dispositif réglementaire qui autorise de façon dérogatoire la valorisation de substances métalliques faiblement radioactives après fusion et décontamination est validé par la justice administrative.
Par une décision du 27 mars 2023, le Conseil d’État a en effet rejeté les requêtes du Réseau « Sortir du nucléaire » (RSN) visant à faire annuler les deux décrets du 14 février 2022 qui autorisent cette valorisation.
Depuis 40 ans je dis que les seins sont autant touchés par la pollution chimique et radioactive mais, comme je suis un gros con, tout le monde me dit que « je raconte n’importe quoi pour me rendre intéressant et affoler pour rien la population »
J’ai perdu trente années de ma vie à essayer de remuer les consciences et j’ai également détruit ma santé (à cause des sites radioactifs fréquentés) en tentant d’amener des informations fortes.
(Photos: les physiciens Bella et Roger BELBÉOCH)
ROGER BELBEOCH:
Histoire et critique radicale
du nucléaire
Né en 1928, Roger Belbéoch était physicien, ingénieur ESPCI, retraité du CNRS. Il a travaillé dans un laboratoire universitaire de recherche (Orsay, Paris-Sud) et s’était spécialisé dans les accélérateurs de particules et la physique des faisceaux de haute énergie.
Utilisateur de grosses installations productrices de rayonnements, il s’est intéressé aux effets biologiques des rayonnements ionisants qui, depuis le début des années 70, sont à l’origine de son questionnement sur les dangers de l’énergie nucléaire et de ses prises de position antinucléaires.
Au sein du Groupement de Scientifiques pour l’Information sur l’Energie Nucléaire (GSIEN), membre du bureau, il a publié de nombreux articles dans la revue La Gazette Nucléaire. Il a démissionné du GSIEN fin 2004. Il faisait partie du Comité antinucléaire Stop Nogent-sur-Seine et collaborait à la Lettre d’information du comité Stop Nogent-sur-Seine.
Il n’y a pas que la « malbouffe » qui fait grossir actuellement les individus, jeunes ou vieux, à tel point que certains parlent « d’épidémie » !
Lire c’est comprendre…
Je ne rejette pas les causes alimentaires et industrielles reconnues stipulant que la consommation de trop d’aliments transformés et/ou sucrés aggrave l’obésité générale des populations.
L’ uranium « appauvri » est un cofacteur déréglant l’assimilation des graisses comme dans ce que j’ai vécu corporellement personnellement:
En 2001, après mes fortes irradiations et mes inhalations probables d’uranium dans et sur les mines d’ uranium en Limousin pour tourner mon film « Uranium en Limousin », j’ai pris 30kg en 6 mois + des stéatorrhées + une opération d’un stade pré-cancéreux à l’œsophage estomac.
Ce qui est caché par les États, les militaires et les instances diverses internationales est que les bombardements à l’uranium « appauvri » pratiqués par TOUS dans tous les conflits induisent une augmentation exponentielle de l’obésité !
Le plus grave est que l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) cache sciemment cette info. Pourquoi ?…
Parce qu’elle a, depuis le 28 mai 1959, un accord avec l’AIEA (Agence Internationale de l’Énergie Atomique) stipulant que toute info de Santé Publique ne doit pas nuire aux projets pronucléaires de l’AIEA:
J’ai trop approché la radioactivité de l’uranium et ses compléments chimiques tels l’arsenic et tant d’autres.
J’ai aussi été empoisonné/contaminé avec l’amiante, malgré moi et sans le savoir au départ, dans la dernière école où j’ai essayé (au mieux ou au moins pire, si je puis dire) d’être instituteur à VALLIÈRES, petite bourgade près de RUMILLY/ANNECY en Haute-Savoie:
On recherche d’éventuels problèmes sur mes conduits auditifs et…l’on trouve avec une IRM du très grave: c’est dans le cerveau !
C’est une leucopathie vasculaire au stade 1 dite de « Fazekas ».
Pas de traitement ni de médicaments pour cela.
L’évolution est imprévisible pour les toubibs et peut évoluer par paliers rapides ou lents puisqu’il y a plusieurs stades (trois stades). La substance blanche du cerveau sera de plus en plus touchée et tout est dégénératif.
C’est, en quelque sorte, la mort du cerveau.
(document: Association d’anciens militaires Italiens sous couvert de l’OTAN)
Les causes sont diverses puisque j’ai d’autres pathologies: apnée du sommeil (j’ai arrêté l’aide d’un respirateur la nuit: je risque donc d’avoir un 3e AVC ou de faire une crise cardiaque), hypertension, j’ai eu le COVID-19 fin janvier 2020, deux AVC et j’ai été fortement irradié… et notamment à cause d’uranium « appauvri » contenu dans des fûts de l’ancienne usine militaire de la région parisienne du BOUCHET.
(Photo perso: fûts rouillés d’uranium « appauvri » sur le site de BESSINES
provenant de l’ancienne usine militaire du BOUCHET)
Oui, couillon inconscient que j’étais, je suis resté des heures près de ces merdes pour ne pas me faire choper par les rondes de vigiles et de gendarmes.
Incroyable puisque j’en connaissais le danger !
La boucle est bouclée !
Bref de nombreux cofacteurs aggravant mon état, et je ne vous parle pas du reste dont 12 carcinomes basocellulaires, opération d’un stade précancéreux à l’estomac/œsophage, etc…
J’ai déjà certaines conséquences: vue et audition qui baissent, déséquilibre corporel, fourmillements dans la main droite, mémoire immédiate déficiente, fatigue arrivant vite même après un effort minime, trouble de l’humeur, je me mets à pleurer pour le moindre problème matériel, je ne trouve plus les mots parfois.
« LE PLOUC ET LE SPÉCIALISTE »
Ou l’histoire de l’irradié (moi) avec un membre de l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire):
Accélération d’une démence cognitive, plus possible d’avoir une discussion soutenue et cohérente, problèmes moteurs aggravés, pisser et chier dans son froc (pardon d’écrire cela), etc.
Je vais voir prochainement pas mal de toubibs en supplément de mon généraliste et je vais essayer de mettre au point le moment où je demanderai que l’on m’aide à « partir » et si ce n’est pas possible dans la région il faudra que j’aille chercher ailleurs.
Déjà j’ai fait l’impasse sur certaines solutions: trop cher en Suisse (11000 euros), trop compliqué et trop loin pour mon cas en Belgique.
En France: RIEN !…car le Législateur est un minable.
Que me reste-t-il considérant que je ne souhaite pas me suicider de peur de me louper ou de trop souffrir ?
Je ne souhaite pas finir comme une épave.
La difficulté sera de me décider pas encore trop atteint pour ne pas louper ce moment où j’aurai conscience de ne plus pouvoir me supporter…
NOTA:
Je me moque complètement de mettre toutes ces informations personnelles sur internet.
J’estime, en outre, que les gens doivent découvrir honnêtement mes enquêtes et la situation qui en découle.
Enfin, je ne souhaite pas « faire pitié » ou me faire plaindre.
Je décris une situation. C’est un témoignage, c’est tout.
Il y a une désinformation globale sur les armes à uranium « appauvri ». C’est celle qui conduit à croire que ces armes sont fabriquées avec l’inoffensif uranium 238, et sont donc peu radioactives. C’est erroné. En effet ces armes sont constituées en majeure partie d’uranium 235 et / ou de plutonium 239, car elles sont fabriquées à partir de l’uranium / du plutonium militaire des bombes atomiques remisées après la signature des traités de désarmement.
L’uranium 235 ou le plutonium 239 s’oxyde violemment à l’impact (bien sûr pas de fission atomique en question, sauf peut-être extrêmement marginalement d’où le petit flash lumineux), et ne reste dans les poussières que l’uranium 238 qui l’accompagnait (car il y a toujours 5 ou 20% d’uranium 238 avec le combustible fissile enrichi à un niveau militaire, sans parler de la couche d’uranium 238 qui entoure comme « tampon » la sphère d’uranium / de plutonium militaire et qui est probablement elle aussi réutilisée dans les charges creuses anti-tank).
On peut le démontrer car la fabrication de ces armes exige un matériel PYROPHORIQUE (auto-inflammable), comme spécifié dans les brevets (par exemple ici « The shot may include an incendiary material such as a pyrophoric material (e.g., zirconium […] depleted uranium) » pour le brevet du missile Hellfire).
Les gouvernements, lorsqu’ils sont interrogés sur les armes à uranium appauvri, oublient de mentionner qu’il est incendiaire, et affirment qu’il s’agit du très peu radioactif, et donc peu actif, uranium 238 (voir par exemple ici la réponse du gouvernement de J. M. Ayrault à André Chassaigne).
Soit le rédacteur de cette réponse est très très mal informé, soit il est très très bien informé et il sait mentir. Le plutonium, qui est pyrophorique, est capable de chauffer tout seul, il y a de nombreux cas d’incendies accidentels à cause de ça. Un exemple cité dans une publication du laboratoire de Los Alamos :
“Runaway” reactions can occur under fairly routine conditions. In one case, a failed storage package containing a plutonium casting was examined in a glove box, which had a nitrogen-rich atmosphere (less than 3 percent oxygen) normally used for handling plutonium metal. The package remained there for 3 hours after disassembly and initial inspection.When the workers returned to continue their evaluation, they found that the inner container was hot to the touch and its diameter had increased by 50 percent in the region surrounding the casting (Haschke and Martz 1998b). […] The reaction generated excessive temperatures and started under conditions that are considered safe for the routine handling of plutonium.
A-t-on déjà vu un stock d’uranium 238 se comporter comme cela ? C’est la question que je veux mettre au centre de cet article.
Est utilisée de façon militaire, systématiquement dans les armes modernes, la propriété pyrophorique précédemment décrite du plutonium ou de l’uranium 235, sa capacité à chauffer tout seul, afin de fabriquer des armes incendiaires.
Cette propriété est corollaire de la nature fissile de ce matériau, car elle n’existe qu’avec les matériaux fissiles. Et après, on nous entraîne à penser que les armes à uranium « appauvri » ne sont pas « nucléaires »…
A-t-on déjà vu de l’uranium 238 brûler spontanément au contact de l’air ? C’est de l’uranium 235 que l’on utilise dans les bombes, ou du plutonium, car eux seuls ont cette propriété qui permet de traverser les blindages et tuer aussi efficacement.
Et ces faits sont prouvés par la nature de l’uranium que l’on retrouve en Irak et ailleurs : non seulement de l’uranium 238 (héritage comme je le dis de la « combustion incomplète » du mélange d’uraniums) mais de l’uranium 236, produit de fission, de l’uranium 235 et du plutonium 239 ! Les relevés en Irak d’Axel Gerdes, minéralogiste de l’université de Francfort, sont par exemple révélateurs.
Il faudrait donc en droit international considérer la pyrophoricité comme étant du même ordre que la fission nucléaire car, tout comme la fission nucléaire, elle n’appartient qu’aux noyaux fissiles. Et les gouvernements qui diffusent des informations erronées sur la fabrication de ces armes doivent être condamnés ! car ils mettent en danger la vie de milliers de soldats et de millions de civils à proximité des champs de bataille.
Il suffit de comprendre que l’uranium est utilisé à des fins incendiaires et que les gouvernements refusent même, dans l’ensemble, de reconnaître cela – il y a mise en danger de la vie d’autrui.
Ma prochaine action sera de tenter de faire admettre qu’on utilise dans les bombes l’uranium « appauvri » à des fins incendiaires, de combattre pour la reconnaissance des effets « pyrophoriques » de ces armes – c’est tout le sens que j’ai voulu donner à mon action en appelant mon association « PYROPHOR ».
Et d’ailleurs, pourquoi ce terme d’ « appauvri » ? En fait c’est une traduction de l’anglais « depleted », qui signifie « appauvrir les stocks » en anglais. Penser que cela signifie forcément « appauvri en uranium 235″ est une surinterprétation, qui profite bien à ceux qui dissimulent la vérité sur ces armes.
Le « stock » auquel fait référence l’expression, dans le contexte de la Guerre froide lors duquel a été inventée cette expression, c’est le stock d’uranium militaire enrichi à plus de 80%, qui est régulièrement renouvelé (car après un certain temps l’uranium militaire est considéré comme « périmé » même s’il est toujours enrichi au même niveau) et qui a été « déstocké » après la Guerre Froide. Il suffit de relire tous les documents militaires, les brevets et autres protocoles, à la lumière de cette nouvelle définition, pour comprendre le véritable « cycle de vie » de cet uranium ou de ce plutonium militaire.
Et dans la mesure où l’usage de ces armes constitue un détournement de matières fissiles, il est condamnable sous le chapitre 7 du traité Euratom, avec des sanctions, applicables par la Commission européenne, qui peuvent aller jusqu’à la mise sous tutelle des entreprises impliquées dans le détournement. C’est la suite de mon combat.
Présentation d’une famille hors du commun: la famille CARLIER. Comment les membres de la famille ont mélangé, agriculture, musique et voyages… Interprétation classique par les membres de la famille CARLIER.
Reportage, prise de sons, montage, mixage: Thierry LAMIREAU Matériel: NAGRA III, Micro LEM DO21B, TEAC DAP20, micro AUDIOTECHNICA AT825, home studio personnel. Diffusion: FRANCE CULTURE, RADIO FRANCE CREUSE Année: 1993 Durée: 4’55″
Reportage en LIMOUSIN sur ce que pourraient être la musique traditionnelle et la culture populaire. Intervention de Léon PEYRAT (poète et violoneux en Corrèze) désormais décédé et de Olivier DURIF (musicien, spécialise des musiques traditionnelles).
Enquête, prise de sons, montage, mixage: Thierry LAMIREAU
Matériel: NAGRA III, micro LEM DO21B, NAGRA IV S, micro AUDIOTECHNICA AT 825
Avec des archives sauvées dans les poubelles de RADIO LIMOGES CENTRE OUEST et LIMOGES PTT (aujourd’hui FRANCE BLEU LIMOUSIN), comment recréer une histoire. Un homme entre dans sa voiture et trouve toujours le même programme radiophonique sur toutes les stations avant de retrouver les programmes actuels de RADIO FRANCE.
C’est un retour dans le temps
qui nous permet de découvrir
de belles archives sonores:
Inauguration de l’émetteur de NIEUL par le Ministre des Sports, Télégraphes et Téléphones, Jules JULIEN, Georges-Emmanuel CLANCIER qui avait travaillé à RADIO LIMOGES, Jean GIRAUDOUX en 1951 qui parle du LIMOUSIN, témoignage d’une membre de la famille de George SAND. Une longue recherche dans 9 m3 d’archives sonores d’une station radiophonique qui jetait tout dans des poubelles: écouter toutes les galettes (bandes) et tous les disques souples (78 tours des émissions).
Travail à la fois fastidueux
et passionnant:
Archives reprises par L’INA ATLANTIQUE beaucoup plus tard (17 ans après mon sauvetage). Bruitages dans véhicule, recréation de jingle de RADIO FRANCE, prise de sons, voix off, création de la fiction sonore, montage, mixage: Thierry LAMIREAU Prise de sons: NAGRA III, Micro LEM DO21B, TEAC DAP20, Micro stéréo AUDIOTECHNICA AT 825. Travail effectué avec le home studio de: Thierry LAMIREAU Diffusion: FRANCE CULTURE, RADIO FRANCE LIMOGES, RADIO FRANCE CREUSE Année: 1993