David MICHOT, contrebasse Bobby MICHOT, guitare, chant Catherine…? au « Tit Fer » qui remplace le plus jeune frère MICHOT Tomy MICHOT, accordéon, chant Rick MICHOT, violon, chant
Les titres: p’tit galop pour la pointe au pin/ça m’fait pitié, malheureuse, chère p’tite fille/Madame Boso/ spécial a long’s walker/La porte de la prison/Valse de la prison/La valse à tante Adèle/Mémoire d’un vieux vacher/Une livre de tabac/T’en a eu, t’en n’auras plus
NOTA: J’ai enregistré ce mini concert avec un NAGRA III et une petite table de mélange de l’époque à huit entrées.
L’enregistrement est monophonique. Cependant j’ai élargi et amélioré le son d’origine d’autant que l’état de conservation de la bande était assez médiocre.
Je n’ai pas eu droit à une répétition pour des réglages. J’ai donc tout effectué « sur » les premiers morceaux ce qui n’est pas l’idéal…
Date: Vendredi 24 juin 1988 au cloître de l’hospice de Bellac en extérieur
Les musiciens: Louis MAZETIER, piano IRAKLI, trompette, chant Alain MARQUET, clarinette Daniel BARDA, trombone, présentation Gilbert LEROUX, washboard Marie-Ange MARTIN, banjo Que des « grosses pointures »…
(NAGRA III monophonique pleine piste)
J’ai enregistré ce concert avec un NAGRA III, monophonique pleine piste et une petite table de mélange de huit entrées. C’était l’époque où je m’essayais aux prises de son en public. J’ai malheureusement copié le concert sur un CD croyant, à l’époque, que c’était une bonne idée. Grosse erreur. 32 ans après, j’ai dû essayer de compenser les erreurs de codage à cause de l’usure du CD….en le sortant il était tout jaune ! Travail très difficile et pénible pour un amateur comme moi car au montage il fallait « tricher » un peu et éliminer les problèmes à la note près !
(Table de mixage utilisée à l’époque: vraiment le minimum)
J’ai sauvé les 3/4 du concert; le reste était inexploitable. Bien que monophonique, j’ai agrandi l’espace sonore et corrigé la couleur sonore et la dynamique de l’enregistrement. Restauration pas facile ! Ce concert restera un témoignage pour les passionnés de jazz. Je n’ai pas tous les titres.
J’attends votre éventuelle aide: 1/ piano solo 2/ Piano à 4 mains 3/ Piano+clarinette+trompette 4/ West and blues 5/ Banjo+piano+clarinette+trompette 6/ impro sur une nouvelle grille proposée par Daniel BARDA+washboard 7/ I’ve got rhythm 8/ piano solo 9/ big bailey wan’t you please come home 10/ that’s a plenty
Bon alors, qu’est-ce que je fais de ce disque ancien ? Je viens de le trouver dans mon lot de 33 Tours. Et là, surprise !…Il appartenait à mon père.
Le titre sur la pochette
est prometteur:
« Le feu aux poudres »…et le dessin ne laissent aucun doute sur le contenu de l’enregistrement…les titres et les morceaux non plus. « La ralante du mich’ton/Flamberge au vent/Les poils du cul/Surboom démocratique/La jeune fille à la maison/Viens sur ma biroute/L’artilleur de Metz/Les cent Louis d’or ».
LA POCHETTE
En bas à droite de la pochette, je lis, sur un encadré au fond bleu: « Enregistrements à tirage limité. Strictement réservés au Corps Médical (mon père n’était pourtant pas médecin). Vente aux mineurs interdite. Audition publique interdite. Réservé aux médecins et Apothicaires. Avec les voix musclées (sic) de René RIGAT et Maurice ALBAS. »
Question: les ploucs n’avaient pas le droit à ce genre de « subtilités » bourgeoises, si je puis dire ?…
Je note au verso de la pochette qu’il existe 15 volumes dans cette série de 33 Tours très, comment dire, très « chauds ». Je sors le disque de sa pochette et je vois qu’il a été édité en 1956…l’année de ma naissance.
RESTAURER LE SON DU DISQUE
Sa première lecture m’indique qu’il est dans un état technique de conservation très médiocre. Je vais donc essayer d’en améliorer la qualité d’écoute avec mes logiciels favoris de restauration sonore. Restaurer un son sans le détruire avec trop de filtrage pour essayer d’en garder la couleur d’origine. Travail toujours très subjectif.
DIFFUSER…OU PAS ?
Que puis-je faire de ce disque ? Je crois que je vais le diffuser. Mais ATTENTION: oreilles sensibles et jeunes enfants, cette écoute vous est interdite !
Les textes sont bien écrits et interprétés mais les mots sont « crus » !
« Le feu aux poudres », ou comment chanter le sexe et la baise… J’ose espérer que la censure ne passera pas sur un disque de…1956 ! Bonne écoute…
Cela me donne l’occasion de réaliser enfin un très important travail de recherche dans mes enregistrements personnels liés aux musiques traditionnelles en Limousin et Centre France.
Je sais que là, quelque part dans toutes mes bandes magnétiques analogiques et numériques DAT, il me reste de nombreuses interviews et prises de sons d’artistes, de musiciens, de groupes, de spécialistes et de personnes rares (si je puis dire) collectées, à l’époque, dans l’urgence car âgées.
Cette idée de mettre en forme ce sujet vit dans ma tête depuis de nombreuses années et notamment depuis une émission réalisée pour France Culture le 12 octobre 1987.
Ce fut la dernière émission de la série « Latitudes » (produite par M.DUPOND) diffusée dans le cadre du Festival des Francophonies en Limousin.
(Mon magnétophone REVOX B77, vitesses 19/38cm/s deux pistes stéréo)
Et puis il y eut aussi ma participation à la prise de son du CD « Marion quand t’aimava » -Danses de Tradition en Limousin- interprétée par les musiciens du Département de musique traditionnelle du Conservatoire National de Région de Limoges.
Ce CD proposait un large panorama d’airs, attachés à des chorégraphies originales directement issues des collectes enregistrées sur le terrain. Il augurait du souhait de ses réalisateurs, concepteurs et musiciens, de révéler et perpétuer « la rage de danse » des pays Limousins.
C’était pour moi, un pari, une sorte de folie sonore où nul ne savait (ni les musiciens, ni moi) ce que mon travail d’amateur/chasseur de sons allait donner avec 65 personnes à enregistrer sur un week-end dans un village de vacances près du lac de Vassivière en Limousin les 7,8,9 juin 1996.
Pour toutes les prises de sons, j’ai utilisé un couple de microphones statiques de très haute qualité pour la musique (Sennheiser MKH 40) prêtés par un studio d’enregistrement, et des microphones dynamiques et statiques pour les interviews.
(Microphones utilisés: deux Sennheiser MKH 40)
J’ai enregistré sans préparation technique particulière. J’ai presque travaillé comme à l’époque des enregistrements sur 78 T c’est-à-dire avec peu de microphones et en prise directe.
Donc pas d’enregistrement en multipistes mais en deux pistes stéréo. Lorsque les musiciens se trompaient, lorsque je faisais une erreur technique…tout le monde recommençait !
(Table de mixage principale pour brancher toutes mes machines.
Elle est reliée par cable à l’autre table près de mon ordinateur.
Les deux peuvent envoyer et recevoir leurs sons respectifs)
Cette production sonore nouvelle est le fruit d’une longue collecte personnelle où la parole, la voix, le témoignage et la richesse de la création sont toujours présents.
C’est probablement un travail d’ethnomusicologue même si je ne le suis pas bien évidemment.
C’est un instrumentarium Limousin au complet, voix comprises. On reste dans la simplicité mais une simplicité « sophistiquée » si je puis dire.
Mon approche essaye d’être sérieuse, honnête tout en restant celle de l’amateur que je suis, aussi bien pour l’enquête que pour les prises de sons.
(Magnétophone NAGRA III)
Laissez-vous guider dans ces belles ambiances sonores où la musique, les danses suggérées et les voix vous apporteront, je l’espère, joie et sérénité.
« Musiques et danses de tradition en Limousin et Centre France », enquête, collectage, bruitages, voix off, prises de sons, montage, mixage, réalisation…Thierry LAMIREAU.
(Magnétophone NAGRA IV S)
Ressortir mes bandes magnétiques analogiques et les poser sur les plateaux de mon magnétophone REVOX B77…préparer et accrocher la bande…appuyer sur les touches pour lire les enregistrements…arrêter…rembobiner…et découvrir des prises de sons personnelles jamais écoutées depuis 33 ans !…des bandes enregistrées avec des merveilles comme un NAGRA III monophonique pleine piste ou un NAGRA IV S stéréophonique deux pistes…utiliser aussi par la suite de nouveaux appareils numériques sur un support DAT pour toujours chercher la rareté et l’originalité…moi le simple « chasseur de sons »…avoir le temps que n’ont jamais vraiment les professionnels du son et de la radio.
(Magnétophone numérique TEAC avec cassette DAT)
(Mon lieu de travail principal pour les montages/mixages)
RENCONTRES PERSONNELLES AVEC:
Léon PEYRAT, violoneux et poète de St Salvadour en Corrèze.
Olivier DURIF, violoniste et chercheur.
Hubert MARCHEIX, vielleux, collecteur, chercheur.
Firmin LEGRAS, accordéoniste.
Jeanne FARNIER, vielleuse, École du Barbichet.
Claude GIRARD, facteur de chabrette.
André PANGAUD, chabretaire.
Louis BONNAUD, chercheur, historien, musicologue.
Pierre CHABRELY, chabretaire.
Marc PERRONE, accordéoniste, compositeur, chercheur.
Jean-Jacques LE CREURER, accordéoniste.
« Rue de la Mauvendière » (Philippe DESTREM, Françoise ÉTAY, Jean-Jacques LE CREURER, Philippe RANDONNEIX, Éric MONTBEL).
(Liste des musiciens ayant participé à l’enregistrement du CD)
Les airs enregistrés:
Bourrées de la montagne / Scottish simple / Brise Pied / Bourrée valse / Bourrées du sud-est de la Creuse / Sautières / Le lapin -Parali son pampan / Giattes / La valse des patineurs / Carrée creusoise -Bourrée des Monédières / Valse / Scottish valse / Glissantes / Bourrées de Meuzac / Le Pélélé / L’organistrum, la chiffonie et la voix de Jean DAU MELHAU / Bourrée dansée/chantée par Gaston COUTÉ sur 78 T /Las Teles-Branle / L’Ajaçona / Mazurkas / Cassa Nosilhas / La Parisienne/Quadrille valse /
REMERCIEMENTS PARTICULIERS:
Olivier DURIF, Centre Régional des Musiques Traditionnelles en Limousin, Philippe DESTREM, Françoise ÉTAY, Philippe RANDONNEIX, Jean-Jacques LE CREURER, Florence MONTAUDON, le studio BLATIN pour le prêt de microphones de haute qualité, le village de vacances de Masgrangeas à Vassivière en Limousin pour le prêt des locaux destinés à l’enregistrement du CD « Marion quand t’aimava », les 65 musiciens, pour la plupart amateurs, membres du Département de Musique traditionnelle du Conservatoire National de Région de Limoges, Pierre CORBEFIN pour sa belle critique du CD et de ma prise de sons dans la revue « Trad Mag » n°54 de juillet/août 1997, Stefan KUDELSKI inventeur des magnétophones NAGRA III et NAGRA IV S.
(Table de mixage Soundcraft Spirit Folio
utilisée pour les prises de sons musicales)
Je vous recommande vivement de vous procurer le CD « Marion quand t’aimava »-Danses de Tradition en Limousin- dans le commerce (si vous le trouvez) ou auprès de Centre Régional des Musiques Traditionnelles en Limousin en Corrèze.
Je signale que je ne touche aucun argent sur la vente des CD.
Je vous souhaite une bonne écoute sur ce lien SOUNDCLOUD:
Dimanche 19 avril 2020. Journée de confinement; une de plus. Je décide de descendre dans ma cave pour aller fouiner un peu. Je fouille, je fouille et je tombe par hasard…mais est-ce un hasard…je tombe par hasard sur un dossier contenant quelques feuilles écrites par mon père, Gilbert LAMIREAU. En dehors de ses poèmes il se plaisait parfois à écrire des nouvelles.
J’en trouve une mais celle-là va me troubler car elle reparle d’une période de ma vie: celle où j’ai perdu presque en même temps deux êtres qui m’étaient chers…une amie et mon chat MITSOU…ou plutôt une chatte qui m’a accompagné pendant 17 ans, ce qui est long pour un chat. Je ne savais pas que mon père avait écrit cette nouvelle. Une description presque réelle de la fin de vie de MITSOU. Oserais-je l’avouer: j’ai probablement plus aimé les animaux que les humains.
Après cette belle et troublante découverte, je décide de « mettre en onde » cette nouvelle ou comment bien occuper quelques journées de confinement en cette période difficile de coronavirus.
Lien SOUNDCLOUD pour l’écoute de l’enregistrement:
Une nouvelle écrite à BELLAC (Haute-Vienne/Limousin) le 24 juin 2006 par Gilbert LAMIREAU pour son fils (moi) Thierry LAMIREAU. Prise de sons, montage, mixage, voix: votre serviteur Thierry LAMIREAU
Lorsque je m’essayais aux prises de sons en public. Je disposais, à l’époque, d’une petite valise de prise de son huit entrées de marque « Musique Industrie », de huit micros dynamiques et d’un enregistreur REVOX A77.
J’ai tout enregistré sans répétition en improvisant en direct. Je suis très satisfait d’avoir pu sauver cet enregistrement qui est resté très longtemps dans mes archives sur bande magnétique 6,25. Comme quoi, ces bandes se conservent parfois très bien ! L’orchestre n’existe plus, sauf erreur de ma part.
Orchestre de style Dixieland des années 1930 composé de musiciens non professionnels.
Les musiciens: Michel MARCHETEAU, professeur d’anglais à la Sorbonne, au soubassophone. Daniel BARDA au trombone (flûtiste et chef d’orchestre classique, compositeur de musique de films). Marc RICHARD, cornet. Marcel BORNSTEIN, trompette et…PDG. Il a joué avec Sydney BECHET. Georges BILLECARD, clarinette et Directeur d’entreprise. Claude LEFORT, piano et affichiste publicitaire. Alain MARCHETEAU, banjo et Haut fonctionnaire du ministère des Finances. Teddy HOCQUEMILLER, batterie et agent de change à la bourse de Paris. NOTA: je ne connais pas les titres. Si vous les reconnaissez, merci de les donner.
Retraité depuis août 2015, je dois supporter une respiration parfois difficile à cause d’un passé professionnel dans une école de Haute-Savoie.
J’ai travaillé dix ans à l’école de Vallières (près d’Annecy) dans la partie réservée aux classes maternelles.
Deux salles très mal isolées où la déperdition de chaleur existait en hiver et où l’on supportait des températures de 33 degrés à l’intérieur en été.
Mais un danger sanitaire majeur était présent sans que nous le sachions vraiment précisément: celui de l’AMIANTE.
Le toit est en amiante-ciment et les dalles des salles de classe, de la salle de jeux et de la salle de sieste comportent de l’amiante dite « chrysotile ».
Voici l’histoire d’une « forteresse aux dents d’acier », celle d’une omerta généralisée assumée par une collectivité locale, l’administration de l’Éducation Nationale et de l’Agence Régionale de la Santé sous couvert du ministère de l’Éducation Nationale et du ministère de la Santé…
C’est une malheureuse histoire de silence et de censure sur le dos de la Santé Publique, et notamment sur celui du personnel, des enfants et des familles.
Une affaire de Santé Publique comme tant d’autres où l’on retrouve l’omerta scandaleuse de diverses administrations qui ne souhaitent pas « faire de vagues »….une histoire bien « dégueulasse » si je puis m’exprimer ainsi.
Important:
J’ai volontairement laissé le nom des gens dans les documents joints (écrits et sonores) même s’il est possible qu’à l’époque actuelle certaines fonctions soient occupées éventuellement par des personnes différentes.
Á mes yeux, rien ne doit être caché excepté la pauvre prénommée Colette (décédée à 58 ans d’un cancer des poumons inopérable)…
Je ne souhaite pas non plus apitoyer les lecteurs sur mon sort et l’état de ma santé.
Cet article est juste un témoignage, rien d’autre.
Cependant, plus loin dans l’article je vous décrirai mes pathologies liées à mon exposition à l’amiante.
Je prends les bons moments qui passent et je supporte les périodes moins agréables.
Voici donc l’aventure de l’amiante dans une école de la République…
Mon alerte et mon questionnement
(copie d’écran: image d’illustration)
Ayant eu très tôt connaissance de l’existence de la présence de l’amiante dans la partie « maternelle » de l’école, j’ai régulièrement posé des questions quant à l’éventuel danger de l’amiante dans les locaux.
Á chaque conseil d’école je posais les mêmes questions aux représentants de la mairie, à chaque fois j’avais le même type de réponse: « pas de danger, tout est ok et bien surveillé »…ou du genre « circulez y’a rien à voir » comme souvent dans ce genre de situation.
L’enchaînement d’une histoire
institutionnelle
liée à l’amiante
dans une école
de Haute-Savoie
(Photo personnelle: école de Vallières, partie maternelle)
Je vais vous présenter un déroulement des périodes diverses vécues personnellement avec un respect des dates et des documents. Une présentation de mes envois, de ceux de l’administration, de la mairie de Vallières et de quelques enregistrements de communications téléphoniques avec les représentants de ces institutions.
En effet, lorsque l’on me téléphone, tout est automatiquement enregistré par une application intégrée à mon portable. Donc ensuite, je garde ou j’efface et là j’ai fait le choix de conserver les enregistrements car j’ai pensé dès le départ que tout pourrait être utile à une meilleure compréhension de l’affaire.
Appel à la mairie
de Vallières
(11 mars 2015)
NOTA:
La mairie n’a jamais donné suite à ma demande d’entretien…
Pour moi, au contraire de l’administration, j’estime avoir été dans mon bon droit pour poser deux jours de Droit de Retrait considérant mon état de santé avec des pathologies directement liées à une exposition à l’amiante et spécifié dans la classification des maladies professionnelles du code de la Sécurité Sociale.
Pendant l’entretien, les fonctionnaires de la DDEN Haute-Savoie indiquent plusieurs fois que « mon Droit de Retrait » a été pris abusivement » d’autant, disent-ils, « qu’il n’y a aucun danger immédiat lié à l’amiante dans l’école »…alors qu’ils précisent, plusieurs fois aussi, qu’ils « ne sont pas compétents pour exprimer un jugement » !
Cela me rappelle, lorsque j’étais militant en Limousin, le même baratin scandaleux de la COGEMA (qui polluait lourdement in situ avec les mines d’uranium) précisant « qu’il n’y avait aucun danger pour la population »…alors qu’aucune étude épidémiologique n’avait été réalisée.
Par rapport au Droit de Retrait, je voudrais rappeler que les entraves au Droit de Retrait comme les mises en demeure sont punissables jusqu’à 10 000 euros par dossier (article L4741 alinéa 1 du Code du Travail).
(photo personnelle: l’amiante Chrysotile dans les dalles de l’école)
Très simple:
1/Des mesures d’empoussiérage (réalisées par une entreprise compétente et indépendante de l’État) dans le grenier, la salle de jeux et dans toutes les pièces de la partie maternelle.
1/Une étude épidémiologique (réalisée par des scientifiques compétents et indépendants de l’État…si cela existe) sur le personnel, les enfants et les familles; étude à réaliser sur plusieurs décennies puisque l’amiante s’est probablement détériorée dans le grenier depuis très longtemps.
Problème majeur:
Cela représente, comme toute étude épidémiologique, un temps et un coût très important. Dans ce genre de situation, l’État trouve toujours une parade pour ne rien faire ou…faire croire qu’il « fait sérieusement »…comme dans la catastrophe de Lubrizol à Rouen.
L’entretien effectué à la DDEN Haute-Savoie a été pour moi une grosse épreuve. J’étais en mauvaise santé et j’avais face à moi plusieurs fonctionnaires déterminés qui avaient probablement déjà prévu, avant de me voir, l’essentiel de leurs décisions.
J’ai, comme on peut le constater, fait face honorablement à cette désinformation scandaleuse de l’administration.
Si j’avais été fragile psychologiquement j’aurais pu…me suicider.
Heureusement j’ai été assez solide pour ne pas avoir cette fâcheuse idée en tête même si j’ai dit pendant l’entretien que « je ne me voyais pas retourner travailler dans cette école où l’amiante m’avait rendu malade ».
Certains travailleurs de l’amiante ont gagné des procès contre leur employeur pour « préjudice d’anxiété » même non malades au jour de leur procès.
Personnellement je suis « plus loin », si je puis dire, puisque j’ai eu de grosses pathologies et souffrances.
Lorsque j’ai eu un décollement de la plèvre, une pleurésie et les foyers liquides je ne pouvais même pas dormir allongé tellement j’avais mal. J’étais obligé d’essayer de supporter en passant les nuits assis sur mon lit…et ce pendant plusieurs mois.
Résumé de certaines
de mes pathologies
fin novembre 2014
avec arrêt maladie
(capture d’écran du film « L’hôpital à fleur de peau »)
Pleurésie / décollement de la plèvre / pneumonie / foyers liquides dans les poumons / Deuxième AVC /
Comment est-ce arrivé ?
(photo personnelle: école maternelle de Vallières
avec toit amiante Éternit)
Novembre 2014:
Un samedi soir vers 22h15, douleur énorme dans la poitrine en respirant. J’avais une amie à cette époque. Les pompiers arrivent après son appel et me transportent aux urgences de l’hôpital d’ANNECY. Longue attente, passage d’une radio et rien de visible sur la radio même après mon étonnement et mon questionnement car « faire plus coûterait trop cher » me dit-on.
Ma douleur s’estompe avec de la morphine. L’hôpital nous laisse repartir à 6h15 du matin en nous indiquant que c’était « des douleurs intercostales »…
Nous rentrons par le train jusqu’à mon domicile, 20 kilomètres plus loin.
Le dimanche, à 14h30, à nouveau une douleur terrible dans le torse. Je perds connaissance.
Heureusement mon amie était là, elle m’a sauvé la vie.
Á mon réveil, dans la chambre, je vois une dizaine de personnes: des pompiers, des médecins du SAMU. Ils sont restés deux heures pour me « remettre à niveau » avant le transport vu que j’ai fait une décompensation cardiaque après un malaise respiratoire important.
J’arrive à nouveau aux urgences et là l’on me fait passer encore une radio et un scanner.
Résultat: Pneumonie et pleurésie avec décollement de la plèvre plus des poches avec des foyers liquides à certains endroits.
Bref, pour des histoires de fric, cela a induit deux interventions avec pompiers et SAMU en 24h !
Donc…des dépenses supplémentaires…un comble.
Et puis bien sûr des souffrances HORRIBLES rajoutées me concernant.
Le plus TERRIBLE:
Comment l’AMIANTE
a probablement tué
une femme de 58 ans
dans l’école de Vallières
(photo d’illustration)
Une femme prénommée Colette travaillait dans l’école tout d’abord comme secrétaire de direction. Lorsque le poste budgétaire a été supprimé, l’administration lui a permis de rester comme ATSEM à l’école pour aider dans les deux classes maternelles.
Je travaillais dans l’une des deux avec les petits/moyens.
Cette année là, elle se plaignait, au mois de novembre, d’un mal de dos. Elle passa une radio qui n’était pas suffisante. Un scanner révéla des métastases osseuses. Elle passa ensuite une radio des poumons sur laquelle les médecins trouvèrent un cancer des poumons inopérable…
Colette mourut en quatre mois. C’était une femme vive et dynamique, toujours prête à déconner gentiment. Elle était très compétente et volontaire.
Des collègues (l’ancienne directrice, des enseignantes et une ATSEM) sont allées ensuite à son enterrement dans l’est de la France (sa famille vit là-bas)…Je pleure souvent en pensant à Colette.
Une OMERTA totale fut ensuite pratiquée notamment pour cacher la présence de l’amiante de l’école dans le grenier, la salle de jeux ou les salles de classes. Même mes collègues n’ont rien dit…
Le toit de cette partie d’école est en amiante-ciment. Le toit se dégrade notamment à l’intérieur dans le grenier où l’on trouve cette fameuse poussière d’amiante blanche.
Colette, moi-même, les ATSEM, des employés municipaux, d’autres enseignants sont allés très souvent dans ce grenier. Colette et moi sommes allés des dizaines de fois pour monter ou pour descendre du matériel divers. A chaque fois nous toussions.
PROBLÈME MAJEUR:
La salle de jeux est chauffée par un chauffage qui pulse l’air en le prenant…dans le grenier ! Lorsque je préparais du gros matériel de gymnastique en mousse dans la salle de jeux, je ramassais de la poussière d’amiante sur les objets…et je toussais souvent.
AUTRE PROBLÈME:
Les salles de classe, les couloirs contiennent aussi de l’amiante dans les dalles sous forme d’amiante dite « chrysotile ».
En début d’année une cireuse est passée sur ces espaces. Mais plus tard, avec le passages des enfants, tout redevient blanc poussiéreux.
Depuis des années cette école reçoit de nombreuses personnes: le personnel, les parents, etc. Des réunions avec les parents ont parfois lieu dans la salle de jeux. On peut même signaler que le toit du préau de la partie primaire est aussi en amiante-ciment.
Où sont les mesures
d’empoussiérage sérieuses
réalisées avec un protocole
digne de ce nom ?
(photo personnelle: école de Vallières
avec toit amiante Éternit)
Pendant ces dix années passées dans cette école, j’ai toujours demandé des comptes à la mairie notamment en réunions des Conseils d’École. Toujours « pas de problème »…disaient les représentants de la mairie.
Jamais il n’y a eu de mesures d’empoussiérage…JAMAIS !
Il n’y a eu que des contrôles de présence d’amiante pour nous dire que tout était « OK ».
L’histoire de l’AMIANTE
en résumé
(photo d’illustration: extraction de dalles amiantées
par une entreprise spécialisée)
Le CPA (Comité Permanent Amiante) a été mis en place en 1982 dans des locaux du 8è arrondissement de Paris. Il était composé de très nombreuses personnes dont certains « scientifiques » pour décrire les « bénéfices » de l’amiante et surtout pour assurer qu’il n’y avait AUCUN DANGER ! Le lobby de l’amiante était donc à l’œuvre pour faire passer cette propagande dégueulasse y compris en fournissant des projets de Loi à certains Députés afin de « protéger » l’industrie de l’amiante. A ce jour, le procès de l’amiante n’existe toujours pas réellement au Pénal et de pauvres veuves enterrent encore leurs maris décédés avant d’obtenir justice…Il y a même eu des épouses qui sont mortes car elles nettoyaient les habits de leurs maris ! A vomir…
AUCUN DANGER…comme l’ont encore dit les fonctionnaires de la DDEN Haute-Savoie lors de mon entretien…INCROYABLE censure/omerta ! Pour moi, il n’y a pas d’autres mots que « dégueulasse« .
Le CPA sortait ses conneries en disant à tous qu’il y avait un « usage contrôlé de l’amiante » ce qui était uniquement un concept marketing pour rassurer tout le monde y compris les élus…pas très curieux…
L’administration et ses différents services dont l’Éducation Nationale avec la Direction Départementale de l’Éducation Nationale…l’Agence Régionale de la Santé Haute-Savoie…Le Préfet…Les différents services du ministère de l’Éducation Nationale et du ministère de la Santé…les ministres BLANQUER et BUZYN (lorsque celle-ci était ministre)…j’ai prévenu plusieurs fois ces ministres…Les technocrates des ministères…Le Premier ministre…le Président de la République…les industriels comme ST GOBAIN ou ÉTERNIT ?…
Les politiques et élus divers en National et Régional ?…
Signalons que ST GOBAIN s’est considérablement enrichi sur le dos de la Santé Publique.
Il existe en outre en France le FIVA (Fonds d’Indemnisation des Victimes de l’Amiante).
Problème: il est surtout financé par l’État (le contribuable, donc).
En France, les entreprises de l’amiante ont été très protégées et ont été à l’abri d’éventuelles poursuites au Pénal.
Rappelons qu’il y a, en France, une moyenne de dix morts par jour à cause de l’amiante !
L’inventaire des zones amiantées n’existe pas. Rien ne change car, comme pour l’école de Vallières, la gestion d’élimination de l’amiante reviendrait trop cher.
C’est ce qui explique, par exemple, que le Législateur ne se force pas de trop pour être de plus en plus contraignant afin de faire éliminer ces saloperies et, de fait, protéger les citoyens.
C’est encore un « permis de tuer » qui est accordé.
C’est une catastrophe « sans visages ».
La mort des simples citoyens n’intéresse personne.
Depuis le 1er janvier 1997, l’amiante est interdite en France mais, vu le nombre de lieux publics et privés concernés, la contamination et la mort ont encore un « bel avenir »…
Le temps « joue » contre les personnes contaminées, dont je suis.
L’oubli des lieux et des contaminations est le « meilleur allié » d’une mort lente sciemment programmée par la saloperie des dits « responsables » mais…jamais coupables.
Oui, au fait…
parlons de ma santé !
(c’est moi bien sûr, j’avais 5 ans)
J’ai trop approché la radioactivité de l’uranium et ses compléments chimiques tels l’arsenic et tant d’autres. Rappel:
J’ai donc été aussi empoisonné/contaminé avec l’amiante, malgré moi et sans le savoir au départ, dans la dernière école où j’ai essayé (au mieux ou au moins pire, si je puis dire) d’être instituteur à VALLIÈRES, petite bourgade près de RUMILLY/ANNECY en Haute-Savoie.
Mais les hôpitaux, je connais depuis longtemps et notamment depuis 2001 où tout a commencé à se détruire dans mon corps:
On recherche d’éventuels problèmes sur mes conduits auditifs et…l’on trouve avec une IRM du très grave: c’est dans le cerveau !
C’est une leucopathie vasculaire au stade 1 dite de « Fazekas ».
Pas de traitement ni de médicaments pour cela.
L’évolution est imprévisible pour les toubibs et peut évoluer par paliers rapides ou lents puisqu’il y a plusieurs stades (trois stades). La substance blanche du cerveau sera de plus en plus touchée et tout est dégénératif.
C’est, en quelque sorte, la mort du cerveau.
Les causes sont diverses puisque j’ai d’autres pathologies: apnée du sommeil (j’ai arrêté l’aide d’un respirateur la nuit: je risque donc d’avoir un 3e AVC ou de faire une crise cardiaque), hypertension, j’ai eu le COVID-19 fin janvier 2020, deux AVC et j’ai été fortement irradié. Bref de nombreux cofacteurs aggravant mon état, et je ne vous parle pas du reste dont 11 carcinomes basocellulaires, opération d’un stade précancéreux à l’estomac/œsophage, etc…
J’ai déjà certaines conséquences: vue et audition qui baissent, déséquilibre corporel, fourmillements dans la main droite, mémoire immédiate déficiente, fatigue arrivant vite même après un effort minime, trouble de l’humeur, je me mets à pleurer pour le moindre problème matériel, je ne trouve plus les mots parfois.
Ce qui arrivera après:
(Merde, j’ai déjà pris un sacré coup de vieux)
Accélération d’une démence cognitive, plus possible d’avoir une discussion soutenue et cohérente, problèmes moteurs aggravés, pisser et chier dans son froc (pardon d’écrire cela), etc.
Je vais voir prochainement pas mal de toubibs en supplément de mon généraliste et je vais essayer de mettre au point le moment où je demanderai que l’on m’aide à « partir » et si ce n’est pas possible dans la région il faudra que j’aille chercher ailleurs.
Déjà j’ai fait l’impasse sur certaines solutions: trop cher en Suisse (11000 euros), trop compliqué et trop loin pour mon cas en Belgique.
En France: RIEN !…car le Législateur est un minable.
Que me reste-t-il considérant que je ne souhaite pas me suicider de peur de me louper ou de trop souffrir ?
Je ne souhaite pas finir comme une épave.
La difficulté sera de me décider pas encore trop atteint pour ne pas louper ce moment où j’aurai conscience de ne plus pouvoir me supporter…
NOTA:
Je me moque complètement de mettre toutes ces informations personnelles sur internet.
J’estime, en outre, que les gens doivent découvrir honnêtement mes enquêtes et la situation qui en découle.
Enfin, je ne souhaite pas « faire pitié » ou me faire plaindre.
Je décris une situation. C’est un témoignage, c’est tout.
Carpe Diem.
Thierry LAMIREAU
Photos: personnelles et copies d’écran des films « Amiante, le scandale continue » (Émission « Pièces à conviction »), « L’hôpital à fleur de peau », photos d’illustration prises sur internet.
Il y a quelques mois, je recevais un message sur une de mes messageries internet.
C’était un lycéen du Lycée Polyvalent Régional Jean-Auguste Margueritte de Verdun.
Il avait lu toutes mes parutions sur les armes à l’uranium « appauvri » et souhaitait obtenir des informations supplémentaires pour préparer son intervention afin de participer à un concours d’éloquence réservé aux lycéens de France et des DOM-TOM.
Je lui ai donc donné d’autres références et notamment les références de certain-e-s dont, entre autres, celles de monsieur Alain ACARIES, père d’un soldat décédé quelques mois après son retour d’une campagne militaire…
Ce lycéen très volontaire et courageux (Tom SORIANO) a donc préparé et mémorisé son intervention pour parler du soldat Ludovic ACARIES.
Tom SORIANO a donc eu la chance de pouvoir intervenir au Mémorial de Caen, vendredi 24 janvier 2020, lors des Plaidoiries pour les Droits de l’Homme…face à une assistance de journalistes, associations diverses, militaires et leurs familles, élus, membres d’Institutions, etc.
Cette « performance » de dix minutes, très difficile à assumer en public face aux caméras, a dû certainement remuer les consciences voire froisser certain-e-s…
Si le travail de Tom SORIANO reste admirable, il faudra en surveiller les conséquences…pour lui-même et pour le sujet abordé classé « Secret Défense » par TOUS LES ÉTATS utilisateurs des armes à l’uranium !
La presse va-t-elle en parler et va-t-elle me contacter in fine ou va-t-elle CENSURER comme à son habitude ?
Je serai peut-être mort avant que vous vous décidiez d’être courageux.
J’ai perdu trente années de ma vie à essayer de remuer les consciences et j’ai également détruit ma santé (à cause des sites radioactifs fréquentés) en tentant d’amener des informations fortes.
Oui, au fait…
parlons de ma santé !
(c’est moi bien sûr, j’avais 5 ans)
J’ai trop approché la radioactivité de l’uranium et ses compléments chimiques tels l’arsenic et tant d’autres.
J’ai aussi été empoisonné/contaminé avec l’amiante, malgré moi et sans le savoir au départ, dans la dernière école où j’ai essayé (au mieux ou au moins pire, si je puis dire) d’être instituteur à VALLIÈRES, petite bourgade près de RUMILLY/ANNECY en Haute-Savoie:
On recherche d’éventuels problèmes sur mes conduits auditifs et…l’on trouve avec une IRM du très grave: c’est dans le cerveau !
C’est une leucopathie vasculaire au stade 1 dite de « Fazekas ».
Pas de traitement ni de médicaments pour cela.
L’évolution est imprévisible pour les toubibs et peut évoluer par paliers rapides ou lents puisqu’il y a plusieurs stades (trois stades).
La substance blanche du cerveau sera de plus en plus touchée et tout est dégénératif.
C’est, en quelque sorte, la mort du cerveau.
Les causes sont diverses puisque j’ai d’autres pathologies: apnée du sommeil (je supporte difficilement masque et respirateur la nuit), hypertension, j’ai eu le COVID-19 fin janvier 2020, deux AVC et j’ai été fortement irradié.
Bref de nombreux cofacteurs aggravant mon état, et je ne vous parle pas du reste dont 10 carcinomes basocellulaires, opération d’un stade précancéreux à l’estomac/œsophage, etc…
J’ai déjà certaines conséquences: vue et audition qui baissent, déséquilibre corporel, fourmillements dans la main droite, mémoire immédiate déficiente, fatigue arrivant vite même après un effort minime, trouble de l’humeur, je me mets à pleurer pour le moindre problème matériel, je ne trouve plus les mots parfois.
Ce qui arrivera après:
(Merde, j’ai déjà pris un sacré coup de vieux)
Accélération d’une démence cognitive, plus possible d’avoir une discussion soutenue et cohérente, problèmes moteurs aggravés, pisser et chier dans son froc (pardon d’écrire cela), etc.
Je vais voir prochainement pas mal de toubibs en supplément de mon généraliste et je vais essayer de mettre au point le moment où je demanderai que l’on m’aide à « partir » et si ce n’est pas possible dans la région il faudra que j’aille chercher ailleurs.
Je ne souhaite pas finir comme une épave.
La difficulté sera de me décider pas encore trop atteint pour ne pas louper ce moment où j’aurai conscience de ne plus pouvoir me supporter…
NOTA:
Je me moque complètement de mettre toutes ces informations personnelles sur internet.
J’estime, en outre, que les gens doivent découvrir honnêtement mes enquêtes et la situation qui en découle.
Enfin, je ne souhaite pas « faire pitié » ou me faire plaindre.
Je décris une situation. C’est un témoignage, c’est tout.
Carpe Diem.
Thierry LAMIREAU
Réalisateur du film « Uranium en Limousin » et accessoirement irradié.
Je vous propose des ambiances sonores stéréophoniques enregistrées dans les rues d’ANNECY lors de la « descente des Alpages ». C’est une fête organisée pour retrouver (un peu) les vraies descentes des alpages d’autrefois.
C’est surtout désormais un moment à vocation folklorique nostalgique (pléonasme ?). Rien d’autre.
Très peu de montage et de mixage dans ce moment riche en sons.
J’ai utilisé un microphone stéréo SUPERLUX (cellules xy) E524D installé sur une perche avec suspension et deux protections anti-vent: une en mousse + une avec poils. Ce microphone était branché sur un enregistreur ZOOM H4n. J’ai travaillé sans casque de contrôle sonore. Je n’utilise plus le casque pour les prises de sons…
Je n’utilise plus le casque car je me fie à mes oreilles. Connaissant le microphone, ce qu’il prend et ce que peuvent donner les sons selon la position du micro, je préfère rester aux sons directs de mon écoute naturelle.
Et s’il y a des détails sonores en plus…tant mieux, c’est la surprise de la première écoute de l’enregistrement.
J’ai remarqué aussi que les gens sont plus « naturels » et moins méfiants si j’enlève le casque de ma tête.
J’utilise le casque avant l’enregistrement pour contrôler le son et la partie technique de départ.
Après je me fie aux oreilles et au visuel de l’enregistreur de temps en temps. Il est clair que si une ronflette arrive c’est cuit mais même avec le casque, je ne pense pas pouvoir résoudre la ronflette in situ alors… J’espère que cette ambiance vous plaira. Cordialement.
Voyant passer les jours depuis les premières explosions d’armes radioactives Russes sur plusieurs sites puis ensuite ailleurs avec le missile (notamment à Nyonoksa, Arkhangelsk, Severodvinsk) référencé 9M730 Burevestnik par les Russes et SSC-X-9 Skyfall par l’OTAN : missile de croisière dont Poutine a dit « que n’importe quel coin de la terre est atteignable parce qu’il est alimenté par un petit réacteur nucléaire »…
(Photo: le 9M730 Burevestnik/SSC-X-9 Skyfall
Capture d’écran d’une vidéo de l’armée russe)
Il est donc temps que j’apporte mon analyse par rapport à l’édifice de mensonges élaboré comme pour la fameuse « Affaire du Ruthénium 106″ fin 2017 où tous les pays européens et les organismes liés au nucléaire (internationaux et nationaux) ont censuré la réalité (explosions d’armes à l’uranium à Kalinovka en Ukraine) pour médiatiser à outrance des mensonges répétés par les médias et, malheureusement, par les associations, les écologistes politiques, les élus et les laboratoires dits « indépendants » !
Il faut noter que ces laboratoires en question ne sont pas indépendants puisqu’ils reçoivent un agrément renouvelable par… des services de l’État français liés à différents ministères…CQFD.
NOTA: On note 0,17 microsievert par heure pour le plus faible relevé et 2 microsievert par heure pour le niveau de radioactivité annoncé.
Des « détails » dans le texte
de la CRIIRAD
1/ Le titre
2/ Les filtres et balises
suivis par la CRIIRAD
3/ Cartographie du mouvement
des nuages radioactifs
donnés par la CRIIRAD
Problème:
Les relevés
de la
Commission Européenne
indiquent
une POLLUTION MAJEURE
Une pollution majeure sur l’Allemagne et la Turquie par exemple…
Au début des pollutions radioactives:
une censure des balises
le 6 août 2019 !
Les commentaires de la CRIIRAD
sur les balises
en contradiction TOTALE
avec celles de EDF !
Une CONTRADICTION
des analyses
des labos « indépendants »
et de la Russie
avec MES RELEVÉS
en Haute-Savoie (France)
près d’ANNECY
Il s’avère que depuis plusieurs années je dispose d’un compteur GEIGER semi-professionnel de marque « Gamma Scout Alert » qui mesure tous les rayonnements radioactifs. Or j’ai mesuré, quelques temps après les premières explosions, une radioactivité très au-dessus de la normaleet du maximum donné par les instances internationales pour la population (hors femmes enceintes et fœtus).
Mes mesures ont été réalisées dans une résidence, sur mon balcon au troisième étage.
La mesure habituelle dans ce lieu est de 0,09 microsievert par heure.
Le MAXIMUM donné pour la population est de 0,15 microsievert par heure.
J’ai mesuré à certains moments 0,357 microsievert par heure !
J’ai effectué cette petite vidéo édifiante à 10 kilomètres d’Annecy entre RUMILLY et ANNECY ! Mon véhicule roulait à 80 km/h. Les niveaux les plus forts s’affichaient lorsque ma voiture se trouvait près de champs de chaque côté de la route.
Le niveau a diminué lorsque je suis rentré dans Annecy mais, ce jour-là, les niveaux mesurés n’ont jamais été en-dessous de 0,16 microsievert par heure…
La carte Russe des mesures
est-elle réelle ?
En effet, il s’avère que j’ai fait du vélo mercredi 14 août 2019 pour faire le tour du lac d’Annecy. J’avais mis, bêtement, mon compteur GEIGER dans mon sac à dos. Je me suis arrêté 10 km plus loin dans la baie de Talloires. J’ai alors sorti mon compteur.
Mauvaise surprise:mon compteur indiquait un triangle clignotant ce qui veut dire que j’avais a minima atteint ou dépassé le seuil d’alerte.(le sonore des coups n’était pas enclenché donc, en plus de ne rien voir, je n’ai rien entendu).
Mon appareil est réglé avec un seuil d’alerte de…5 microsievert par heure !
Il fonctionne très bien et a été étalonné dans un laboratoire spécialisé allemand.
Ces 5 microsievert par heure ne sont pas une erreur…
CONCLUSION:
Je suppose que les mesures données par la Russie sont FAUSSES et ont donc été minorées !
Les mesures données par la CRIIRAD et l’ACRO ne correspondent absolument pas à la réalité.
Se souvenir que des balises de EDF ont relevé une augmentation de la radioactivité.
Pour moi, il ne fait pas de doute que les « mêmes » censurent, mentent sur commande pour ne pas affoler la population et pour « endormir » la conscience des gens et des journalistes.
Les Médias ont donc « recraché » les bêtises officielles de la France, de l’Europe et de la Russie !…comme pour l’Affaire du Ruthénium 106 fin 2017.
La CRIIRAD et l’ACRO disent d’ailleurs toujours que la pollution au Ruthénium 106 de fin 2017 « vient d’un site militaire Russe » ce qui est en contradiction TOTALE avec la carte de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique)…
RAPPEL:
L’affaire du Ruthénium 106, fin 2017, est due à de multiples explosions d’armes à l’uranium sur le site militaire de Kalinovka en UKRAINE …et pas en RUSSIE !
Pourquoi une telle CENSURE ?
La réponse est toujours la même:
TOUS LES PAYS, de l’est comme de l’ouest, utilisent des armes radioactives comme les armes à l’uranium « appauvri » (entre autres saloperies radioactives ET chimiques) ou les missiles contenant des sources radioactives voire des mini réacteurs nucléaires comme certains nouveaux missiles.
Si ces pays déclaraient l’utilisation de telles armes, ils pourraient éventuellement être poursuivis pour CRIME CONTRE L’HUMANITÉ. Donc, tous les pays classent leur utilisation « secret défense ».
En cas de problèmes ou de catastrophes comme en ce moment, ils ont souvent tendance à nier ou à minimiser les effets voire à indiquer « qu’il n’y a aucun danger pour les populations !