Ou comment montrer que la Direction du Renseignement Militaire (DRM)
et @Disclose_ngo (un comble) CACHENT l’utilisation d’armes à l’URANIUM et autres merdes radioactives et chimiques par l’armée française.
Faire le point
sur la situation en France
par rapport à l’utilisation
d’armes
au Yemen ?
Il est évident que l’on doit en préciser les informations d’autant que ceux qui posent les questions (certains élus, certaines associations, certains journalistes) ne décrivent pas le plus GRAVE: la France vend et utilise des armes à l’URANIUM « appauvri » et autres produits radioactifs et chimiques !
Certains Députés avancent à petits pas en parlant « d’armes radioactives » sans plus d’information.
Faudrait-il rappeler que j’ai commencé à dénoncer le sujet lorsque l’ancien Président de la République, François HOLLANDE, a ordonné les bombardements au MALI en janvier 2013:
Ce groupe de journalistes se dit « indépendant ». Il est pourtant étrange que ces enquêteurs taisentsciemment le fait qu’un grand nombre d’armes, de munitions et de missiles soient à l’uranium « appauvri » !
« Avec quels missiles ? la note ne le dit pas » (sic)
Réponse:avec des missiles à l’uranium « appauvri ».
(Document: DISCLOSE)
Les chars LECLERC
au YEMEN
(documents: DISCLOSE)
La DRM précise
l’emploi d’armes françaises
« obus flèches »
IMPORTANT et GRAVE:
La DRM parle donc « d’obus flèches » uniquement « françaises ».
DISCLOSE et la DRM censurent le fait que ces armes soient à l’uranium « appauvri » !
Or l’armée française
a avoué sous la présidence de HOLLANDE
que ces armes sont à l’uranium « appauvri » !
Extrait vidéo tiré de:
« Uranium appauvri, un tueur si présentable » Par Jacques CHARMELOT. Réalisé et filmé par François CHAYE. Producteurs: Daniel RENOUF et Sylvie STEINEBACH. Production: SYSTEM TV
Munitions à l’uranium « appauvri »
de l’entreprise 100% française
NEXTER
pour le char LECLERC
et autres matériels
Les canons CAESAR
et certains de leurs obus
à l’uranium « appauvri »
(Photo: canon CAESAR de nuit/Armée de Terre)
(Photo: capture d’écran vidéo Armée de Terre)
(Photo: dossier DISCLOSE)
La censure de DISCLOSE
sur le canon CAESAR
DISCLOSE parle de « puissant canon, puissance de feu » et CENSURE le fait que la plupart des obus du canon CAESAR contiennent de l’uranium « appauvri«
Sur la capture d’écran suivante (origine: vidéo promotionnelle de l’armée de terre)
l’on retrouve les références des armes à l’uranium « appauvri ».
Notons que l’inscription jaune est celle de l’armée française et l’inscription rouge est la mienne…
Les références de ces obus sont données ci-dessous par l’entreprise NEXTER:
Tout ce travail gigantesque n’aurait JAMAIS dû être effectué par le simple citoyen que je suis. En outre je voudrais dire que toutes ces informations ont été trouvées sur…internet !
Où sont les journalistes, les élus, les associations, les écolos politiques, etc ?
Depuis 30 années, j’essaye de remuer un peu les consciences…en vain.
J’ai pris des risques pour ma santé pour le film suivant…
Depuis le 23 juin 2019, cette vidéo est CENSURÉE en FRANCE et dans les DOM TOM…depuis que j’ai envoyé les codes des armes à l’uranium au Président MACRON !
Dégueulasserie jamais mise en place depuis la parution de la première version (censurée aussi) en…2016. La VRAIE RAISON n’est donc pas celle affichée !
Tout le texte de mon commentaire important a aussi été supprimé….Merci MACRON.
Et le monsieur ose dire qu’il est « ouvert et qu’il fait tout pour protéger la liberté d’expression et l’environnement »…Trop FORT TOTORT.
Belle censure effectuée dans les heures qui ont suivi ce qui confirme donc une utilisation des armes à l’uranium par la FRANCE.
Attitude totalement MINABLE et puérile.
Merci de noter dans les commentaires si vous pouvez à nouveau lire la vidéo.
2/ Un document d’analyse exceptionnel présenté par la regrettée madame le Docteur Rosalie BERTELL:
Un exemple qui montre qu’il n’y a pas que de l’uranium « appauvri » dans les « obus flèche » mais qu’il y a aussi de l’uranium 236, isotope qui est un des signataires caractéristiques de la fission de l’uranium 235.
l’U236 est donc une preuve directe de la fission nucléaire à l’impact des obus ce qui explique le « flash » dû à une micro réaction de fission…
Cela signifie donc que l’industrie du nucléaire se sépare en douce de ses déchets dans ces armes maléfiques sans rien dire à personne. C’est une pratique COURANTE de TOUS LES PAYS utilisateurs…
Voir ici pour plus d’explication avec Florent PIROT:
Il faut relire le document de Rosalie BERTELL et tous les autres qui abordent ce problème par rapport à la radioactivité, notamment les médecins spécialistes de nombreux pays.
J’ai aussi, à une époque, rencontré des journalistes et des médecins allemands qui ont enquêté sur les déchets à l’UA laissés in situ après les bombardements au Kosovo et ailleurs.
Les constatations sont les mêmes partout par rapport au diabète. Les instances officielles pointent le doigt sur la bouffe de merde pour que tout le monde oublie les effets des bombardements à l’UA et autres saloperies.
Pour finir, si l’article de Rosalie BERTELL a été censuré immédiatement sur le lien en 24h c’est que cette dénonciation dérange.
Il faut relire également les documents du regretté scientifique NESTERENKO mort à cause de…la radioactivité (avec son collègue YABLOKOV).
Voir ce qu’ils disaient dans leur analyse sur les effets de TCHERNOBYL:
Voilà, je continuerai sur tout cela par rapport aux bombardements français au MALI et ailleurs car je sais que c’est un gros dossier ENORME et très emmerdant pour l’Etat français et TOUS les pays de la « coalition ».
Mais CHUUUTTT, il ne faut RIEN DIRE !
Je m’en fous, je dirai…
(Photo: capture d’écran sur le site de l’armée française
Je rappelle que mon travail d’investigation est bénévole et que je ne dépends d’AUCUNE influence politique, institutionnelle ou religieuse.
Mon action est simplement là parce que je veux dénoncer l’OMERTA générale sur un sujet MAJEUR de Santé Publique qui concerne une POLLUTION générale de la planète entière…pour 4,5 milliards d’années !
Et puis, pour clore l’affaire, j’ai moi-même été irradié, entre autres saloperies, par de l’uranium « appauvri » de l’ancienne usine militaire de la région parisienne du BOUCHET.
Voir la photo ci-dessous. Photo que les cons qui m’insultent parfois voudraient « nettoyer avec PHOTOSHOP » !…tellement ils ont peine à croire que j’ai passé des heures à 30 cm de ces merdes pour me protéger des vigiles et des gendarmes à l’époque !
Car toutes les photos prises (1000 sur 25 années) ont été réalisées clandestinement sur des sites de COGEMA/AREVA en LIMOUSIN et sur le site nucléaire de BESSINES en Haute-Vienne à 40 kilomètres au nord de LIMOGES.
Inconscience pure du jeune militant que j’étais à l’époque en LIMOUSIN. A croire que dénoncer en réunion publique les dangers de la radioactivité pouvait me protéger.
DINGUE, complètement DINGUE !
Évidemment, si je pouvais revenir en arrière, je ne ferais RIEN de tout cela car, depuis 2001, je porte un lourd dossier de pathologies liées à mes irradiations successives à tel point que les médecins généralistes ont du mal à croire que je puisse encore être là !…
J’ai aussi été empoisonné/contaminé avec l’amiante, malgré moi et sans le savoir au départ, dans la dernière école où j’ai essayé (au mieux ou au moins pire, si je puis dire) d’être instituteur à VALLIÈRES, petite bourgade près de RUMILLY/ANNECY en Haute-Savoie:
Les causes sont diverses puisque j’ai d’autres pathologies: apnée du sommeil (j’ai arrêté l’aide d’un respirateur la nuit: je risque donc d’avoir un 3e AVC ou de faire une crise cardiaque), hypertension, j’ai eu le COVID-19 fin janvier 2020, deux AVC et j’ai été fortement irradié… et notamment à cause d’uranium « appauvri » contenu dans des fûts de l’ancienne usine militaire de la région parisienne du BOUCHET.
provenant de l’ancienne usine militaire du BOUCHET)
Oui, couillon inconscient que j’étais, je suis resté des heures près de ces merdes pour ne pas me faire choper par les rondes de vigiles et de gendarmes. Incroyable puisque j’en connaissais le danger !
La boucle est bouclée !
Bref de nombreux cofacteurs aggravant mon état, et je ne vous parle pas du reste dont 12 carcinomes basocellulaires, opération d’un stade précancéreux à l’estomac/œsophage, etc…
J’ai déjà certaines conséquences: vue et audition qui baissent, déséquilibre corporel, fourmillements dans la main droite, mémoire immédiate déficiente, fatigue arrivant vite même après un effort minime, trouble de l’humeur, je me mets à pleurer pour le moindre problème matériel, je ne trouve plus les mots parfois.
CE QUI ARRIVERA APRÈS:
(Merde, j’ai déjà pris un sacré coup de vieux)
Accélération d’une démence cognitive, plus possible d’avoir une discussion soutenue et cohérente, problèmes moteurs aggravés, pisser et chier dans son froc (pardon d’écrire cela), etc. Je vais voir prochainement pas mal de toubibs en supplément de mon généraliste et je vais essayer de mettre au point le moment où je demanderai que l’on m’aide à « partir » et si ce n’est pas possible dans la région il faudra que j’aille chercher ailleurs.
Déjà j’ai fait l’impasse sur certaines solutions: trop cher en Suisse (11000 euros), trop compliqué et trop loin pour mon cas en Belgique. En France: RIEN !…car le Législateur est un minable.
Que me reste-t-il considérant que je ne souhaite pas me suicider de peur de me louper ou de trop souffrir ?Je ne souhaite pas finir comme une épave.
La difficulté sera de me décider pas encore trop atteint pour ne pas louper ce moment où j’aurai conscience de ne plus pouvoir me supporter…
NOTA:
Je me moque complètement de mettre toutes ces informations personnelles sur internet.
J’estime, en outre, que les gens doivent découvrir honnêtement mes enquêtes et la situation qui en découle.
Enfin, je ne souhaite pas « faire pitié » ou me faire plaindre.
Je décris une situation. C’est un témoignage, c’est tout.
RÉSUMONS:
J’ai toujours voulu garder mon indépendance et ma liberté de penser.
Je n’appartiens à aucun parti politique, syndicat voire mouvance sectaire.
Je déteste tous ces minables qui diffusent sciemment de fausses informations, qu’ils soient journalistes ou membres de réseaux d’influence de type « complotiste ».
Je suis écœuré (mais pas étonné) par le silence/omerta/censure diffusés régulièrement par des ignorants ou des complices…suivez mon regard…la liste est longue.
J’EN PAYE DONC
LE PRIX FORT !
Le rejet par tous et une mort peut-être précoce puisque j’ai seulement 66 ans…
Nous sommes dans l’urgence car le monde du vivant a certainement déjà commencé son extinction…
Dimanche 2 octobre 2016, FRANCE 2 a diffusé (entre 23h05 et 0h40) une émission intitulée:
« Mali: quand la France entre guerre » intégrée dans l’émission « Cellule de crise » présentée par David PUJADAS.
L’émission est annoncée ainsi:
« Le 11 janvier 2013, la France lance, seule, une offensive surprise au Mali.
Quand une décision engage la vie de milliers de soldats contre un ennemi lointain, comment la machine d’Etat se met-elle en ordre de bataille ? »
Il est clair que cette émission aurait pu être réalisée par le service audiovisuel des armées puisque l’on retrouve tout le déroulement des événements présentés d’une manière biaisée à la manière du ministère de la Défense qui plus est avec la présence SCANDALEUSE de tous les gradés de l’armée française concernés par cette affaire.
Évidemment les conseillers technocrates de l’Élysée et des ministères sont aussi bien présents au cas où l’on n’aurait pas bien saisi les « éléments de langage » uniquement là pour la communication…RIEN D’AUTRE !
La mise en scène est là pour VALORISER l’action de l’armée française: une musique genre style film de guerre à l’américaine, des plans fixes des intervenants militaires et civils avant chaque interview pour montrer le sérieux des gens et des décisions, une reconstitution de certaines scènes pour « faire vrai » et « dans l’action », des extraits de vidéos donnés par le ministère de la Défense.
Ce travail est révélateur de la soumission des journalistes français face à la PROPAGANDE des militaires et de l’Etat à travers les interventions du Président HOLLANDE et de son ministre de la Défense J.Y LE DRIAN.
Vous avez dit DÉMOCRATIE et LIBERTÉ D’EXPRESSION ?…
On se MARRE ou l’on s’étouffe !
David PUJADAS envoie
ses journalistes
chercher des infos
chez LAMIREAU Thierry
Il faut noter que la journaliste Claire TESSON a essayé de me joindre (le 24 mars 2016) pour récupérer des informations sur l’utilisation des armes à l’URANIUM « appauvri » (et autres saloperies radioactives) par l’armée française.
Mail envoyé par Claire TESSON de FRANCE 2:
Le son de l’appel téléphonique de Claire TESSON:
La journaliste m’avait indiqué à la fin de son appel téléphonique:
« Ce que je vous propose c’est que je poursuive un peu mes recherches, je vous tiens au courant de l’avancée de tout ça et puis on se reparle dans quelques jours. »
J’attends toujours son appel…
Malgré son apparent intérêt sur le sujet, la journaliste n’a nullement traité ce dossier dans son documentaire.
On se demande d’ailleurs pourquoi elle m’a appelé si l’on se réfère à la réalisation finale du sujet !
Vu la mainmise sur le reportage par l’armée française on ne sera guère surpris par le résultat.
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE:
RECONNAISSANCE DE L’UTISATION
DES ARMES Á L’URANIUM
NOTA: reconnaissance timide mais qui est valable actuellement pour toutes les armes d’attaque majeures !
(Extrait tiré du documentaire « Uranium appauvri, un tueur si présentable » Par Jacques CHARMELOT. Réalisé et filmé par François CHAYE. Producteurs: Daniel RENOUF et Sylvie STEINEBACH. Production: SYSTEM TV)
L’OMERTA et le CENSURE sont passées par là. Il faut dire que FRANCE 2 a l’habitude de faire de la PROPAGANDE pour l’armée française sans aucun recul, sans aucune critique.
Musique, ambiances de guerre et commentaire de David PUJADAS pour annoncer déjà la désinformation de FRANCE 2 sous couvert de l’armée française.
« La FRANCE a-t-elle rempli ses objectifs ? Détruire les Djihadistes dans leur sanctuaire, restaurer l’intégrité du Mali. Les secrets d’une guerre contre le terrorisme ! »
Non, les Djihadistes ne sont pas détruits (LE DRIAN le confirme en fin de reportage), non , l’intégrité du Mali n’est pas restaurée puisque les attentats et les attaques s’y produisent toujours.
PUJADAS nous parle des « secrets d’une guerre »…enfin ce que veut bien donner l’armée !
C’est donc, déjà dans la présentation, MENSONGE, MANIPULATION et PROPAGANDE.
Mais c’est normal, nous sommes habitués avec David PUJADAS.
Continuons avec un extrait du discours de HOLLANDE:
« Le terrorisme, cette forme de barbarie qui a déclaré la guerre à toutes les civilisations, a pris racine dans le Sahel et dans le nord du Mali. »
HOLLANDE dit que « c’est à la communauté internationale d’intervenir » mais…la France est intervenue SEULE en « forçant la main » de la Présidence du Mali pour un intérêt UNIQUE non déclaré réellement:
La protection des mines d’uranium de AREVA au sud du Niger, très proches du Mali.
Hélène LE GAL (conseillère diplomatique Afrique à l’Elysée) et Laurent BIGOT (sous-directeur cellule Afrique de l’ouest au ministère des Affaires Etrangères) donnent une drôle de « vérité » en indiquant que la France est intervenue sur demande du Président Malien TRAORE…or la France a demandé au Mali de suivre les directives françaises…en définitive. Là, cela sent le style colonial à plein nez rien que pour protéger les mines d’uranium de AREVA dans le sud Niger !
Laurent BIGOT dit: « On leur (!) donne les termes de la lettre qui nous conviendraient et on échange avec les autorités maliennes qui nous refont une lettre dans la même journée où le Mali demande (!) officiellement le soutien militaire de la France »…au lieu du soutien aérien suggéré au départ par le Président malien.
En gros, le Président malien doit se taire et obéir aux ordres de la France.
Et HOLLANDE dit dans son discours officiel que « le Mali a demandé une aide à la France ».
Belle MANIPULATION générale pour faire passer la chose auprès des institutions internationales et de l’opinion en général.
Cédric LEWANDOWSKI, directeur de cabinet du ministre de la Défense, sort le « big » argument:
« Ce jour là, nous savons que le chef du MUJAO dispose d’un État en soi, s’installe. Cela veut dire avoir une base arrière, installer des usines de fabrication d’armements (!). S’ils prenaient le contrôle d’un État alors c’était une déstabilisation de l’ensemble du Sahel et donc un véritable danger pour la France et l’Europe. »
Plus loin dans le documentaire, David PUJADAS demande:
« Y-a-t-il d’autres intérêts pour Paris à intervenir ?…politiques ou économiques ? »
Réponse de la journaliste Claire TESSON:
« La France n’a pas vraiment d’intérêt au Mali (…) mais au Niger voisin, juste à côté, car le Niger fournit 30% de l’URANIUM consommé par les centrales nucléaires françaises. »
PUJADAS: « C’est VITAL! »
Claire TESSON: « C’est absolument stratégique de protéger ses (!) approvisionnements de la menace terroriste. »
NOTA:
Dans le montage sonore j’ai mis un extrait d’une émission de Laurent RUQUIER « On N’est Pas Couché » où l’on entend le Premier ministre Manuel VALLS confirmer que l’intervention au Mali est liée directement à la protection des mines d’uranium proches au sud Niger !…
« Les forces spéciales interviennent pour des missions délicates. Sur des terrains où la France n’est pas présente officiellement. Ils opèrent discrètement depuis quatre ans dans la région du Sahel. »
Classique travail dégueulasse de barbouze effectué par tout Etat, mais CHUT !…il ne faut pas le dire trop fort.
A BAMAKO, l’Ambassadeur de France, Christian ROUYER, anticipe les fuites:
« Dans l’urgence, je sollicite de Paris des ÉLÉMENTS DE LANGAGE (!). Que va-t-on dire aux médias qui vont s’apercevoir qu’un avion militaire français s’est posé sur le sol Malien ? D’un commun accord avec les maliens, on dit voilà…Reprise de la coopération. » (!). MAGNIFIQUE dans le genre, si l’on peut dire.
Dans son discours d’annonce de début de guerre au MALI, HOLLANDE dit:
« J’ai donc décidé que la France répondra, aux côtés de nos PARTENAIRES (!) africains, à la DEMANDE DES AUTORITÉS Maliennes… »
Belle hypocrisie, n’est-ce pas..
Pour le Général Bernard BARRERA (Commandant des forces terrestres SERVAL 2013):
« On avait dans notre coffre une sorte de LISTES DE COURSES (!), en se disant si la guerre commence voilà ce qu’il faut faire. Par exemple, comment utiliser les troupes qui sont en Côte d’Ivoire ? »
La guerre est donc l’application d’une liste de courses !
Voix off de commentaire:
« Les Forces Spéciales sont pour l’instant les SEULES en mesure de mener les combats. »
Le Général Bernard BARRERA:
« A ce moment là, le moyen le plus efficace et le plus rapide c’est d’utiliser les hélicoptères de combat (GAZELLE) équipés d’une mitrailleuse et de MISSILES ANTI-CHARS (cf. à l’uranium appauvri) qui sont allés au contact de cette colonne de Djihadistes. »…A partir du 11 janvier 2013 au matin ! (cf. témoignages du Commandant des Forces Armées Maliennes Abais DEMBELE et du responsable de l’aéroport).
NOTA:
L’hélicoptère GAZELLE n’est pas un aéronef de « combat ». Il est uniquement équipé pour combattre en supplément. D’ailleurs, David PUJADAS fait bien la remarque que l’hélicoptère GAZELLE « n’a pas de protection particulière dans l’habitacle. »
A ce sujet, l’armée soutiendra en commission d’enquête parlementaire que cet aéronef est fait pour le combat.
Comment expliquer alors le décès d’un soldat dans l’habitacle après un tir des Djihadistes ?…
Les VRAIS hélicoptères français de COMBAT sont les TIGRE fabriqués en différentes versions. Rien d’autre.
Mais la voix off du commentaire dit:
« Les autorités françaises maintiennent leur version: il n’y a eu AUCUNE frappe d’hélicoptère avant le déclenchement officiel de la guerre le vendredi après-midi ni AUCUNE VICTIME collatérale ! »
Cédric LEWANDOWSKI (Directeur de Cabinet du ministre de la Défense) indique:
« Très clairement (!) heueeee….là-dessus, j’peux être tout à fait heueeee…définitif. Les premières frappes ont lieu à 16h via le détachement des forces spéciales. Il n’y a pas de frappes avant la décision du Président de la République qui est prise pendant le Conseil de Défense, qui lui se tient à 11h30 à L’Élysée. »
Lorsqu’un conseiller technocrate te dit « très clairement » c’est que tu peux prendre l’avis contraire !
Ensuite, l’on notera la grande hésitation dans l’affirmation d’un tel propos, affirmation contredite par un Commandant Malien et le responsable direct de l’aéroport….ah mais pardon, ce sont des Maliens donc il ont tort.
CLASSIQUE MENSONGE D’État pour éviter les foudres des institutions internationales…
David PUJADAS commente:
« Deux versions s’opposent: celle des Maliens et celle des Français qui démentent tout dommage collatéral.
Mais trois ans après, où en est-on ? »
Réponse de la journaliste Claire TESSON:
« Depuis trois ans la famille malienne de Driesa MAÏGA (agriculteur à Konna) affirme que quatre de ses membres ont été tués. Elle ne se résigne pas. Elle cherche à obtenir réparation auprès des autorités françaises. Par exemple, elle s’est tournée vers l’Ambassade de France à BAMAKO ou vers des bases militaires françaises au Mali.
Après toutes ces démarches, elle s’est finalement vue opposer, par un PROCUREUR Malien, ce document…C’est un SOFA. C’est, en français, un accord sur le statut des forces militaires. Là, il est signé entre la France et le Mali, et précise notamment le statut juridique des soldats français lorsqu’ils interviennent sur le sol Malien. »
PUJADAS:
« Cela signifie que lorsque la France entre en guerre, elle signe des contrats ? »
Claire TESSON:
« Effectivement et ce contrat prévoit toutes sortes de choses toutes bêtes et très concrètes. Par exemple: les soldats français ont le droit de conduire avec leur permis français sur le sol Malien mais…il y a aussi un article, POUR LE COUP QUI M’A DAVANTAGE ÉTONNÉE c’est…L’ARTICLE 9 qui dit que:
La partie Malienne prend à sa charge la réparation des dommages causés aux BIENS ET AUX PERSONNES Y COMPRIS LORSQUE LA PARTIE FRANÇAISE EN EST A L’ORIGINE. »
PUJADAS:
« Autrement dit, si la FRANCE tue des civils, par exemple lors de raids, elle n’est pas JURIDIQUEMENT RESPONSABLE ? »
Claire TESSON:
« Non, la famille MAÏGA ne peut pas se retourner contre la France pour obtenir réparation. »
PUJADAS:
« Elle ne peut se retourner que contre l’État Malien ? »
Claire TESSON:
« Exactement. C’est le Mali qui doit prendre à sa charge toutes ces indemnisations même si la famille MAÏGA arrivait à prouver que les français sont responsables de ces frappes…Pour l’instant, la famille n’a RIEN obtenu. »
Laurent BIGOT (ministère des Affaires Étrangères):
« Alors ça peut paraître CHOQUANT à la lecture de cet article (cf.article 9 SOFA) mais la RÉALITÉ est la suivante: la France décide de s’engager pour SAUVER les institutions Maliennes (!)…la contrepartie c’est que, effectivement s’il y a des dommages collatéraux (CE QUI SE PRODUIT DANS PRATIQUEMENT TOUTES LES OPÉRATIONS MILITAIRES),
ON NE VOUDRAIT PAS QUE LES SOLDATS FRANÇAIS SOIENT POURSUIVIS PAR UNE JURIDICTION NATIONALE OU INTERNATIONALE. »
« J.Y LE DRIAN doit GAGNER L’ADHÉSION DES FRANÇAIS à cette guerre. Entouré de ses principaux conseillers, il passe en revue tous les ÉLÉMENTS DE LANGAGE et pèse chaque mot. »
Cédric LEWANDOWSKI (Directeur de Cabinet ministère de la Défense):
« LES ENJEUX DE COMMUNICATION SONT ABSOLUMENT FONDAMENTAUX parce que L’OPINION DOIT COMPRENDRE ET ADHÉRER à l’opération qui est en cours. C’est ABSOLUMENT FONDAMENTAL POUR LA RÉUSSITE MÊME DE L’OPÉRATION.
Donc oui, nous devons être extrêmement précis (!) et expliquer ce qui est en train de se passer…dans un pays qui est, c’est vrai, malgré tout lointain dans le quotidien de chacun d’entre nous. »
Bon, en gros, l’État doit trouver les bons mots pour communiquer et manipuler les masses.
A la limite, peu importe si c’est VRAI ou pas. L’essentiel est d’affirmer. Point final, circulez, y’a rien à voir pour les ploucs…
Et pendant ce temps là, avait lieu une opération ultra secrète pour essayer de libérer un otage…un drôle d’otage en Somalie…un otage de la DGSE, le service d’espionnage extérieur du pays !…otage fait prisonnier par un groupe islamiste des SHEBAB.
« Le Président HOLLANDE termine son voyage à BAMAKO. Il est accueilli en héros. » (!)
Le témoignage de Laurent FABIUS (Ministre des Affaires Etrangères en 2013):
« Merci à papa HOLLANDE et aux tontons LE DRIAN et FABIUS. Sur le moment c’est assez indicible. oh c’est plus simple que cela; on se dit que l’on a été UTILE (!). »
Commentaire en voix off:
« Sur la place de l’Indépendance, François HOLLANDE prononce un discours dont une phrase va devenir célèbre: et moi je veux ici vous dire que je viens sans doute de vivre la journée la plus importante de ma vie politique. »
Le rôle du MNLA
dans la guerre au MALI
L’Ambassadeur français au Mali considère que « l’Etat français ne doit pas se COMPROMETTRE avec les rebelles TOUAREGS. »
PARIS, Laurent FABIUS pour être précis, n’écoute pas ces conseils et passe outre…et vire ensuite l’Ambassadeur !…alors que c’est FABIUS qui se trouve dans l’ERREUR TOTALE.
L’Ambassadeur Christian ROUYER dit: « pour les Maliens c’est le MNLA qui est la première menace. C’est le MNLA qui a lancé l’offensive et c’est le MNLA qui conteste l’unité du Mali. »
Laurent FABIUS:
« Les choses ne peuvent pas toujours être d’une limpidité absolue (!). Bon…euh…ce qui est mouvements terroristes, nous refusons de « travailler » avec eux. Mais il y a…euh…euh…des personnes qui sont dans une situation un peu « intermédiaire » et là, le rôle de nos services, c’est d’essayer de les AMENER DU BON CÔTE. »
On notera que la France accepte d’agir dans des magouilles du moment que les intérêts français sont préservés, mais cela n’est pas nouveau. En tout cas, c’est DIT.
Les hésitations de FABIUS en forme de « euh » montrent bien que ces politiques ne se sentent pas vraiment à l’aise dans ce genre de pratiques…
Commentaire voix off:
« Malgré le soutien de combattants TOUAREGS, la traque de l’armée française piétine. Les grandes villes du nord ont été reprises mais l’ennemi reste invisible. La surveillance aérienne et les missions de repérage sur le terrain ne donnent RIEN. »
J.Y LE DRIAN a annoncé le retrait des militaires français à l’Assemblée Nationale. Le ministère de la Défense considère que la « reconquête du Mali est achevée ».
Vaste PLAISANTERIE contredite de plus en plus par les actions diverses effectuées ici ou là par plusieurs groupes armés au Mali.
Commentaire de PUJADAS:
« SERVAL se prolongera jusqu’à l’été 2014 et se transformera en opération BARKHANE. 3000 soldats français dans cinq pays du Sahel.
Depuis, le nord du Mali est toujours instable, les attentats continuent. Plus de trois ans après la libération de TOMBOUCTOU, les Djihadistes n’ont plus la capacité de renverser l’État Malien mais ils gardent une capacité de TERREUR. »
Interview de J.Y LE DRIAN en plateau avec PUJADAS:
« Il y a encore des mouvements terroristes mais ils sont d’une nature totalement différente par rapport à ce que l’on a connu début 2013. Ce sont plutôt des terroristes qui mènent des actions plus « classiques » de terrorisme, moins militarisées.
Début 2013, il y avait une véritable armée terroriste avec des milliers de personnes qui descendaient sur BAMAKO. Là nous avons affaire à des groupes plus restreints…quelques centaines au maximum.
Cela ne concerne pas que le Mali, mais « l’autoroute des trafics » au nord Sahel.
On arrivera à les éliminer un jour, il faut de la durée. Oui c’est vrai, il y a encore de la FRAGILITÉ au nord du Mali. Lorsque l’on combat là-bas, on assure la sécurité de la France (!).
Entre DAESH et AQMI il y a la même volonté barbare de détruire quoi qu’il arrive…déstabiliser…C’est le même enjeu, avec des implications géographiques totalement différentes. On peut constater néanmoins que lorsqu’il n’y a plus d’Etat stable alors le champ est ouvert pour le terrorisme et ce terrorisme nous vise, nous…que ce soit en Syrie ou en Irak, au Sahel ou au Mali. »
Voilà. La « messe est dite » comme on l’indique parfois.
Ce qui est TERRIBLE c’est que, comme toujours, de jeunes soldats meurent sous les considérations politiques et technocratiques de certains mais pour quels résultats ?…
Sauter sur une mine au Mali, est-ce « mourir pour la France » ?
L’État français, à travers ses zélés fonctionnaires des différents ministères concernés, diffuse sa PROPAGANDE, SES MENSONGES, SES MANIPULATIONS grâce aux fameux « ÉLÉMENTS DE LANGAGE » de COMMUNICATION et les militaires seront toujours là pour « aider à la compréhension de ses actions »…grâce à la « magnifique » COMPLICITÉ des journalistes pas trop curieux.
En espérant que mon travail vous aura aidé à mieux comprendre certains événements.
NOTA:
Presque toutes les photos sont extraites du documentaire de Claire TESSON et de Jean-Marc PHILIBERT
Un article du « Canard Enchaîné » où, une fois de plus, le journaliste Claude ANGELI parle de « missiles et de frappes de haute précision ». C’est donc toujours la censure dégueulasse sur l’utilisation des armes à l’uranium « appauvri » !
Un rapport de la Direction des droits de l’Homme de la Minusma, la Mission de l’ONU au Mali, a conclu qu’une frappe aérienne française avait visé des civils réunis à un mariage.
PROBLÈME:
La France n’avouera jamais car tout est classé « secret Défense » d’autant que tout a été effectué avec des armes à l’uranium…
Le président Emmanuel MACRON et son ministre J.Y LE DRIAN sont arrivés à la place de la Nation où des prières sont entendues . Ils sont au côté du président du CMT Mahamat Idriss DÉBY…
(Photo: Aurélie BAZZARA-KIBANGULA)
Achille Mbembe:
« Les choses ne peuvent plus
continuer comme avant »
ENTRETIEN-
Sollicité par le président Macron pour préparer son échange avec la société civile africaine au sommet Afrique-France de Montpellier, Achille Mbembe explique.
Emmanuel MACRON penserait à supprimer la présence de l’armée française à cause des djihadistes alors que François HOLLANDE a envahi le MALI pour la même raison.
Choguel Kokalla Maïga a accusé, lundi 7 février 2022, la France d’avoir œuvré à la partition de son pays à travers son engagement militaire, dans une nouvelle charge virulente devant des diplomates en poste à Bamako.
Le Gouvernement malien invite les Autorités françaises à retirer, sans délai, les forces Barkhane et Takuba du territoire national, sous la supervision des Autorités maliennes.
Les bombardements à l’uranium « appauvri » vont induire une catastrophe sanitaire comme dans d’autres pays sous les bombes.
La pollution atmosphérique
augmente le risque
de cancer du sein
Depuis 40 ans je dis que les seins sont autant touchés par la pollution chimique et radioactive mais, comme je suis un gros con, tout le monde me dit que « je raconte n’importe quoi pour me rendre intéressant et affoler pour rien la population »
Il n’y a pas que la « malbouffe » qui fait grossir actuellement les individus, jeunes ou vieux, à tel point que certains parlent « d’épidémie » !
Lire c’est comprendre…
Je ne rejette pas les causes alimentaires et industrielles reconnues stipulant que la consommation de trop d’aliments transformés et/ou sucrés aggrave l’obésité générale des populations.
L’ uranium « appauvri » est un cofacteur déréglant l’assimilation des graisses comme dans ce que j’ai vécu corporellement personnellement:
En 2001, après mes fortes irradiations et mes inhalations probables d’uranium dans et sur les mines d’ uranium en Limousin pour tourner mon film « Uranium en Limousin », j’ai pris 30kg en 6 mois + des stéatorrhées + une opération d’un stade pré-cancéreux à l’œsophage estomac.
Ce qui est caché par les États, les militaires et les instances diverses internationales est que les bombardements à l’uranium « appauvri » pratiqués par TOUS dans tous les conflits induisent une augmentation exponentielle de l’obésité !
Le plus grave est que l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) cache sciemment cette info. Pourquoi ?…
Parce qu’elle a, depuis le 28 mai 1959, un accord avec l’AIEA (Agence Internationale de l’Énergie Atomique) stipulant que toute info de Santé Publique ne doit pas nuire aux projets pronucléaires de l’AIEA:
Suis-je « binaire » ou les autres adorent-ils la censure ?
NOTA:
Même si la France
est responsable…
elle n’est pas…
responsable !
Rappel:
Par contrat signé entre la France et le Mali, quel que soit le problème,la France n’est pas responsable…même si elle est responsable. Les éventuels dédommagements en direction de familles maliennes ne peuvent être réglés que par le Mali…s’il le souhaite !
Laurent BIGOT (ministère des Affaires Étrangères):
« Alors ça peut paraître CHOQUANT à la lecture de cet article (cf.article 9 SOFA) mais la RÉALITÉ est la suivante: la France décide de s’engager pour SAUVER les institutions Maliennes (!)…la contrepartie c’est que, effectivement s’il y a des dommages collatéraux (CE QUI SE PRODUIT DANS PRATIQUEMENT TOUTES LES OPÉRATIONS MILITAIRES), ON NE VOUDRAIT PAS QUE LES SOLDATS FRANÇAIS SOIENT POURSUIVIS PAR UNE JURIDICTION NATIONALE OU INTERNATIONALE. »
Il faut noter que l’ancien conseiller ministériel Laurent BIGOT ment lors de l’interview en fin d’émission de FRANCE INTER car il indique que « c’est sur demande du MALI que la France est intervenue »…or il dit tout autre chose dans l’émission de PUJADAS…
Pour un simple citoyen, je pense avoir abordé l’essentiel, car, rappelons que je ne suis pas un journaliste !
J’ai perdu trente années de ma vie à essayer de remuer les consciences et j’ai également détruit ma santé (à cause des sites radioactifs fréquentés) en tentant d’amener des informations fortes.
J’ai aussi été empoisonné/contaminé avec l’amiante, malgré moi et sans le savoir au départ, dans la dernière école où j’ai essayé (au mieux ou au moins pire, si je puis dire) d’être instituteur à VALLIÈRES, petite bourgade près de RUMILLY/ANNECY en Haute-Savoie:
Les causes sont diverses puisque j’ai d’autres pathologies: apnée du sommeil (j’ai arrêté l’aide d’un respirateur la nuit: je risque donc d’avoir un 3e AVC ou de faire une crise cardiaque), hypertension, j’ai eu le COVID-19 fin janvier 2020, deux AVC et j’ai été fortement irradié… et notamment à cause d’uranium « appauvri » contenu dans des fûts de l’ancienne usine militaire de la région parisienne du BOUCHET.
(Photo perso: fûts rouillés d’uranium « appauvri » sur le site de BESSINES
provenant de l’ancienne usine militaire du BOUCHET)
Oui, couillon inconscient que j’étais, je suis resté des heures près de ces merdes pour ne pas me faire choper par les rondes de vigiles et de gendarmes.
Incroyable puisque j’en connaissais le danger !
La boucle est bouclée !
Bref de nombreux cofacteurs aggravant mon état, et je ne vous parle pas du reste dont 12 carcinomes basocellulaires, opération d’un stade précancéreux à l’estomac/œsophage, etc…
J’ai déjà certaines conséquences: vue et audition qui baissent, déséquilibre corporel, fourmillements dans la main droite, mémoire immédiate déficiente, fatigue arrivant vite même après un effort minime, trouble de l’humeur, je me mets à pleurer pour le moindre problème matériel, je ne trouve plus les mots parfois.
CE QUI ARRIVERA APRÈS:
(Merde, j’ai déjà pris un sacré coup de vieux)
Accélération d’une démence cognitive, plus possible d’avoir une discussion soutenue et cohérente, problèmes moteurs aggravés, pisser et chier dans son froc (pardon d’écrire cela), etc.
Je vais voir prochainement pas mal de toubibs en supplément de mon généraliste et je vais essayer de mettre au point le moment où je demanderai que l’on m’aide à « partir » et si ce n’est pas possible dans la région il faudra que j’aille chercher ailleurs.
Déjà j’ai fait l’impasse sur certaines solutions: trop cher en Suisse (11000 euros), trop compliqué et trop loin pour mon cas en Belgique.
En France: RIEN !…car le Législateur est un minable.
Que me reste-t-il considérant que je ne souhaite pas me suicider de peur de me louper ou de trop souffrir ?
Je ne souhaite pas finir comme une épave.
La difficulté sera de me décider pas encore trop atteint pour ne pas louper ce moment où j’aurai conscience de ne plus pouvoir me supporter…
NOTA:
Je me moque complètement de mettre toutes ces informations personnelles sur internet.
J’estime, en outre, que les gens doivent découvrir honnêtement mes enquêtes et la situation qui en découle.
Enfin, je ne souhaite pas « faire pitié » ou me faire plaindre.
Je décris une situation. C’est un témoignage, c’est tout.
RÉSUMONS:
J’ai toujours voulu garder mon indépendance et ma liberté de penser.
Je n’appartiens à aucun parti politique, syndicat voire mouvance sectaire.
Je déteste tous ces minables qui diffusent sciemment de fausses informations, qu’ils soient journalistes ou membres de réseaux d’influence de type « complotiste ».
Je suis écœuré (mais pas étonné) par le silence/omerta/censure diffusés régulièrement par des ignorants ou des complices…suivez mon regard…la liste est longue.
J’en paye donc le prix fort:
Le rejet par tous et une mort peut-être précoce puisque j’ai seulement 68 ans…
Méfions-nous de ceux qui AUJOURD’HUI se présentent en gestionnaires rigoureux pour DEMAIN alors que nous devons faire face à leur catastrophique imprévoyance d’HIER.
Voilà, au détour d’une intervention de communication, le Premier ministre français, Manuel VALLS, avoue à 1h45, dans l’émission « On N’est Pas Couché » de Laurent RUQUIER, la véritable raison de l’invasion du MALI…
En fait, c’est ce que disaient certains, dont moi, mais qui étaient considérés, à l’époque, comme de « grands n’importe quoi » par les politiques de tout bord et les journalistes « aux ordres » participant à l’OMERTA pratique, paresseuse et habituelle.
Notre cher VALLS avoue donc que « oui, La France devait libérer le Mali pour défendre un intérêt fondamental…l’URANIUM, pour les industries du nucléaire. Mais, il n’y a aucune honte à le dire, et si nous intervenons, comme nous le faisons à travers nos avions et avec nos aviateurs en Irak et en Syrie, nous l’assumons pleinement. »
Je vous propose le son, pas besoin d’image, du passage de l’émission où VALLS avoue un SECRET D’ETAT:
(Dialogue entre Jérémy FERRARI et Manuel VALLS)
Si, Monsieur VALLS, il est honteux de le dire et inconscient de l’avouer surtout en plein Etat d’Urgence et en plein affrontement contre les différents groupes dits « terroristes ».
Avouer de tels faits met en DANGER des populations civiles de différents pays…dont la FRANCE.
Il est aussi honteux d’avouer une piètre réalité qui n’aurait dû rester que dans les papiers détruits de la DGSE…
J’ai aussi toujours raison lorsque je dis que TOUS les Etats classifient SECRET DEFENSE leur utilisation d’armes radioactives à l’uranium « appauvri », au thorium, plutonium, béryllium, etc…
Et merci pour la planète et le monde du vivant qui, de fait, seront pollués pour 4,5 milliards d’années, si l’on considère les durées de vie de certains radio-éléments.
Simon TIVOLLE, spécialiste des questions de Défense à FRANCE
INTER, a pu voir voler en juin 2014 l’un des appareils sans pilote
les plus sophistiqués, il s’appelle le « nEUROn ».
Les drones actuellement en service servent à la surveillance ou tirent parfois des missiles dans des missions ponctuelles, mais aucun ne rivalise avec les performances des avions de combat.
Le démonstrateur technologique de drone de combat nEUROn, développé par DASSAULT AVIATION, unique maître d’œuvre, et la Direction Générale de l’Armement, unique maître d’ouvrage, réunit l’expertise de six pays européens.
C’est un drôle d’oiseau qui ressemble un peu à une soucoupe volante, ou à une raie Manta, très plat, très lisse de 12 mètres d’envergure et qui pèse 7 tonnes.
Il est destiné à déboucher sur la création des futurs drones de combat communs à la France et la Grande-Bretagne, qui a, elle aussi, son prototype, le Taranis.
Le contrat du nEUROn a été décidé en 2003 et notifié en 2006. Le démonstrateur a réalisé son premier vol le 1er décembre 2012. Une cinquantaine de vols ont depuis été effectués. La DGA a pu évaluer les performances de furtivité du drone. En avril 2014 le nEUROn a volé en formation avec un RAFALE.
FRANCE INTER
Simon TIVOLLE
Ce drone européen est un avion de combat et il devrait dans plusieurs années accompagner les avions pilotés dans des missions. Ces dernières pourraient par exemple consister à détruire les défenses anti aériennes des ennemis. Le directeur général du groupe estime que personne aujourd’hui n’envisage « un avenir entièrement avec des avions sans pilote ». Ce drone est un démonstrateur, il ne peut donc pas combattre, il permet seulement de développer de nouvelles technologies et de les tester. Mais la société estime que, d’ici 2030, ils pourraient tout à fait venir en aide aux forces aériennes européennes.
Notifié à Dassault Aviation par la DGA en 2006 ainsi que les contrats de partenariats industriels pour un coût de 400 millions d’euros, le programme nEUROn associe la France, l’Italie, la Suède, l’Espagne, la Grèce et la Suisse. Sous la maîtrise d’oeuvre de Dassault Aviation, le programme a été construit « pour fédérer les compétences et les savoir-faire »d’Alenia Aermacchi (Italie), Saab (Suède), EADS-Casa (Espagne), HAI (Grèce), Ruag (Suisse) et Thales (France).
RAPPEL:
Jean-Yves LE DRIAN
assistera à ISTRES
au vol du drone « nEUROn »
LE 12 JUIN 2014
Les armées célèbrent le 70e anniversaire des essais en vol de ses équipements aéronautiques. A cette occasion, Jean-Yves LE DRIAN, ministre de la Défense, se rendra à Istres (Bouches-du-Rhône), pour y rencontrer les équipes de la DGA et se faire présenter leurs missions. Un vol du démonstrateur de drone de combat nEUROn est également planifié.
Une semaine après les arbitrages rendus par le Président de la République sur la Loi de Programmation Militaire 2014-2019, cette visite au cœur des industries de Défense rappelle le rôle de ces 4 000 entreprises dans l’innovation technologique, et la responsabilité de la Défense dans l’anticipation et le maintien des compétences humaines nécessaires à notre équipement militaire et notre souveraineté.
En présence d’Eric TRAPPIER, président-directeur général de Dassault Aviation et de Laurent COLLET-BILLON, Délégué Général pour l’Armement, Jean-Yves LE DRIAN prendra la parole sur le thème des industries de défense et celui des compétences nécessaires au maintien de notre avance technologique.
Source: MinDef
Le nEUROn ouvre un nouveau chapitre
de l’aéronautique
militaire française
(Jean Dominique MERCHET)
Le ministre de la Défense Jean-Yves LE DRIAN s’est rendu jeudi à Istres pour le 70e anniversaire du centre d’essais en vol. Il a notamment assisté au vol d’un nEUROn, le démonstrateur européen de drone de combat furtif, qui préfigure le successeur du RAFALE à l’horizon 2030.
Seul le bruit est familier aux passionnés d’aviation : c’est celui d’un vieux réacteur Adour qui équipait jadis le JAGUAR. Pour le reste, le changement est radical. L’appareil est une sorte d’aile volante sans poste de pilotage.
Le nEUROn est le premier drone européen de combat furtif. Depuis décembre 2012, iI vole régulièrement depuis la base aérienne d’Istres pour des essais. Le ministre de la Défense, Jean Yves LE DRIAN, est venu jeudi assister au 53e vol de l’appareil, une manière pour lui de réaffirmer que «la France va continuer à soutenir sa filière aéronautique» avec les milliards de la loi de programmation militaire qu’il vient de sauver de haute lutte. «Il en va de nos intérêts stratégiques comme de nos intérêts industriels » a-t-il ajouté.
Le nEUROn n’est pour l’heure qu’un démonstrateur technologique. Ce n’est pas donc le prototype d’un futur avion de combat mais un moyen pour les industriels de découvrir et de maîtriser des technologies qui serviront, demain, dans de véritables projets militaires qui entreront en service vers 2030. Ceux qui viendront remplacer le RAFALE ou l’Eurofighter.
Lancé véritablement en 2006, ce programme est européen avec une forte participation française (46,1%), Dassault Aviation étant le maître d’œuvre industriel de l’ensemble. L’Italie avec Alenia (22,5%) et la Suède avec Saab (18,1%) sont les deux principaux partenaires aux côtés de l’Espagne, la Grèce et la Suisse.
nEUROn n’est que la première brique d’une coopération qui va être élargie au Royaume Uni. En janvier, Paris et Londres ont décidé de s’associer pour concevoir l’avion de combat du demain, le FCAS (Future Combat Air System) sur la base des acquis du nEUROn et de son homologue britannique, le Taranis. Un contrat devrait être signé en juillet pour un développement qui durera sans doute une dizaine d’années. Jean-Yves LE DRIAN a confirmé jeudi que plus de 200 millions d’euros y seraient consacrés.
Le nEUROn constitue une rupture technologique majeure pour l’industrie européenne.
Deux grandes raisons à cela : cet appareil de combat est furtif, c’est-à-dire qu’il échappe à la détection radar, et il n’a pas de pilote à son bord.
Sa forme très profilée, son revêtement, la sortie de son réacteur : tout est conçu pour que les ondes radar rebondissent sur lui. Les Américains savent faire depuis un quart de siècle mais ne partagent pas ce genre de chose. Avec le nEUROn, les Européens apprennent. Ou réapprennent des techniques abandonnées depuis la seconde guerre mondiale, comme le stockage des bombes dans une soute. Impossible de rester discret au radar si l’on accroche des missiles sous le fuselage : il faut les cacher à l’intérieur puis ouvrir une trappe et sortir l’engin. Pas si simple, surtout quand tout est automatisé.
Contrairement aux drones d’aujourd’hui, qui traquent les terroristes au Sahel ou au Pakistan, le nEUROn et ses descendants ne sont pas pilotés par un équipage installé dans une station au sol. Son vol et sa mission sont entièrement programmés à l’avance, mais l’appareil reste en permanence sous le contrôle d’une équipe au sol.
Un responsable, toujours appelé «pilote» peut intervenir si nécessaire, par exemple pour annuler la mission et faire revenir l’appareil. Le cockpit est simplement devenu un écran d’ordinateur avec son clavier et sa souris…
«Il faut maintenir l’homme dans la boucle, pour des raisons éthiques» explique-t-on à la Direction Générale de l’Armement.
Les industriels ne sont pas en train d’inventer des robots tueurs, mais des systèmes qui préserveront la vie des aviateurs dans les missions de bombardement à très haut risque.
Déroulement du sonore du journaliste Simon TIVOLLE:
L’essai se passe à Istres et le ministre de la Défense s’exprime:
« C’est un émerveillement, beaucoup de considération pour ceux qui ont fabriqué le nEUROn. »
Simon TIVOLLE:
« C’est que c’est impressionnant, qu’il y a de l’émotion. »
Eric TRAPPIER,
PDG de DASSAULT AVIATION:
« C’est un avion de combat très furtif et discret. »
Simon TIVOLLE:
Non seulement il est discret mais il n’y a pas de pilote dans l’avion ! (dit-il, avec insistance).
Journaliste plateau FRANCE INTER:
« L’avion devra être capable de faire TOUT…tout seul ! » (Texte de Simon TIVOLLE).
Simon TIVOLLE:
Les drones viendront en complément des avions de chasse sans se faire repérer pour effectuer un bombardement risqué. La priorité: ne pas perdre l’excellence aéronautique française et investir dans des technologies de demain. »
Le ministre LE DRIAN:
« Il faut un vrai projet industriel. »
Eric TRAPPIER:
« Dans deux ans, il y aura un programme avec les Britanniques. »
Derniers sons du reportage:
Satisfaction des militaires, du ministre et des industriels à l’atterrissage du drone nEUROn et…APPLAUDISSEMENTS avec BRAVO !
Ce reportage est un véritable SCANDALE !
Simon TIVOLLE travaille sur une chaîne publique pour laquelle nous donnons de l’argent à travers la redevance audiovisuelle.
Il « sert la soupe » au ministre de la Défense (et au Président HOLLANDE), à DASSAULT AVIATION et à la Direction Générale de l’Armement.
Non, Monsieur TIVOLLE, il n’y aura pas de bombardement risqué…puisqu’il n’y aura pas de pilote embarqué !...les risques seront réservés aux populations qui recevront sur « la gueule » les armes à l’URANIUM « appauvri » !
Simon TIVOLLE est un habitué qui CACHE la vérité sur l’utilisation des armes à l’URANIUM « appauvri » par la France dans chaque intervention de drones, de MIRAGE 2000, de RAFALE et d’hélicoptères TIGRE comme au MALI ou en CENTRAFRIQUE, pour ne parler que de ces pays.
Je vous renvoie au lien suivant pour découvrir que Simon TIVOLLE participe à l’OMERTA imposée par le SECRET DEFENSE de l’Etat français !
Simon TIVOLLE n’est pas un journaliste…c’est un petit soldat zélé…AUX ORDRES !
Il a un profil de soucoupe volante. Sur la piste de la base aérienne d’Istres (Bouches-du-Rhône), le nEUROn s’élance dans un bruit sourd craché par son réacteur. L’aéronef, sorti tout droit du futur, a tous les traits d’un avion de chasse, sans pilote à son bord. L’appareil est le fruit d’un programme européen lancé en 2003. Un démonstrateur de drone élaboré dans le cadre d’une coopération industrielle entre six Etats partenaires (Italie, Suède, Espagne, Grèce, Suisse et France). « C’est l’aviation de chasse de 2030 », déclare du bord de la piste le ministre de la Défense Jean-Yves LE DRIAN. «Mais ça se prépare maintenant ! »
Développé sous l’égide de la Délégation Générale pour l’Armement (DGA), la maîtrise d’oeuvre du nEUROn est conduite par Dassault Aviation. Ce chasseur dispose des technologies les plus pointues de l’aviation militaire. Dix mètres de long, 12,50m d’envergure, ses capacités lui permettent de voler pendant 1 h 40, à 100 km de sa base d’opération. La furtivité est son principal atout. Son fuselage bombé laisse une trace sur les radars à peine plus visible que celle d’un oiseau. Bardé de caméras et d’instruments de mesure, sa mission est d’abord d’observer. Mais pas seulement. Les deux bombes à guidage laser de 250 kg qu’il emporte dans sa soute en font une arme redoutable…[Redoutable car armées à l'URANIUM "appauvri" / Remarque de Thierry LAMIREAU].
Les pays européens étaient jusque là restés hors jeu dans le domaine des drones. Un créneau où seuls les Américains sont véritablement présents. En août 2013, la France en était réduite à acheter aux Etats-Unis deux Reaper, des systèmes de drone de surveillance à moyenne altitude, non armés, actuellement basés au Tchad.
« Ce type de drones est adapté à l’observation en Afghanistan ou au Mali contre les talibans ou la guérilla jihadiste. Mais il serait vite neutralisé dans des conflits de haute intensité comme en Syrie », avoue Mathieu Durand, cadre chez Dassault.
Le nEUROn n’est à ce jour qu’un démonstrateur qui n’a pas vocation à être transformé en programme de série, même s’il en prend le chemin. « Nous sommes déjà là dans l’après RAFALE », poursuit Jean-Yves LE DRIAN.
« La France a besoin de ces outils de souveraineté pour tenir sa place et relever les menaces face à sa sécurité. » Le projet est inscrit dans la loi de programmation militaire votée par le Parlement. L’alliance européenne permet de répartir les coûts, pour un budget de 400 M€. Des montants à la fabrication dix fois inférieurs à ceux des concurrents américains.
Le drone du futur poursuit ses essais de développement sur la base d’Istres. Ensuite, le nEUROn effectuera des essais en Italie, avec un scénario d’attaque air-sol.
Le 20 mars 2014, Dassault Aviation a organisé un vol en patrouille du nEUROn avec un RAFALE et un FALCON 7X. C’est la première fois au monde qu’un drone de combat effectue un vol en formation avec d’autres appareils, en l’occurrence un avion d’affaires et un avion de combat. L’ensemble de l’opération a duré 1 h 50 mn et a emmené la patrouille au-dessus de la Méditerranée sur plusieurs centaines de kilomètres.
Pour Eric TRAPPIER, Président-Directeur général de Dassault Aviation :
« Cet événement illustre notre maîtrise des technologies les plus avancées. Nos compétences dans les domaines civils et militaires s’enrichissent mutuellement pour concevoir et produire des avions d’exception au service des armées et des utilisateurs de Falcon. »
Un tel vol est très complexe à organiser : pour chacune des figures à enchaîner, il faut que se retrouvent dans un même espace de travail, au même moment, des aéronefs venant de points d’attente distincts et affichant des performances de vol différentes.
Faire évoluer un avion sans pilote à bord avec quatre autres avions pilotés (RAFALE, FALCON 7X et deux avions de prises de vues) constituait un défi supplémentaire. Il a fallu se prémunir des risques d’interférences, comme les turbulences aérodynamiques des appareils entre eux, et des risques de perturbation dans les communications entre le nEUROn et sa station de contrôle au sol.
Dans la nuit du 30 juin au 1er juillet 2014, Israël a encore frappé GAZA avec ses armes à l’URANIUM « APPAUVRI » larguées par ses aéronefs.
La Coupe du Monde de football attire les regards quant à l’utilisation d’armes à l’URANIUM « APPAUVRI » tout le monde s’en fout !
C’est normal, la presse et les Etats préfèrent distrairent les peuples avec des mecs de 22 ans qui tapent dans un ballon…
Crever d’empoisonnement avec un ADN détruit c’est tout de même moins « porteur » que des « gamins » footballeurs payés des millions pour exciter et endormir les Nations !
On crève à cause des armes à l’URANIUM « APPAUVRI » dans ce beau monde, à GAZA, au MALI, en CENTRAFRIQUE, en UKRAINE ou en IRAK ?…
Peu importe, qu’ils crèvent !…et à petit feu (si l’on peut dire) s’il vous plait !
Çela faisait longtemps… et c’est Manuel VALLS qui reprend la figure de rhétorique fétiche de François HOLLANDE pour « rendre ce double hommage au Président et à sa politique ! »
Manuel VALLS hier, dimanche 22 juin 2014, à Trèbes près de Carcassonne, dans un étonnant renversement des rôles.
On croirait entendre un Président de la République venant justifier le maintien de son Premier ministre, sauf que c’est l’inverse.
« Moi, Président », disait HOLLANDE face à un SARKOZY « médusé ».
Les conneries républicaines sont à nouveau de sortie !
Et notre cher Manuel VALLS voudrait nous faire croire que la « gauche se meurt » !
Quelle gauche ?
Cette gauche est déjà morte idéologiquement depuis longtemps !…
Votre essai de style est NUL cher monsieur VALLS.
VALLS et HOLLANDE imposent une politique de droite en divisant les couches sociales et en paupérisant le peuple à longueur de « pactes » !
Cette « démocratie » de pacotille n’est là que pour casser les « petits » que nous sommes.
Les politiques ne sont là que pour être les larbins des puissances financières nationales, européennes et internationales.
Cher monsieur VALLS:
« J’en ai ASSEZ de votre politique lancinante, destructrice des richesses nationales et du citoyen ! »
HOLLANDE « n’incarne pas la France ni la République » et ne parlons pas des valeurs scandaleuses incarnées par un Président « Marie couche-toi là » !
Quelles sont ces valeurs qui écrasent et condamnent pour l’éternité des populations entières Maliennes à coup de bombes et missiles à l’ URANIUM « APPAUVRI. »
Avez-vous conscience que vous touchez l’ADN de ces populations en utilisant ces armes ?
Des crimes contre l’Humanité
Cher monsieur VALLS, ces « valeurs » sont celles d’un CRIME CONTRE L’HUMANITE, reconnues comme telles par les instances internationales.
« J’en ai ASSEZ de vos manipulations des consciences alors que VOTRE cher Président reçoit, ce lundi 23 juin 2014, le nouvel Emir du Qatar, cheikh Tamim bin HAMAD AL-THANI pour, entre autres contrats, essayer de vendre l’avion de combat RAFALE armé avec des armes à l’URANIUM « APPAUVRI » !
« J’en ai ASSEZ de votre OMERTA qui cache l’utilisation de ces armes au MALI ou ailleurs dès que les aéronefs MIRAGE 2000, RAFALE ou les hélicoptères TIGRE interviennent dans tel ou tel pays !
J’en ai ASSEZ de vos MENSONGES CRIMINELS chers messieurs VALLS et HOLLANDE !
J’en ai ASSEZ de votre ACCAPAREMENT DES TERRES pour aller voler toutes les richesses minières des pays parmi les plus pauvres ! »
HONTE à vous !
Oui, HOLLANDE, « c’est LUI qui détruit la DIGNITE HUMAINE. »
Oui, VALLS, « c’est LUI qui assume cette horrible politique de…DROITE !
L’aviation israélienne a lancé, samedi 14 juin 2014, plusieurs frappes sur le sud de la bande de GAZA, sans faire de victime, après un tir de roquette du territoire visant Israël, a-t-on appris de sources officielles israélienne et palestinienne.
Dans un communiqué, l’armée israélienne a indiqué que l’aviation avait touché un site d’activités terroristes et un dépôt d’armes dans le sud de la bande de GAZA.
Les raids israéliens
ont été confirmés
par les autorités de GAZA
Selon un porte-parole palestinien, des hélicoptères APACHEisraéliens ont endommagé un camp d’entraînement de la branche armée du Hamas à l’ouest de Khan Younès et atteint un terrain vague à Rafah, près de la frontière égyptienne.
Samedi matin, un groupe armé palestinien avait tiré une roquette depuis GAZA vers le sud d’Israël, sans faire ni victime ni dégât, selon l’armée israélienne.
Dans l’après-midi trois autres roquettes ont été tirées, dont une a atterri en territoire israélien, ne faisant pas de victime ou de dégâts. L’armée a lancé des recherches pour retrouver les débris de deux autres engins, a annoncé un porte-parole militaire dans un communiqué.
L’aviation a ensuite lancé dans la soirée trois raids
Trois raids près de Rafah dans le sud de la bande de GAZA, sans faire ni victime ni dégât, a indiqué un porte-parole du ministère de l’Intérieur du Hamas.
Ces tirs de roquettes interviennent alors qu’une très vive tension règne sur le terrain. L’armée et les services de sécurité israéliens conduisent des recherches intensives pour retrouver trois jeunes Israéliens portés disparus depuis jeudi soir en Cisjordanie qui, selon le Premier ministre Benjamin Netanyahu ont été enlevés par un groupe terroriste.
Les deux principaux points de passage entre Israël et la bande de GAZA ont été fermés pour éviter que les trois disparus puissent éventuellement être transférés dans la bande de GAZA contrôlée par les islamistes du Hamas.
Selon de nouvelles statistiques de l’armée, plus de 200 roquettes ont été tirées depuis le début de l’année de la bande de GAZA vers le sud d’Israël.
Le dernier tir de roquettes remonte à mercredi. Peu après, l’armée israélienne avait lancé un raid aérien, tuant un Palestinien et en blessant deux autres. Le mort et un des blessés étaient des militants radicaux salafistes accusés par Israël d’attaques à la roquette.
Les attaques de groupes armés de GAZA ont nettement diminué ces derniers mois, le Hamas s’efforçant de les empêcher après avoir conclu une trêve avec Israël en novembre 2012.
Ces attaques sont régulièrement revendiquées par des groupes jihadistes salafistes, favorables à un retour aux pratiques de l’islam des origines, qui revendiquent quelques centaines de membres éparpillés entre diverses factions.
Un temps compagnons de route du Hamas, ils s’en sont progressivement éloignés, estimant qu’il n’allait pas assez loin dans l’imposition de la loi islamique.
Ils se distinguent de l’ensemble des mouvements palestiniens, y compris islamistes, en revendiquant une proximité idéologique avec Al-Qaïda.
WASHINGTON – Le Pentagone a notifié, lundi 27 janvier 2014, le Congrès américain d’un projet de vente à l’Irak de 24 hélicoptères d’attaque APACHE pour 4,8 milliards de dollars, a annoncé l’agence chargée des ventes d’armes à l’étranger.
Bagdad réclamait depuis des mois que Washington lui fournisse ces équipements mais de nombreux élus américains s’y opposaient, craignant que le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki ne s’en serve contre des groupes autres que ceux liés à Al-Qaïda. Le Congrès dispose de 30 jours pour soulever d’éventuelles objections, faute de quoi le contrat sera conclu.
Le projet de contrat porte sur 24 hélicoptères avec leurs équipements et pièces détachées. Il comporte également la vente de 480 missiles Hellfire, une arme antichar qui peut être tirée depuis des hélicoptères ou des avions.
Cette proposition de vente soutient les intérêts stratégiques des Etats-Unis en fournissant à l’Irak des moyens essentiels pour se protéger contre les menaces terroristes et conventionnelles et améliorer la protection des infrastructures pétrolières clés, justifie dans un communiqué l’Agence de Coopération de Défense et de Sécurité (DSCA), chargée des ventes d’armes à l’étranger.
Ces hélicoptères seront dédiés à des missions de soutien aérien pour les troupes au sol, de reconnaissance armée et de missions antichars, selon la DSCA.
Nouri al-Maliki, un chiite critiqué pour son manque d’ouverture envers les autres composantes de la société irakienne, est confronté à la perte de contrôle d’une partie de la province à majorité sunnite d’Al-Anbar, frontalière de la Syrie.
Des combattants de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL, lié à Al-Qaïda) se sont notamment emparés de la ville de Fallouja, à 60 km à l’ouest de Bagdad.
Dans un projet de contrat séparé, la DSCA a également notifié lundi le Congrès du projet de location de six autres hélicoptères APACHE à Bagdad pour un montant de 1,37 milliard de dollars.
Cette location doit permettre à l’armée irakienne de débuter l’entraînement opérationnel et de maintenance dans l’attente de la livraison des 24 appareils achetés, un processus qui prend des mois sinon des années.
Les six appareils en location ne sont donc pas destinées à être utilisés pour des opérations, a fortiori pour faire face à la situation actuelle dans la province d’Al-Anbar.
Le Pentagone a en outre notifié vendredi le Congrès d’un autre projet de contrat portant sur l’achat par Bagdad de 500 missiles Hellfire pour un montant de 82 millions de dollars.
Face aux événements qui secouent la province d’Al-Anbar, Washington s’est par ailleurs engagé ces dernières semaines à accélérer les livraisons de missiles Hellfire et de drones de surveillance. Ces livraisons correspondent à des contrats déjà passés avec Bagdad.
Quelque 75 missiles Hellfire ont ainsi été livrés à Bagdad à la mi-décembre. Cent missiles Hellfiresupplémentaires et 10 drones ScanEagle doivent être livrés au printemps, selon le Pentagone.
Face à la résurgence d’Al-Qaïda en Irak, Washington envisage enfin de former dans un pays tiers des forces irakiennes pour des missions antiterroristes, selon un haut responsable américain de la Défense.
La Jordanie s’est dit prête à accéder à la requête de Washington pour que l’entraînement de forces irakiennes se déroule sur son sol.
Malgré le retrait de ses troupes d’Irak fin 2011, Washington s’est imposé comme le principal partenaire de l’Irak en matière de sécurité et de défense. Les États-Unis ont fourni pour plus de 14 milliards de dollars d’armements à Bagdad entre 2005 et 2013.
La formation de troupes irakiennes serait en revanche une première depuis 2011, la centaine de militaires américains stationnée à l’ambassade américaine à Bagdad étant cantonnée à des missions de conseil au niveau ministériel.
Désigné au départ Hughes Model 77, l’AH-64A APACHE a été développé par la firme McDonnell Douglas pour répondre aux exigences de l’US Army, qui réclamait un hélicoptère capable d’effectuer des missions d’appui au sol et de lutte antichar, de jour comme de nuit, et bénéficiant d’une survivabilité élevée.
Le prototype YAH-64 effectua son vol initial en 1975, tandis que les premières machines de série étaient livrées en janvier 1984 (675 exemplaires doivent être livrés à l’US Army). L’équipement de l’APACHE comprend des missiles antichars Hellfire, un système d’acquisition de cibles et de visualisation de nuit Martin, un télémètre à laser International, un écran de visée Honeywell, un système de navigation Doppler, un récepteur de veille radar passif et des brouilleurs radar ou à infrarouges. Une version améliorée, le Longbow, a été développée.
Mi-juin 2014 ?
Les livraisons annoncées:
36 avions de combat F-16, avec des armes à l’URANIUM « APPAUVRI ».
Les 24 hélicoptères APACHE, avec des armes à l’URANIUM « APPAUVRI ».
Des centaines de missiles à l’URANIUM « APPAUVRI ».
Divers blindés et une cinquantaine de drones armés d’armes à l’URANIUM « APPAUVRI ».
Le comble de l’horreur machiavélique
est atteint par ces chers ETATS-UNIS !
Après avoir pollué et contaminé pour l’éternité (cf. durée de vie des éléments radioactifs déposés in situ) l’Irak en attaquant le pays avec des armes à l’URANIUM « APPAUVRI », les Etats-Unis vendent de nombreux matériels qui utilisent des armes à l’URANIUM APPAUVRI !
La raison:
Sous couvert de protéger l’Irak contre « des menaces terroristes » (les USA ne reculent devant aucune contradiction),les Etats-Unis veulent uniquement protéger les intérêts économiques en jeux et notamment les réserves de pétrole.
« Cette proposition de vente soutient les intérêts stratégiques des Etats-Unis en fournissant à l’Irak des moyens essentiels pour se protéger contre les menaces terroristes et conventionnelles et améliorer la protection des infrastructures pétrolières clés, justifie dans un communiqué l’Agence de Coopération de Défense et de Sécurité (DSCA), chargée des ventes d’armes à l’étranger. »
C’est donc très clair !
L’Irak, après avoir été contaminé par les armes à l’uranium « appauvri » des Etats-Unis, va utiliser elle-même des armes fournies par les Etats-Unis qui vont polluer et contaminer le pays !
Les Etats-Unis sont très rusés:
En donnant de telles armes, ils ont l’assurance que la santé de la population irakienne va encore plus être détruite…La domination n’en sera que plus complète !
Les décideurs américains (politiques et militaires) sont vraiment des « ordures » et surtout des CRIMINELS puisqu’ils commettent des CRIMES CONTRE L’HUMANITE en attaquant, entre autres problèmes, l’ADN des populations.
MACHIAVEL serait fier de constater que les Etats-Unis sont de valeureux héritiers…
Une photo de la presse israélienne montre sans équivoque possible que l’armée israélienne utilise bien des armes à l’Uranium « appauvri » dans ses bombardements contre des zones densément peuplées de civils palestiniens à Gaza.
-Idan COHEN Photo: Idan Chesler -Ynet 25/06/2007-
En regardant les images diffusées ici ou là montrant l’attaque d’ISRAEL sur GAZA, je constate à nouveau, mon expérience sur le sujet me l’indique, que les munitions flèches à l’URANIUM « APPAUVRI » sont utilisées en cette fin de novembre 2012…et j’en suis, une fois de plus, SCANDALISE !
L’armée israélienne a été accusée d’utiliser des armes à l’UA contre le Liban.
Une photo avait été publiée montrant un soldat israélien tankiste chargeant un obus à dard à l’UA.
Le site internet du quotidien israélien à grand tirage Yedihot Aharonot Ynet, avait publié le 25/06/07 une photo d’un camarade de bataillon du soldat Gilad SHALIT, prisonnier depuis un an de la résistance palestinienne à GAZA, portant sur l’épaule un obus à dard à l’UA (voir photo ci-dessus prise par Idan CHESLER) en accompagnement d’un article sur Shalit de Hanan GREENBERG intitulé « Shalit’s army buddies hopeful. »
L’article portait sur un message audio de Shalit transmis récemment aux israéliens et les réactions de ses compagnons tankistes.
Le caporal Gilad SHALIT et son camarade, le sergent de réserve Idan COHEN (sur la photo), faisaient partie d’un bataillon de tanks stationné aux alentours de la Bande de Gaza, d’ailleurs toujours en poste le long de la frontière Bande de Gaza/Israel.
La Bande de GAZA a subi de violents bombardements par air, terre (canonnières de tanks et artillerie) et mer.
Il apparaît donc clairement que SHALIT, dont les medias occidentaux ont publié en boucle une photo « innocente » (visage souriant, poupon) a passé une partie de son service militaire à bombarder des zones densément peuplées de civils palestiniens dans la Bande de GAZA avec des obus à l’Uranium « appauvri ».
La Bande de GAZA, une zone étroite avec une densité de population la plus élevée au monde – sa population palestinienne de 1,4 millions d’habitants en grande partie des réfugiés est constituée à plus de 50 % d’enfants – n’est plus simplement une prison à ciel ouvert, ainsi dénommée par beaucoup, pour ces 1,4 millions de palestiniens soumis à une terrible punition collective (blocus économique, alimentaire, médical, destruction des infrastructures…), mais un camp d’extermination.
En effet, les particules d’Uranium « appauvri » constituent un véritable gaz toxique radioactif, poison non seulement pour les actuels habitants de la Bande de GAZA, mais aussi pour les générations à venir.
Les particules d’Uranium « appauvri » s’attaquent à l’ADN, au patrimoine génétique, provoquant cancers, malformations congénitales, un héritage qui va se transmettre de génération en génération. Pas de chambre à gaz dans la Bande de GAZA, mais un poison mortel destructeur du patrimoine génétique palestinien.
L’état sioniste commet donc, en toute impunité, un génocide, avec les encouragements et (ou) le silence complice des gouvernements occidentaux et des populations occidentales qui se taisent.
L’état d’ISRAEL a, semble-t-il, trouvé la solution à ce qu’il appelle ouvertement « un problème démographique » : l’élimination progressive de la population palestinienne dont le seul tort est de vivre depuis des générations sur une terre convoitée par les sionistes qui ont tout fait et continuent de tout faire pour se l’approprier soit en en chassant brutalement et/ou en exterminant lentement la population palestinienne autochtone.
Un expert américain renommé
dénonce l’utilisation
de munitions
à l’URANIUM « APPAUVRI »
par Israël
Le DC Doug ROKKE expert renommé en Uranium « appauvri » montre du doigt Israël pour son utilisation de munitions illégales et létales à l’UA contre le peuple libanais – munitions vendues par le gouvernement des Etats-Unis – et demande une cessation immédiate de ces pratiques.
Le Dc Doug ROKKE a fait carrière dans l’armée US pendant 40 ans avant d’être nommé à la tête de l’équipe d’investigation de l’armée US portant sur l’évaluation et l’enseignement des dangers de l’uranium « appauvri ».
Il a été conseiller auprés de: Centers of Disease Control, Department of Defense, National Academy of Sciences, Institute of Medicine, U.S Senate, U.S. House of Representatives, U.S. Department of Transportation, FAA, U.S. Department of Defense. U.S. General Accounting Office, Department of Veterans Affairs, British Royal Society, British House of Lords and House of Commons, United Nations, and Presidential Special Oversight Board.
L’Uranium « appauvri », qui est un poison radioactif toxique, touche tout le monde sans discrimination. Interviewé lors d’une émission TV d’Alex JONES, le DC ROKKE a décrit certains des effets de l’UA – une arme utilisée sur les champs de bataille qui, une fois utilisée, ne peut être nettoyée et reste dans l’atmosphère pour l’éternité.
« Voilà ce que nous connaissons par des expérience directes notamment par ce qui est arrivé à certains d’entre nous pendant la 1ère guerre du Golfe, et ce que nous avons appris lorsque nous avons mené nos recherches pour l’armée US.
La première chose qui vous touche c’est les problèmes respiratoires, puis vous avez des rougeurs, puis vous commencez à avoir des atteintes pulmonaires définitives au bout de quelques mois à cause des radiations et de la toxicité chimique, puis vous avez des problèmes neurologiques, puis vous avez des problèmes gastro intestinaux. »
« Vous avez une décalcification des os et des dents – puis vous avez tous les problèmes ophtalmiques causés par les rayons alpha et gamma – et puis les cancers, la leucémie et tout le reste « a dit ROKKE. « C’est catastrophique.
Une présentation faite par l’armée US aux dirigeants du Pentagone avant la 2ème guerre du Golfe expliquait tous les problèmes liés à l’utilisation des armes à l’UA, mais ces responsables n’en ont pas tenu compte et, en public, ils ont dit qu’il n’y en avait pas».
Suite aux bombardements de l’Afghanistan, une étude scientifique conduite par des scientifiques britanniques Chris BUSBY et Saoirse MORGAN a conclu qu’une quantité élevée d’UA avait contaminé l’Europe, s’étant propagée par voie aérienne du Moyen Orient et de l’Asie Centrale.
ROKKO a dit que les israéliens ont commencé à utiliser des munitions à l’UA contre les égyptiens pendant la guerre arabo israélienne de 1973-74. Il a brièvement exposé la manière dont les israéliens utilisent des munitions à l’UA, ces « sales bombes » du monde civilisé, au Liban ces deux dernières semaines.
« L’armée américaine a explicitement confirmé avoir utilisé 500 tonnes d’uranium de munitions à l’UA dans les deux premiers mois de la guerre en Irak – dans l’opération « Shock and Awe » – et l’armée a confirmé que la bombe GBU 28, une bombe guidée au laser – qui comporte 5000lb d’explosifs contient une tête à l’UA – ces bunkers busters.
Les Etats-Unis ont fourni 100 GBU 28 à Israël pendant son offensive pour qu’ils les utilisent contre des cibles au Liban ».
« L’armée a explicitement confirmé que c’est une bombe radioactive et que les fragments qui restent après sont utilisation le sont aussi et que c’est un véritable problème. »
« Ainsi maintenant nous avons une confirmation sous forme de photos – et je veux le répéter, nous avons confirmation sous forme de photos que les canonniers israéliens ont chargé des obus à l’UA dans les tanks israéliens et les ont utilisé au Liban » a dit ROKKE à JONES.
« Ce que nous avons là c’est une utilisation délibérée de munitions radioactives, des munitions à l’UA, qui sont illégales selon les Nations Unies. »
« Nous avons tous les libanais qui en subissent les effets, toutes les femmes et les enfants qui en subissent les effets, tous les israéliens aussi, et les zones touchées là bas sont si petites que toute la région en subit les effets et est contaminée pour l’éternité. »
« Nous avions connaissance de la livraison des GBU 28, nous savions que c’était une certitude – maintenant nous recherchions les dommages causés au Liban, et tous les dommages indiquent l’UA, mais jusqu’à ce que nous ayons ces photos des bombes à l’UA chargées par un canonnier tankiste israélien nous n’avions pas vraiment de preuve et celle-ci est arrivée hier. (27/07.06) »
« Les photos de soldats israéliens chargeant des munitions à l’UA ont étrangement disparu de nombreux sites d’informations sur internet peu de temps après qu’elles aient été publiées, mais on a pu en sauver des petits formats des archives de GETTI . »
Note:En observant attentivement les photos on peut discerner le dard à l’Uranium « Appauvri » sur chaque obus. ROKKE s’est exprimé sur les opérations israéliennes utilisant des munitions à l’UA dans un article dans lequel il affirme que « l’utilisation d’armes à l’UA est totalement inacceptable, et un crime contre l’humanité.
Par conséquent les citoyens du monde et tous les gouvernements doivent agir pour que cesse l’utilisation d’armes à l’UA.
Je dois demander maintenant qu’Israël fournisse une aide médicale à toutes les personnes victimes de l’UA au Liban et qu’il nettoie la contamination à l’UA. »
En lien avec tout cela, un ancien agent des renseignements américain Wayne MADSEN a révélé que certaines sources lui avaient dit que les israéliens ont délibérément ciblé et tué les 4 observateurs de l’ONU parce qu’ils avaient obtenu des preuves des atrocités commises par les israéliens contre la population libanaise.
Des scientifiques libanais soupçonnent Israël d’avoir utilisé des armes radioactives au sud Liban.
Suivant une dépêche du Daily Star (journal libanais) du 21 août 2006, deux scientifiques libanais Mohammad Ali Qobeissi, un membre du Conseil National de Recherche Scientifique, et Ibrahim Rashidi de la Faculté des Sciences de l’Université du Liban ont inspecté un cratère de 3 m de profondeur sur 10 m de diamètre fait par une bombe larguée par l’aviation israélienne dans Khiam, dans le quartier Jlahiyyeh.
Ils y ont constaté un « haut degré de matériaux radioactifs non identifiés » en utilisant un compteur Geiger Muller et un détecteur de radioactivité.
Une équipe du Conseil testera un échantillon du cratère pour trouver de quels matériaux radioactifs il s’agit. Qobeissi a ajouté que les armes israéliennes utilisées contre Khiam et des zones voisines du sud Liban « contiennent probablement une haute teneur en uranium ».
Pourquoi les bombes
à l’UA sont illégales.
Une arme est illégale
de deux façons:
1 – Par l’adoption d’un traité spécifique l’interdisant
2 – Parce qu’elle ne peut pas être utilisée sans violer les lois et coutumes existantes régissant la guerre.
Une arme est rendue illégale parce qu’il existe un traité spécifique en interdisant l’utilisation n’est seulement illégale que pour les pays qui ont ratifié ce traité.
Une arme qui est illégale en lien avec une loi existante est illégale pour TOUS les pays. Ceci est vrai même si il existe déjà un traité concernant cette arme, et qu’un pays n’a pas ratifié ce traité. Comme il n’existe pas de traité spécifique interdisant les armes à l’UA, l’illégalité de l’utilisation de celles-ci doit être établie de la deuxième manière. Les lois et coutumes de guerre (Droit Humanitaire) comprennent tous les traités régissant les opérations militaires, l’utilisation des armes et la protection des victimes de guerre de même que le droit international coutumier (comprend notamment la Convention de la Haye réglementant les opérations militaires et la Convention de Genève réglementant la protection des parties en tant de guerre) sur ces sujets.
En d’autres termes, pour évaluer si une arme spécifique est légale ou illégale quand il n’y a pas de traité spécifique la concernant, tout le Droit Humanitaire doit être consulté.
Il existe 4 règles découlant du Droit International en ce qui concerne les armes :
1 – Les armes ne peuvent être utilisées que dans le champ légal de bataille, défini comme des cibles militaires légales de l’ennemi en guerre. Les armes ne peuvent pas avoir un effet négatif au-delà du champ légal de bataille (le test « territorial »).
2 – Les armes ne peuvent être utilisées que seulement pendant la durée du conflit. Une arme qui est utilisée ou continue d’agir après la fin de la guerre viole ce critère. (le test « temporel »)
3 – Les armes ne peuvent pas être excessivement inhumaines (le test « d’humanité ») La Convention de la Haye de 1899 et de 1907 utilise les termes « souffrance inutiles » et « blessure superflue » pour ce concept.
4 – Les armes ne peuvent pas avoir un effet négatif excessif sur l’environnement naturel (le test « environnemental »).
L’armement à l’UA échoue à ces 4 tests.
1 – Il ne peut pas être « limité » aux champs de bataille légaux et échoue au test territorial. A l’opposé, l’UA est transporté par voie aérienne loin du champ des cibles légales vers des cibles illégales (civiles) : hôpitaux, écoles, abris civils et même des pays voisins avec lesquels l’utilisateur n’est pas en guerre.
2 – Il ne peut être « arrêté » quand la guerre est finie. A l’opposé, l’armement à UA continue d’agir après la fin des hostilités et par conséquent échoue au test de temporalité. Même avec des nettoyages rigoureux des zones de combat, les particules aériennes ont une vie de ½ billion d’années et ont le potentiel de tuer et blesser d’anciens combattants et non combattants bien après que la guerre soit terminée.
3 – Il est inhumain et par conséquent échoue au test d’humanité. Cet armement est inhumain à cause de la façon dont il tue – cancer, maladie des reins… et bien après la fin des hostilités alors que la tuerie doit cesser. L’UA est inhumain parce qu’il peut provoquer des malformations génétiques telles que des anomalies crâniennes et faciales, l’absence de membres, des bébés déformés et non viables, par conséquent touchant des enfants qui n’ont jamais été des cibles militaires et qui sont nés après la fin de la guerre.
La nature teragénique des armes à l’UA et l’atteinte possible du patrimoine génétique des générations futures font qu’il est possible de considérer l’utilisation des armes à l’UA comme un génocide.
4 – Ces armes à l’UA ne peuvent être utilisées sans causer des dommages excessifs à l’environnement naturel et donc échoue au test sur l’environnement. Les dommages à l’environnement naturel comprennent la contamination de l’eau et des terres agricoles dont l’exploitation sert à la subsistance des populations civiles bien au-delà de la durée de vie de ces populations. Le nettoyage est une science inexacte de toute façon, qui coûte très cher – bien au-delà des capacités de financement d’un pays pauvre.
L’une des clauses les plus utiles du traité sur le Droit Humanitaire c’est la « clause Martens » de la Convention de la Haye de 1907 qui est reprise dans les traités suivants concernant le Droit Humanitaire.
La Clause Martens stipule que dans des situations ou il n’existe pas de clause spécifique dans un traité (ce qui est le cas pour l’UA) la communauté internationale est néanmoins liée par « les règles de principes de la loi des nations, issues des usages établis parmi les peuples civilisés, par les lois humanitaires et ce que dicte la conscience publique. »
Il existe un effort international immense de la part d’une grande variété de groupes représentant de multiples facettes de la société civile.
L’existence d’un réseau anti UA est légalement pertinent concernant l’affirmation que l’UA est illégal, et pour soutenir comme argumentaire que l’utilisation d’armements à l’UA est un crime de guerre ou crime contre l’humanité, et ce réseau peut jouer un rôle décisif pour arrêter la prolifération de ces armes.
Conséquences de l’utilisation
d’armements à l’UA
dans des opérations militaires.
Selon le droit international, il existe un certaines exigences pour remédier aux violations des Conventions de Genève et autres règles formant les lois et coutumes de la guerre. Une exigence minimum du devoir de réparer l’utilisation d’armements illégaux c’est la compensation des victimes.
Cela peut comprendre, par exemple, les victimes civiles et militaires de guerres et les armements à l’UA utilisés sur des zones militaires de tirs. Pour remédier au minimum à l’utilisation de l’UA, c’est le devoir de fournir tous les renseignements sur les armes leur développement et leur déploiement.
En ce qui concerne les dommages environnementaux, les utilisateurs de ces armes sont obligés d’effectuer un nettoyage effectif des zones contaminées.
Quand des terres et des ressources en eau ne peuvent être effectivement nettoyées, l’état qui a causé les dommages doit payer en dommages un montant égal à la perte d’exploitation des terres et des ressources en eau du patrimoine national.
En dollars Us, le coût des poursuites juridiques et du nettoyage environnemental pour les seules guerres du Golfe pourraient atteindre des chiffres prodigieux. En plus de la responsabilité pour les dommages causés aux victimes et à leur environnement, les utilisateurs d’armements à l’UA devraient être sanctionnés légalement selon les clauses des lois humanitaires existantes.
Par exemple, la Convention de Genève exige des états membres signataires (Israël en fait partie ndt) qu’ils aient des mécanismes légaux internes pour juger les personnes qui sont soupçonnés d’avoir commis des violations sérieuses du droit humanitaire.
De plus, l’Article 146 stipule que tous les états signataires ont le devoir de rechercher les violateurs mis en cause et de les juger devant leurs propres tribunaux quelque soit leur nationalité.
L’article 148 interdit à tout état de s’absoudre lui-même ou d’absoudre un autre état de la responsabilité de violations sérieuses. A cause des ces clauses de la Convention de Genève, les « accords » recherchés et obtenus par les Etats-Unis comme quoi d’autres états se sont engagés à n’entreprendre aucune action contre le personnel militaire US pendant un certain nombre d’années doivent être considérés comme nuls et non avenus puisqu’ils violent les Conventions de Genève.
Alors que les Etats-Unis peuvent obtenir des accords anticipés pour que son personnel militaire ne soit pas traduit devant la Cour Internationale de Justice, dont les US ne font pas partie, les Etats-Unis ne peuvent abroger ces règles des Conventions de Genève ou exiger d’autres états de le faire.
Bases pour considérer comme
crime de guerre
et crime contre l’humanité
l’utilisation d’armements à l’UA.
Certaines avancent que les armements à l’UA, bien que violant les normes existantes, ne pourraient constituer un crime de guerre ou un crime contre l’humanité. Crimes de guerre et crimes contre l’humanité sont définis par la Charte de Nuremberg, dans les articles des Conventions de Genève portant sur la « violation grave » et les protocoles additionnels de ces Conventions, et dans d’autres sources contenues dans des traités internationaux sur les crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Dans la 4ème Convention de Genève portant sur la protection des civils par exemple, des violations graves inclues « tuer volontairement… ou traitement inhumain… causer volontairement de grandes souffrances ou des blessures sérieuses au corps ou à la santé » des civils – c’est exactement ce que fait l’UA.
L’Article 85 du Protocole Additionnel I ajoute les attaques indiscriminées touchant les civils et d’autre actes qui arrivent nécessairement en utilisant des armements à l’UA à l’énumération des « violations graves ».
Les effets génocidaires sur les peuples bien après la fin des hostilités constituent une autre base pour considérer l’utilisation des armements à l’UA comme un crime contre l’humanité.
Source : Extraits d’un rapport de Karen PAEKER, JD intitulé « The Illégality of DU Weaponry » publié sur http://www.traprockpeace.org . Karen PARKER a été déléguée non gouvernementale auprès de la Commission des Droit de l’Homme de l’ONU et sa sous commission à partir de 2002. Ce rapport a été préparé et présenté lors de laConférence Internationale sur les Armements à l’UA qui s’est tenue en 2003 en Allemagne à Hambourg.
Réf. GRIP DATA:
G1687
Date d’insertion:
23/06/99
ARMES A URANIUM APPAUVRI:
Leçons de la guerre du Golfe
par, Dan Fahey, Swords to Plowshares (USA)
(Traduction de : Depleted Uranium : a post-war disaster for environment and health» – Laka Foundation – Mai 1999)
La Guerre du Golfe Persique de 1991 a fait étalage des armes les plus effrayantes et les plus dévastatrices du vingtième siècle, armes nucléaires, chimiques et biologiques toutes prêtes à l’usage, chacune pouvant causer des pertes massives tant chez les alliés que chez l’ennemi.
Lorsque les hostilités ont pris fin en mars 1991, le monde a poussé un soupir de soulagement à l’idée qu’aucune arme de destruction massive n’avait été utilisée. Mais était-ce vraiment le cas?
Pendant la Guerre du Golfe, les forces américaines et britanniques ont utilisé pour la première fois des munitions antichars faites d’uranium appauvri, un déchet radioactif toxique. A la fin de la guerre, plus de 290.000 kilos d’uranium appauvri avaient contaminé le matériel et le sol des champs de bataille d’Arabie Saoudite, du Koweït et du sud de l’Irak.
Bien que des enquêtes soient encore en cours et que des recherches complémentaires soient nécessaires, il apparaît maintenant que certains anciens combattants et des civils exposés à la contamination par uranium appauvri souffrent aujourd’hui de problèmes de santé, notamment de lésions rénales et de cancers.
L’utilisation de déchets radioactifs toxiques dans les munitions annonce l’arrivée d’une ère nouvelle de guerres terrestres dangereuses, une ère où la frontière entre la guerre conventionnelle et non conventionnelle sera irréversiblement trouble.
La prolifération et l’utilisation d’armes contenant de l’uranium appauvri joueront un rôle dans les conflits armés dans un avenir proche. Il faut par conséquent tirer les leçons de l’utilisation d’armes à uranium appauvri pendant la Guerre du Golfe et prendre des mesures pour réduire à un minimum et prévenir les effets nuisibles sur les soldats, les civils et les réserves alimentaires et aquifères.
L’uranium appauvri (UA) est un résidu du processus d’enrichissement du minerai d’uranium permettant son utilisation dans des armes et réacteurs nucléaires. Comme d’autres métaux lourds tels que le plomb, l’uranium appauvri est chimiquement toxique mais il s’agit aussi et surtout d’un émetteur de particules alpha d’une demi-vie radioactive de 4,5 milliards d’années.
L’Institut de Politique Environnementale de l’armée américaine (U.S. Army Environmental Policy Institute) spécifie que « l’UA est un déchet radioactif de faible activité qui doit, par conséquent, être entreposé dans des sites autorisés ».
Dans les années 50, le Ministère américain de la défense (U.S. Department of Defense) a commencé à s’intéresser à l’utilisation de métal d’uranium appauvri dans les armes car il est extrêmement dense, pyrophore, bon marché et disponible en énormes quantités aux États-Unis.
Au cours des années 60 et 70, les recherches et les essais à ciel ouvert réalisés sur divers sites aux États-Unis ont démontré l’efficacité de l’uranium appauvri dans les perforateurs à énergie cinétique qui sont des projectiles de métal solide tirés par des canons.
Les perforateurs à énergie cinétique n’explosent pas; ils se fragmentent et se consument à travers le blindage « en raison de la nature pyrophore du métal d’uranium et des températures extrêmes atteintes au moment de l’impact. » Dans les années 80, l’uranium appauvri a également été développé pour être utilisé dans le blindage des chars.
Pendant l’Opération Tempête du Désert, les chars américains M1A1, M1 et M60 ainsi que les chars britanniquesChallenger ont tiré des milliers de projectiles perforants de grand calibre à uranium appauvri.
Les avions américains A-10 et AV-8B ont tiré des centaines de milliers de projectiles de petit calibre contenant de l’uranium appauvri.Les tireurs isolés américains ont utilisé des balles de 7,62 mm et probablement de calibre 0,5 contenant de l’uranium appauvri.
Par ailleurs, un tiers (654) des chars américains utilisés pendant la guerre (2.054) étaient équipés d’un blindage contenant de l’uranium appauvri. Les perforateurs contenant de l’uranium appauvri ont accru l’avantage tactique des forces américaines et britanniques sur l’Armée irakienne mais l’efficacité du blindage des chars contenant de l’uranium appauvri n’a jamais été testé sur le champ de bataille. L’Irak n’avait pas de blindages ni de munitions contenant de l’uranium appauvri dans son stock d’armements.
En dépit de toute la publicité faite après la guerre autour des succès remportés par les armements de pointe onéreux, il est étonnant que les responsables du Pentagone et de l’industrie américaine de la défense n’aient émis que peu de louanges à propos des armes contenant de l’uranium appauvri.
On trouve une possible explication à ce silence prudent dans les rapports rédigés par l’Armée américaine avant la guerre, lesquels mettaient en garde contre le fait que l’utilisation d’armes contenant de l’uranium appauvri pourrait avoir de graves conséquences sur la santé et l’environnement et provoquer une « réaction hostile de l’opinion internationale. »
Néanmoins, les rapports publiés après la guerre ont préconisé une politique favorable à l’usage illimité et à la prolifération des armes àuranium appauvri. L’intérêt du Pentagone pour cette politique favorable à l’UA a anticipé sur les enquêtes et recherches à propos des maladies frappant à la fois les soldats ayant combattu dans la force expéditionnaire dirigée par les Américains et les populations du sud de l’Irak, maladies pouvant être en rapport avec l’exposition de ces personnes à l’uranium appauvri.
Les leçons à tirer de l’utilisation d’armes à uranium appauvri pendant la Guerre du Golfe sont inquiétantes mais les comprendre nous permettra à l’avenir de prévenir ou de réduire au maximum les effets des armes contenant de l’uranium appauvri.
Première leçon:
Les armes contenant de l’uranium appauvri contaminent les zones d’impact avec des poussières radioactives et toxiques extrêmement fines.
Les tests réalisés par l’Armée américaine ont révélé que 18 à 70% d’un perforateur à uranium appauvri, en se consumant et en s’oxydant, se transforment en particules extrêmement petites au moment de l’impact. L’impact d’un perforateur de 120 mm à uranium appauvri tiré d’un char américain Abrams crée par conséquent entre 900 et 3.400 grammes de poussières d’oxyde d’uranium.
Les tests de l’armée américaine ont par ailleurs démontré que « l’aérosol d’oxyde d’UA formé pendant l’impact (moment où l’uranium appauvri entre en contact avec le blindage) contient un pourcentage élevé de particules d’une taille leur permettant d’être inhalées (50 à 96%) » et que 52 à 83% de ces particules inhalables sont insolubles dans les liquides pulmonaires.
Les particules inhalables (moins de 5 microns de diamètre) sont facilement inhalées ou ingérées. Les particules insolubles ne sont pas aisément excrétées du corps et peuvent rester dans les poumons ou d’autres organes pendant des années.
Les recherches de l’armée américaine ont révélé dernièrement que certaines poussières d’uranium inhalables restent en suspension dans l’air pendant des heures après l’impact.
Comme démontré dans les années 70 par l’émission d’uranium appauvri lors de la fabrication de munitions à uranium appauvri près d’Albany (Etat de New York), les poussières d’uranium appauvri peuvent être transportées par le vent à 40 kilomètres de distance, voire plus.
La plupart des poussières créées par un impact sont concentrées dans la cible, sur la cible ou dans un périmètre de 50 mètres autour de la cible. Les tests de l’armée américaine ont toutefois révélé que les poussières d’uranium appauvri pouvaient être remises en suspension par l’action du vent ou le mouvement des personnes et des véhicules.
Les dangers à long terme de la contamination par uranium appauvri sont examinés dans un manuel d’entraînement de l’U.S. Army Chemical School (Ecole de chimie de l’armée américaine):
La mobilité de l’UA dans l’eau est due au fait qu’il peut se dissoudre facilement. Les composés solubles d’UA se dissoudront facilement et se déplaceront avec l’eau de surface ou les nappes phréatiques. Boire l’eau contaminée, l’utiliser pour le nettoyage ou tout autre contact avec cette eau répandront la contamination… Après la contamination de l’air et de l’eau, l’UA se dépose dans le sol. Une fois qu’il s’y trouve, il y reste à moins qu’il n’en soit retiré. En d’autres termes, la zone restera contaminée et ne se décontaminera pas d’elle-même.
Aucun nettoyage du sol contaminé par de l’uranium appauvri n’a eu lieu en Irak ou au Koweït. Curieusement, le Ministère américain de la défense prétend avoir testé le sol du Koweït et n’avoir trouvé aucune présence de contamination par uranium appauvri. Pourtant, en 1995 et 1997, des équipes tournant des films documentaires ont décelé une contamination à l’uranium appauvri sur des véhicules détruits et dans le sol au sud de l’Irak.
Outre les fines poussières d’uranium créées par les impacts, les fragments d’uranium appauvri et les perforateurs intacts en uranium appauvri présentent également un risque.
En mars 1991, une note interne de l’Agence Nucléaire de la Défense Américaine (U.S. Defense Nuclear Agency) faisait remarquer que « les particules alpha (poussières d’oxyde d’uranium) des projectiles épuisés sont inquiétantes pour la santé mais les particules bêta provenant des fragments et des projectiles intacts présentent un sérieux risque pour la santé, avec un taux possible d’exposition de 200 millirads par heure s’il y a contact ».
Un perforateur à uranium appauvri trouvé en avril 1991 dans le port de Damman, en Arabie Saoudite, avait une radiation de 260-270 mrad/heure.
Le taux de corrosion dans le sol d’un perforateur à uranium appauvri dépend de la composition chimique du sol et d’autres facteurs environnementaux. En se corrodant, les perforateurs à UA exposés aux éléments se transforment principalement en poussières d’uranium solubles dans l’eau.
Les doses limites établies pour l’absorption de poussières d’uranium appauvri démontrent qu’une toute petite quantité représente une menace sérieuse pour la santé. La dose limite d’absorption fixée pour un professionnel est de 0,001 gramme par semaine (U.S. Nuclear Regulatory Commission – Commission américaine de réglementation nucléaire) et de 0,008 gramme par an (Ministère britannique de la défense). La dose limite d’absorption pour le public est fixée à 0,002 gramme par an (Autorité Britannique de Contrôle de l’Energie Atomique).
Le chemin suivi par l’uranium appauvri dans le corps dépend de la forme d’exposition (contamination par inhalation, ingestion, implantation ou blessure) et de la taille ainsi que de la solubilité des particules. Des recherches récentes ont révélé que les particules d’uranium appauvri peuvent rester dans les poumons lorsqu’elles sont inhalées, ou voyager dans le sang et se déposer dans le cerveau, les reins, les os, le système reproductif, les muscles et la rate.
Les particules insolubles d’uranium appauvri (jusqu’à 83% du volume total des poussières créées par un impact), si elles sont inhalées, « présentent d’abord un risque radiologique et non chimique et toxicologique ».
En 1997, de l’uranium appauvri a été décelé dans le sperme de cinq anciens combattants américains sur vingt-deux soldats qui avaient été blessés par des fragments à uranium appauvri en 1991.
Bien que des études complémentaires sur les effets de l’uranium appauvri sur la santé soient nécessaires, il est reconnu que la présence d’uranium appauvri dans le corps cause des lésions rénales, des cancers du poumon et des os, des maladies respiratoires non malignes, des problèmes de peau, des troubles neurocognitifs, des lésions chromosomiques et des malformations à la naissance.
Un rapport de l’U.S. Army Armament, Munitions and Chemical Command (Commandement de l’armée américaine chargé de l’armement, des munitions et des produits chimiques) datant de juillet 1990 revèle que l’uranium appauvri est un « émetteur de rayons alpha de faible activité qui peut provoquer le cancer lorsque les expositions sont internes, la toxicité chimique causant pour sa part des lésions rénales ».
En août 1993, l’U.S. Army Surgeon General’s Office (bureau médical de l’armée) a confirmé que les « effets physiologiques estimés suite à l’exposition à des poussières d’uranium appauvri incluent une possibilité de risque accru de cancer (du poumon ou des os) et de lésions rénales ».
Un rapport datant de juin 1995 de l’Institut de politique environnementale de l’armée américaine ajoute que « la dose de radiation infligée à des organes vitaux dépend de la période pendant laquelle l’UA réside dans les organes. Lorsque cette valeur est connue ou estimée, les risques de cancer et les risques héréditaires peuvent être déterminés ».
L’utilisation d’armes à uranium appauvri entraîne une contamination du matériel endommagé et de l’environnement par la présence de poussières et de déchets d’uranium appauvri en quantités dangereuses.
Les particules inhalables formées durant les impacts et les poussières solubles d’oxyde d’uranium formées par les perforateurs en se corrodant peuvent être transportées par le vent ou l’eau et peuvent contaminer les réserves alimentaires ou aquifères. Tant les alliés que l’ennemi peuvent inhaler ou ingérer les poussières d’uranium appauvri et souffrir de graves problèmes de santé à court et long terme.
Deuxième leçon:
Il est peu probable que les forces armées soient protégées contre une exposition à la contamination par l’uranium appauvri.
En 1974 déjà – soit dix-sept ans avant que les armes à uranium appauvri ne soient utilisées dans la Guerre du Golfe -, un groupe d’études du Ministère Américain de la Défense prédisait que « Dans des situations de combat impliquant l’utilisation courante de munitions à uranium appauvri, les possibilités d’inhalation, d’ingestion ou d’implantation de composés d’uranium appauvri peuvent être localement importantes ».
En juillet 1990, un fournisseur de l’armée américaine a également lancé une mise en garde:
« Les expositions des soldats à l’uranium appauvri sous forme d’aérosol sur le champ de bataille pourrait être importantes et avoir des effets radiologiques et toxicologiques…
Dans des conditions de combat, les individus les plus exposés sont probablement les troupes terrestres qui pénètrent sur un champ de bataille après un échange de tirs de munitions antichars, qu’ils soient à pied ou motorisés ».
En dépit des avertissements catégoriques émis dans les rapports de l’armée américaine avant la guerre, aucune mise en garde sur les dangers de l’uranium appauvri n’a été transmise aux forces américaines ni aux forces de la coalition qui allaient être confrontées à une contamination par uranium appauvri sur les champs de bataille de la Guerre du Golfe.
Les combattants et le personnel de soutien n’ont pas été informés du besoin de vérifier si les blessures des soldats ne présentaient pas de signe de contamination par uranium appauvri et on ne leur a pas dit qu’il fallait revêtir des vêtements de protection totale en cas de contact avec le matériel et le sol contaminés.
En violation des règlements de l’armée américaine et de la Commission Américaine de Réglementation Nucléaire, aucun test ni suivi médical n’a été prodigué aux soldats qui avaient été blessés par des fragments contenant de l’uranium appauvri ou qui risquaient d’avoir inhalé ou ingéré des poussières d’UA.
Bien que les responsables militaires américains n’aient jamais offert d’explication sur le fait de ne pas avoir averti les troupes à propos des dangers des armes à uranium appauvri, il semble que leur inaction ait été inspirée par leur désir d’éviter de soulever des préoccupations dans les rangs de l’armée et dans l’opinion publique.
Suite à une enquête menée en 1992, les enquêteurs de l’U.S. General Accounting Office ont rapporté que « les responsables de l’armée [américaine] estiment que les systèmes de protection contre l’uranium appauvri peuvent être laissés de côté pendant les combats et autres situations extrêmement dangereuses car les risques que présente l’uranium appauvri pour la santé sont largement inférieurs aux risques inhérents aux combats ».
Lorsqu’il est apparu clairement que les responsables militaires américains n’avaient pris aucune mesure de protection contre l’uranium appauvri pendant et après la Guerre du Golfe, l’Institut de Politique Environnementale de l’armée américaine a exprimé sa préoccupation quant aux coûts des soins médicaux à prodiguer aux soldats ayant été exposés:
« Quand l’uranium appauvri sera accusé d’être la cause du syndrome de la Guerre du Golfe, l’armée devra disposer de données suffisantes pour séparer la fiction de la réalité. S’il y a un manque de prévoyance et de données, les implications financières des indemnités versées pour des incapacités à long terme et pour les frais de soins de santé seront excessives ».
En janvier 1998, le Ministère Américain de la Défense a admis pour la seule et unique fois sa responsabilité dans les expositions à l’uranium appauvri lors de la Guerre du Golfe:
Nos recherches sur les risques potentiels que présente l’uranium appauvri pour la santé mettent en évidence le manque significatif d’informations de nos troupes à propos des effets, sur la santé, de l’uranium appauvri se trouvant sur le champ de bataille… Les troupes de combat ou les membres du personnel de soutien ignoraient généralement que l’uranium appauvri contaminait le matériel, notamment les véhicules ennemis touchés par des projectiles à uranium appauvri, et qu’il requérait une manipulation spéciale… Le fait de ne pas avoir diffusé ces informations parmi les troupes de façon adéquate et à tous les niveaux peut avoir entraîné inutilement des milliers de cas d’expositions.
Une carte publiée par le Ministère Américain de la Défense en novembre 1998 montre à la fois les zones principales où a été émis l’uranium appauvri pendant la Guerre du Golfe et les mouvements de centaines de milliers de soldats américains et de soldats des forces de la coalition dans ces zones contaminées.
Bien que le Ministère Américain de la Défense reconnaisse que des « milliers » de soldats américains pourraient avoir été inutilement exposés à la contamination par uranium appauvri, il affirme également qu’il est impossible qu’un seul soldat américain soit malade en raison d’une exposition à l’uranium appauvri.
L’incendie d’un dépôt de munitions à la base de l’armée américaine de Doha, au Koweït, en juillet 1991, illustre bien les risques d’émissions accidentelles d’uranium appauvri.
Parmi la grande quantité d’engins et de munitions détruits pendant les vingt-quatre heures qu’a duré l’incendie, se trouvaient 660 obus pour chars contenant 3.200 kg d’uranium appauvri.
Alors que le feu faisait rage, le Commandement central américain a reconnu que:
« … l’uranium appauvri émet des rayons alpha lorsqu’il prend feu. Les particules d’uranium peuvent être dangereuses lorsqu’elles sont inhalées.
Le 11ACR [le commandement de l'armée américaine à Doha] a été informé qu’il fallait traiter la zone comme s’il s’agissait d’une zone chimique, c’est-à-dire qu’il fallait rester du côté du vent et porter un masque de protection dans le voisinage ».
Malgré cela et en dépit d’autres avertissements, les soldats américains n’ont pas été informés des dangers que présente l’uranium appauvri et ils n’ont pas reçu l’ordre de porter du matériel de protection, même pendant les opérations de nettoyage qui ont suivi l’incendie.
En outre, la fumée provoquée par l’incendie s’est déplacée et est arrivée à proximité de la ville de Koweït, risquant d’exposer les populations sous le vent à l’uranium appauvri porté par l’air.
La protection adéquate des forces armées contre l’exposition à la contamination par uranium appauvri demande une formation, l’utilisation de vêtements de protection dans un milieu contaminé et la distribution d’appareils de détection de la radiation au personnel médical.
Malheureusement, étant donné que les cancers et autres problèmes de santé ne risquent pas de se développer avant la fin d’une bataille ou d’une guerre, les responsables militaires sont peu encouragés à se conformer à des procédures de sécurité qui pourraient affecter la prestation d’un soldat ou d’un ‘marine’ sur le champ de bataille.
La Guerre du Golfe a démontré que les responsables militaires ne seront pas tenus responsables de l’émission non contrôlée de déchets radioactifs toxiques ou de la violation des règles de sécurité exigeant que des examens médicaux aient lieu et que des soins soient prodigués aux soldats exposés.
La Guerre du Golfe de 1991 a démontré qu’il est peu probable que les membres des forces armées recevront une protection adéquate contre l’exposition à l’uranium appauvri pendant ou après de futurs conflits ou émissions accidentelles.
Par ailleurs, il est peu probable que les gouvernements procurent des soins médicaux à long terme aux anciens combattants souffrant de problèmes de santé en rapport avec l’uranium appauvri.
Troisième leçon:
Il est peu probable que les populations civiles locales soient averties lorsque des armes à uranium appauvri sont utilisées – même si l’uranium appauvri contamine leurs réserves alimentaires ou aquifères.
Avant la Guerre du Golfe, l’armée américaine était consciente que la contamination par uranium appauvri pourrait entraîner des problèmes de santé parmi les populations civiles.
Pourtant, pendant et après la Guerre du Golfe, le Ministère Américain de la Défense n’a pris aucune mesure pour avertir les habitants du Koweït, d’Arabie Saoudite et d’Irak de la contamination de leurs terres par de l’uranium appauvri.
Au contraire, les rapports de l’armée américaine donnent à penser que celle-ci s’inquiète davantage des protestations de l’opinion publique et de futures restrictions concernant l’utilisation d’armes à uranium appauvri que de la contamination de terres étrangères et de l’empoisonnement de civils.
Un rapport de l’armée américaine datant de juillet 1990 prédisait que:
« Suite aux combats, les conditions des champs de bataille et les risques à long terme pour la santé des habitants et des anciens combattants pourraient mettre en question l’acceptabilité de la poursuite de l’emploi de perforateurs à énergie cinétique à UA pour des applications militaires ».
Cette préoccupation a été réitérée en mars 1991 alors que la guerre prenait fin:
« L’impact de l’UA sur l’environnement a soulevé et continue de soulever des inquiétudes. Par conséquent, même si personne ne met en doute l’efficacité de l’UA sur les champs de bataille, les projectiles à UA pourraient devenir politiquement non acceptables et être donc éliminés des arsenaux… Je crois qu’il faudrait penser à cette question délicate au moment de rédiger les rapports après les opérations ».
Une fois que les hostilités ont pris fin et que l’ampleur de la contamination par uranium appauvri dans le sud de l’Irak et au Koweït a été connue, la U.S. Defense Nuclear Agency a également fait part de sa préoccupation:
« Alors que l’Explosive Ordnance Disposal (équipes d’enlèvement du matériel explosif de l’armée), les unités de combat au sol et les populations civiles d’Arabie Saoudite, du Koweït et d’Irak sont de plus en plus en contact avec les pièces d’artillerie contenant de l’UA, nous devons nous apprêter à gérer les problèmes qui pourraient se poser.
Les souvenirs de guerre toxique, le scandale politique et les opérations de nettoyage d’après-guerre (accord avec le pays d’accueil) ne sont que quelques-uns des problèmes qui devront être abordés ».
En avril 1991, l’Autorité Britannique de Contrôle de l’Energie Atomique a également exprimé son inquiétude à propos de la contamination par uranium appauvri au Koweït:
Il serait imprudent pour la population de rester à proximité de grandes quantités d’UA pendant de longues périodes, et cela concerne évidemment les gens qui collectent ce métal lourd et le conservent. Il est certains endroits où de nombreuses salves ont été tirées et où la contamination des véhicules et du sol peut excéder les limites permises, ce qui présente un risque à la fois pour les équipes de nettoyage et pour la population locale… De plus, si l’UA rentre dans la chaîne alimentaire ou dans l’eau, cela entraînera probablement des problèmes de santé.
La possibilité de problèmes politiques a aussi été relevée:
« Toute la question de la contamination au Koweït comporte une charge émotive et doit donc être traitée de façon délicate.
Il est nécessaire d’informer le gouvernement koweïtien du problème avec tact et il vaut probablement mieux le faire par l’entremise de l’Ambassadeur du Royaume-Uni au Koweït ».
Les Etats-Unis ont créé un précédent pendant la Guerre du Golfe en autorisant une force armée à utiliser des armes à uranium appauvri sans prévenir les populations civiles de la contamination de leur pays.
Les Etats-Unis poursuivent cette pratique dans la guerre au Kosovo. Les nations impliquées dans les conflits dans lesquels des armes à uranium appauvri sont utilisées peuvent se trouver confrontées à des coûts « excessifs » pour prodiguer des soins de santé à long terme aux soldats et aux civils exposés.
Les conséquences des armes à uranium appauvri sur la santé et l’environnement attireront probablement moins l’attention dans les pays où les populations ne sont pas conscientes de leur utilisation ou ne peuvent pas exprimer leurs préoccupations et faire valoir leurs droits.
Quatrième leçon:
Les armes à uranium appauvri prolifèrent et seront probablement employées couramment dans les conflits terrestres.
Un manuel d’entraînement de la U.S. Army Chemical School relève que:
« Le succès rencontré par les Etats-Unis en utilisant de l’UA dans les combats nous amène à conclure que d’autres nations, pas toutes amies, utiliseront l’UA dans le futur ». Par ailleurs, « il est probable que l’UA devienne également pour nos ennemis potentiels la principale munition permettant de mettre les tanks hors d’état de nuire… dans les batailles à venir, presque tous les tanks et véhicules de combat atteints par des projectiles seront probablement contaminés par de l’UA ».
Un autre rapport de l’armée américaine datant de 1995 fait observer que:
« Etant donné que les armes à UA sont ouvertement disponibles sur le marché mondial des armes, elles seront utilisées dans les futurs conflits … Le nombre de patients contaminés par l’UA sur les champs de bataille sera considérablement plus élevé car d’autres pays utiliseront des systèmes contenant de l’UA ».
Les soldats et « marines » américains seront probablement parmi les patients contaminés par de l’UA sur les champs de bataille, comme le fait remarquer un rapport de 1998 publié par le Ministère américain de la défense: « L’efficacité de l’UA sur les champs de bataille a encouragé sa prolifération constante tant dans les arsenaux de nos alliés que dans ceux de nos adversaires. Que l’UA sera utilisé contre nos troupes dans les conflits du futur laisse donc peu de place au doute ».
Depuis 1991, les Etats-Unis sont les premiers à utiliser et à faire proliférer les armes à uranium appauvri.
Après l’Opération Tempête du Désert, ils ont commencé à utiliser des projectiles à uranium appauvri dans les véhicules de combat Bradley M2 et M3 (25 mm), les véhicules amphibies légers (25 mm), les hélicoptères d’attaque APACHE (30 mm) et les hélicoptères de combat « Whiskey Cobra » AH-1W (20 mm).
En 1994 et 1995, les avions de chasse américains ont tiré des salves contenant de l’uranium appauvri contre des cibles serbes en Bosnie et pendant les entraînements près d’Okinawa, au Japon.
En avril 1999, le Ministère Américain de la Dfense n’a ni confirmé ni démenti l’utilisation par les avions A-10 de munitions à uranium appauvri au Kosovo.
Il est toutefois intéressant de relever que l’armée américaine a déclaré que les hélicoptères APACHE ne tireraient pas de projectiles à uranium appauvri car les analystes estimaient que des projectiles hautement explosifs suffiraient pour détruire les chars serbes.
L’intérêt croissant de l’opinion publique et des médias sur l’utilisation d’armes à UA au Kosovo a manifestement forcé les responsables militaires à reconsidérer leur usage de munitions à uranium appauvri.
La liste croissante des pays possédant ou fabriquant des armes à uranium appauvri comprend les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, la Russie, la Grèce, la Turquie, Israël, l’Arabie Saoudite, le Koweït, Bahrein, l’Egypte, la Thaïlande, Taïwan et le Pakistan.
L’ « interopérabilité » des forces militaires de l’OTAN pourrait également permettre à d’autres forces armées en Europe d’obtenir et d’utiliser des armes à uranium appauvri.
Sans trop faire l’objet de débats et assez discrètement, les armes à uranium appauvri se sont installées dans les arsenaux des nations puissantes et pauvres dans quelques-unes des régions les plus explosives du globe.
Le Ministère Américain de la Défense prévoit l’emploi d’armes à uranium appauvri dans les conflits à venir ainsi qu’un nombre croissant d’expositions à l’uranium appauvri tant chez les alliés que chez les ennemis.
Longtemps après que les fusils se seront tus et que les survivants seront rentrés chez eux, le nombre de victimes et le coût de l’utilisation des armes à uranium appauvri continueront à monter.
Cinquième leçon:
Il est peu probable que des opérations de nettoyage soient entreprises par les vainqueurs ou les vaincus s’il y a contamination par l’uranium appauvri en raison du coût extrêmement élevé et du risque de dommages environnementaux plus grands encore.
L’armée américaine fait remarquer que:
« La terre contaminée [par l'UA]… devrait être enlevée et mise dans des conteneurs à l’instar des déchets radioactifs ».
C’est la procédure qui a été suivie aux Etats-Unis lors des opérations de nettoyage effectuées suite à la contamination par l’uranium appauvri dans les installations de Starmet à Concord, dans le Massachussetts (où sont fabriqués des perforateurs en UA) et à la base aérienne Sandia National Laboratory and Kirkland Air Force Base au Nouveau-Mexique (où ont été testés les perforateurs en UA).
L’armée américaine déclare que le nettoyage doit consister à enlever « la couche supérieure du sol », ce qui pourrait être dévastateur pour l’environnement, surtout si l’uranium appauvri contamine les terres cultivables ou les zones humides.
Par ailleurs, le coût que représente le fait d’enlever la couche supérieure du sol dans les zones contaminées pourrait être astronomique.
A titre d’exemple, le coût du nettoyage et de l’enlèvement d’environ 69.000 kg de poussières et de déchets d’uranium appauvri sur 200 hectares au Jefferson Proving Ground (site d’expérimentation de l’armée américaine) dans l’Indiana a été estimé à 4 ou 5 milliards de $US.
Le coût du nettoyage de 290.000 kg d’uranium appauvri sur des milliers d’hectares en Arabie Saoudite, au Koweït et en Irak pourrait donc facilement se chiffrer à des dizaines de milliards de dollars américains.
Un rapport de l’armée américaine datant de juillet 1990 lançait une mise en garde:
« En supposant que les normes réglementaires et les pratiques américaines en matière de protection de la santé soient appliquées, il est probable que des actions réparatrices soient nécessaires après les combats sur les sites contaminés par de l’UA ».
Cependant, dès lors que l’ampleur et que le coût des opérations de nettoyage de l’uranium appauvri dans la région du Golfe Persique sont apparus clairement, l’Institut de Politique Environnementale de l’Armée Américaine a informé les responsables politiques américains:
« Qu’il n’existe aucune loi, aucun traité, aucune réglementation ni aucune coutume au niveau international exigeant que les Etats-Unis réparent les dégâts causés sur les champs de bataille du Golfe Persique ».
Forts de leur position de première puissance mondiale aujourd’hui, les Etats-Unis ont établi une norme de comportement dans la Guerre du Golfe qui permet aux nations et aux forces armées d’utiliser des armes à uranium appauvri sans assumer la moindre responsabilité quant au nettoyage, à la restauration de l’environnement ou aux soins de santé à prodiguer aux combattants ou aux civils exposés.
Au cours des cent ans qui se sont écoulés depuis la première conférence de La Haye, les effets dévastateurs de la guerre se sont multipliés proportionnellement à l’augmentation de la mobilité des forces armées et à la capacité de destruction sans précédent des armes utilisées.
Dans les conflits du siècle prochain et de ceux qui suivront, d’énormes étendues de terres et un nombre incalculable de soldats et de civils risqueront d’être empoisonnés par des déchets radioactifs toxiques tirés de véhicules blindés, d’avions, d’armes légères et de bateaux.
Les armes à uranium appauvri sont le produit des armes nucléaires. Il s’agit de l’arme la plus récente capable de causer des destructions massives. Si la communauté internationale accepte l’utilisation des armes à uranium appauvri dans la guerre, elle doit aussi accepter l’obligation morale d’assumer pleinement les conséquences de cette utilisation pour la santé et l’environnement, quel qu’en soit le coût.
Personne de contact:
Dan Fahey c/o Swords to Plowshares 1063 Market Street San Francisco, CA 94139, USA
Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité 70 Rue de la Consolation, B-1030 Bruxelles Tél.: +32.2.241 84 20 – Fax : +32.2.245 19 33 Internet : www.grip.org - Courriel : admi@grip.org
Situation actuelle en IRAK,
L’ URANIUM »appauvri », ou U-238, est le déchet du phénomène d’enrichissement de l’uranium naturel permettant d’obtenir de l’uranium U-238 fissile, utilisé à des fins militaires (armes et sous-marins nucléaires) ou civiles (centrales nucléaires, aviation). C’est le métal le plus dense, le plus lourd. Projeté à une vitesse de 1 200 mètres/seconde (Mach 5), il perfore les blindages des chars et peut transpercer une plaque de béton sous trois mètres de terre.
Il est donc beaucoup plus efficace que le tungstène utilisé jusqu’alors. En outre, il ne coûte rien (c’est, littéralement, un déchet de l’industrie nucléaire), contrairement au tungstène, qu’il faut importer, et son utilisation pour l’armement permet de résoudre en partie l’incontournable problème du stockage des déchets nucléaires.
Les Etats-Unis vont utiliser
des drones
REAPER PREDATOR
pour contrer l’avancée
des Djihadistes proches
de BAGDAD
ce mi-juin 2014
MQ-9 REAPER UAV
PREDATOR
Origine de la vidéo:
Armée américaine.
Ces DRONES sont armés d’armes à l’URANIUM « appauvri » !
Ils vont donc polluer pour l’éternité les sols, les eaux et l’air tout en contaminant les populations autochtones en touchant de plus leur ADN !
CONCLUSION:
ISRAËL et les ETATS-UNIS effectuent donc des crimes contre l’Humanité !…comme tous les pays employant ces armes…comme la FRANCE au MALI, en LIBYE, etc.
Que font les médias occidentaux ?
RIEN ! Ils ne disent rien et participent honteusement à l’OMERTA TOTALE imposée par tous les Etats utilisateurs de ces armes machiavéliques !
(Photo: F.HOLLANDE qui ferme le poing et tape sur son bureau,
pas content le Président !)
Qui a décidé de cadrer cette intervention de François HOLLANDE super serré ? On dirait que ça manque de recul.
C’est vrai, HOLLANDE manque de recul et nous présente toujours les mêmes conneries.
Incroyable lapsus !…
HOLLANDE dit:
« C’est vrai, partout, les partis européens progressent ». Au lieu d’ « anti-européens ! » Et c’est enregistré à la 13ème seconde !
Troisième erreur technique
A 1 mn 45s, HOLLANDE frappe sa poitrine et touche son micro avec un gros « cloc » pour nous dire : « Je suis européen »…il veut nous convaincre en fermant ses doigts pour toucher sa poitrine.
Nouvelle erreur technique et geste inutile et ridicule de la part d’un Président de la République.
On n’a pas besoin de cette séquence pour savoir que HOLLANDE est pro-européen !
Des conseillers en communication
à jeter
Un plan trop serré, un catastrophique lapsus dès la treizième seconde et un problème technique mélangé à un geste inutile…
C’est top les p’tits gars !
Ce n’était pas du direct. HOLLANDE et ses conseillers ne revisionnent pas l’enregistrement et envoient cela sur toutes les chaînes.
Les mecs, c’est très PRO, y’a pas à dire !
(Photo: Je ferme mes doigts,
j’ai raison, je veux vous convaincre)
Le résumé de son intervention:
« La vérité est douloureuse »
« Six français sur dix ne se sont pas déplacés.
Un électeur sur quatre a voté pour l’extrême droite.
Ce vote doit-être regardé en face, c’est ce que je fais. C’est une défiance à l’égard de l’Europe, des partis et des politiques.
C’est une peur du déclin de la France et de la mondialisation. C’est un abandon face à la dureté de la vie.
Le pire ce serait de renoncer à ce qui fait la France: ses valeurs, son rang, son influence, son ambition, sa place en Europe et dans le Monde.
Mon devoir: réformer la France et réorienter l’Europe.
L’Europe a réussi à surmonter la crise de la zone euro…mais à quel prix…celui de l’austérité qui a fini par décourager les peuples.
Je réaffirmerai que la priorité c’est la CROISSANCE, l’EMPLOI, l’INVESTISSEMENT.
L’Europe est devenue illisible, lointaine et incompréhensible…même pour les Etats.
Cela ne peut plus durer
L’Europe doit-être simple, claire pour être efficace là où elle est attendue et doit se retirer là où elle n’est pas nécessaire.
L’Europe doit préparer l’avenir
Les nouvelles technologies, la transition énergétique et sa propre défense.
Elle doit protéger ses frontières, ses intérêts, ses valeurs et sa culture.
Pour parler d’une voix forte, la France doit, elle-même, être forte.
Depuis dix ans, elle perd ses emplois et notamment dans l’industrie. Sa compétitivité se dégrade, son déficit commercial se creuse.
Depuis dix ans, la France a accumulé des dettes.
Les réformes doivent-être menées à bien pour la France et c’est ce que j’ai décidé.
(Photo: Je ne suis pas très sûr
mais vous n’avez pas le choix)
La feuille de route confiée
au gouvernement
de Manuel VALLS
C’est l’emploi, le soutien aux entreprises, le pacte de responsabilité, le pouvoir d’achat par des baisses d’impôts, la justice sociale par la priorité répétée et réaffirmée à l’éducation, la simplification, la modernisation de la réforme territoriale.
Cette ligne de conduite ne peut pas dévier en fonction des circonstances. Il faut de la constance, de la ténacité, du courage mais aussi de la rapidité dans la mise en oeuvre parce que les français ne peuvent pas attendre.
L’avenir
Nos institutions sont solides et nous donnent le moyen d’agir. Ce sera la réussite, la réussite de TOUS.
Ce qui nous unit
Notre rattachement à la démocratie, l’amour de la France. Ce sera le combat de mon quinquennat. »
COMMENTAIRE:
(Photo: Je veux convaincre,
j’ai raison)
En bref, HOLLANDE ne change RIEN
Il réaffirme son objectif, ne change pas de cap et garde sa constance.
Son objectif est la CROISSANCE…la belle connerie habituelle…et c’est d’ailleurs le même baratin chez la plupart des politiques, de droite comme de gauche !
Ces personnages oublient que nous vivons sur la même planète terre et que c’est un monde clos.
La CROISSANCE est une FOLIE…le développement durable est une ARNAQUE !
(Photo: On se calme,
je maitrise tout,
je ne change pas de cap)
Marre d’entendre les mêmes baratins
La grandeur de la France, son rang, son influence, son ambition, etc.
Non, l’Europe n’a pas surmonté la crise.
Oui, les citoyens en ont marre de cette austérité imposée injustement. Oui, la Mondialisation est une manipulation des consciences.
Oui, la vie est dure pour de plus en plus de gens.
Oui, l’Europe est illisible, lointaine, incompréhensible mais ceci est voulu par le monde de la finance, les technocrates et les lobbies.
Non, l’Europe ne sera jamais simple, claire et efficace à cause de ses structures internes et de son fonctionnement.
Oui, la France perd ses emplois…les politiques qui ont accepté la mise en place de la mondialisation ne voudraient pas de ses inconvénients ?…Trop tard !
La COMPETITIVITE, la tarte à la crème des politiques continue…elle se dégrade ?…normal, les dés étaient pipés d’avance !
Les REFORMES ?…Elles se réalisent sur le lit de la paupérisation des populations européennes !
HOLLANDE promet l’emploi ? C’est un beau MENSONGE…un de plus.
Le PACTE DE RESPONSABILITE ?…Une invention de nos chères têtes pensantes tout droit sortie de l’ENA (âne) !
Le POUVOIR D’ACHAT ? Il diminue pour tous les pauvres et les classes moyennes…quant aux riches, tout roule pour eux et encore mieux qu’avant grâce à toutes ces arnaques étatisées basées sur l’indignité humaine !
La JUSTICE SOCIALE ? Mon cul ! Les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres. Belle justice sociale !
La priorité répétée et réaffirmée à l’EDUCATION ? De qui se moque-t-on cher HOLLANDE !
Le leurre de l’égalité des chances tourne toujours, comme c’est joli !
HOLLANDE, moi qui ai 30 élèves de 4/5 ans dans ma classe de maternelle, tu crois que l’on fait du bon boulot ?
JAMAIS, bien sûr !
Rien, c’est NUL ! Tu nous les files quand, les classes à 15 pour faire un VRAI TRAVAIL DE FOND ?
Ne pas t’étonner qu’arrivés en sixième, de plus en plus d’enfants soient en échec scolaire !
Tu préfères envoyer des armes à l’URANIUM « APPAUVRI » qui coûtent un max sur la gueule de populations autochtones étrangères !
Il faut du COURAGE ? Alors cher HOLLANDE, tu l’avoues quand cette utilisation des armes à l’URANIUM « APPAUVRI » ?
Non, tu es un MINABLE qui n’ose même pas reconnaître cette utilisation car cela est précisé par les instances internationales comme un CRIME CONTRE L’HUMANITE !
L’AVENIR, ce sera la REUSSITE…et la réussite de TOUS ? Qui va croire cela cher Président ?…De qui vous moquez-vous.
Vous parlez de DEMOCRATIE ? Pourquoi suis-je mis en examen en France après une plainte de Vincent BOLLORE pour la simple raison d’avoir diffusé un article sur l’accaparement des terres en Afrique, en Asie et en Amérique Latine par certaines multinationales comme celle dirigée par Vincent BOLLORE ?
Votre Démocratie est celle qui écrase les « petits » de mon espèce, rien d’autre.
Ah oui, j’oubliais, vous participez aussi, cher Président, à l’accaparement des terres en allant chercher le minerai d’URANIUM dans d’autres pays que le vôtre…vous ne valez pas mieux que Vincent BOLLORE d’autant que vous avez le culot de balancer des déchets RADIOACTIFS sur la gueule des MALIENS avec vos armes à l’URANIUM « APPAUVRI ! C’est très logique, si l’on peut dire.
On exploite les pauvres en volant leurs « richesses » naturelles et on les empoisonne pour l’ETERNITE en polluant leurs eaux, leurs terres, leur air et en touchant leur ADN…
C’est certainement votre « COMBAT du QUINQUENNAT. »
Mon COMBAT est celui du respect de la DIGNITE HUMAINE.
Nous ne sommes pas dans la même « catégorie »…
Thierry LAMIREAU
lesoufflecestmavie.unblog.fr
LA VIDEO:
LE SON:
LE SON
POUR MIEUX
COMPRENDRE
QUE HOLLANDE
NE CHANGE RIEN
ET QU’IL NOUS PREND
POUR DES CONS:
Le décalage de l’allocution de HOLLANDE que je vous propose ainsi souligne plus certains passages et le « creux » de certains mots.
C’est, à mes yeux, très frappant.
NOTA:
Images (certaines !), vidéo et son: Présidence de la République
(Photo: Explosion d’armes à l’URANIUM « appauvri »)
Garnier
pierre.garnier@gmx.fr
Envoyé le 29/04/2014 à 12h06 min
Vos analyses en matière d’armement laissent rêveurs, de même qu’une bonne partie de vos sources d’informations, connues pour être de la propagande pure et simple. Vous êtes clairement également un site de propagande. La question c’est : de la propagande pour qui, payée par qui ? Et par pitié, arrêtez de raconter n’importe quoi sur l’ Uranium Appauvri.
J’ai l’habitude de recevoir de tels dénigrements. Votre qualification professionnelle (ex-ingénieur de l’armement) n’est absolument pas une garantie d’honnêteté intellectuelle dans ce domaine. Je vous laisse libre de dire que « mes sources d’informations sont connues pour être de la propagande pure et simple ». Vous n’avez certainement pas lu tous mes documents puisque certains viennent même d’organismes officiels et de chercheurs travaillant (ou ayant travaillé) pour les armées ou pour le compte d’organismes tels que l’IRSN, le CEA et AREVA !…
Oui, vous avez raison: « c’est de la propagande pure et simple » mais lorsqu’ils décrivent les dangers et les effets des armes à l’uranium « appauvri » c’est intéressant…pas vrai ?
Mon blog est « un site de propagande » ?…
Si les sujets abordés n’étaient pas aussi graves l’on pourrait en rire ! Figurez-vous que je suis un ancien irradié avec de nombreuses pathologies et irradié, entre autres radio-éléments, par de l’uranium « appauvri ».
Vous vous trompez de « crémerie » et de crémier pour affirmer de telles inepties.
Mes informations vous dérangent, dérangent certains; je le sais.
Et la technique « habituelle » pour détruire les gens comme moi est d’écrire ce que vous écrivez.
« Je serais payé pour faire de la propagande ? »…Absolument PETIT et MINABLE.
Pas de chance, je ne touche rien et je prends tous les risques.
Votre info avec le lien ? Je la connais. J’ai même fait un article sur le sujet en parlant de ces Messieurs du site « Entreprises Défense et Relations Internationales » !
Vous n’avez donc pas tout lu encore sur mon blog.
Si vous n’avez que cela comme info à fournir pour me « ridiculiser » c’est un peu léger pour un « ex-ingénieur de l’armement »…une fonction absolument DEGUEULASSE pour moi je dois vous dire. Je reste cependant à votre écoute si vous avez du « sérieux » à me faire lire et pas…de la propagande comme vous le dites si bien.
Thierry LAMIREAU Réalisateur du film « URANIUM EN LIMOUSIN »
Mardi 29 avril 2014:
21h56
Un autre message arrive
Bonjour,
Il n’existe pas de Pierre Garnier ingénieur de l’armement actif ou à la retraite.
Source : site caia.net, amicale des ingénieurs de l’armement.
Ma réponse à 22h56:
Très intéressant ! Votre message n’est pas signé et vient de: Erreur Erreur@ia.fr Qui donc cherche à me nuire… La suite au prochain message ?…
Thierry LAMIREAU
Ma recherche sur caia.net
à 23h13:
L’on ne peut consulter le site si l’on n’a pas un mot de passe et si l’on n’est pas membre de l’Association !
Le message de « Erreur@ia.fr » est donc encore plus MINABLE !
Les CONNARDS ANONYMES sont donc de sortie !
Mais j’ai ma petite idée sur le type d’individu qui m’envoie ces messages…