« ANNECY: LE SILENCE RADIOACTIF est le témoignage « en direct » d’une grave pollution radioactive à ANNECY, de la Haute-Savoie, de la France et de l’Europe depuis au moins le début du mois de Juillet 2020 après le bombardement (probablement d’Israël) sur le site nucléaire secret/enfoui de NATANZ en IRAN.
URANIUM:
UNE POLLUTION GÉNÉRALISÉE
C’est aussi très probablement le résultat cumulé des bombardements journaliers des différents pays sur le Moyen-Orient ou ailleurs tels que la TURQUIE, ISRAËL, la SYRIE, l’IRAQ, les ÉTATS-UNIS, L’ARABIE SAOUDITE, la FRANCE, etc.
Les pays ciblés sont bombardés avec des armes à l’uranium « appauvri ».
(Photo: explosion d’une arme à l’uranium « appauvri »)
(Photo: résultats d’analyse d’échantillons récupérés in situ après des bombardements.
Origine: Association « AVIGOLFE »)
Une pollution immédiate s’installe dans les sols, les eaux et l’air induisant plus tard une grave MORBIDITÉ et MORTALITÉ.
(Photo: enfant touché par les armes à l’uranium « appauvri »)
Cependant, le restant de la pollution radioactive monte dans la stratosphère et peut parcourir des milliers de kilomètres voire faire plusieurs fois le tour de la terre avant de redescendre et tomber sur d’autres pays !
Ces pollutions chimiques et radioactives représentent une POLLUTION/CONTAMINATION MAJEURE de…4,5 milliards d’années avec l’ADN du vivant détruit pour l’éternité…
On peut constater chaque jour (heure par heure) cette pollution sur les cartes de mesure de la radioactivité de la Commission Européenne en visualisant les relevés anormaux (voire très forts) de toutes les balises de contrôle.
C’est ainsi que l’on retrouve une pollution très GRAVE dans toute la région d’ANNECY et du lac d’ANNECY !
DEUXIÈME PARTIE:
J’ai fait à nouveau un tour du lac d’ANNECY en vélo le 5 août 2020.
Je pensais trouver une diminution des niveaux de radioactivité.
J’ai trouvé de rares lieux à 0,15 microSievert par heure (c’est déjà le maximum toléré pour la population, hors foetus !).
Je ne m’attendais pas à trouver (33 jours après les bombardements à l’uranium sur le sire nucléaire de NATANZ en IRAN) de tels niveaux !
EXPLICATION:
Pour moi, il est évident que les bombardements JOURNALIERS à l’uranium dans tel ou tel pays augmentent la pollution radioactive sur TOUTE L’EUROPE et notamment sur la région d’ANNECY.
LA DEUXIÈME EXPLICATION
PLUS CERTAINE
CE 5 AOÛT 2020
(explosions d’armes à l’uranium à BEYROUTH
le 4 août 2030)
En préparant un article sur les explosions du 4 août 2020 dans le port de BEYROUTH, je viens de prendre conscience que la radioactivité mesurée ce 5 août à ANNECY…provient de la première explosion à BEYROUTH:
J’ai tourné une vidéo avec mon téléphone portable d’une main et un compteur GEIGER dans l’autre main.
Les mesures sont claires et édifiantes !
J’ai envoyé des informations à la direction du cabinet du nouveau maire dit « écologiste » d’ANNECY et aux services du Préfet. J’ai eu aussi un entretien téléphonique avec le secrétariat de Direction du maire.
J’ai demandé une interview son au maire et au Préfet depuis deux semaines…Pas de réponse !
Préfet et Maire ont fonction/obligation de protection de la population.
Ils se TAISENT et sont donc coupables d’une acceptation réalisée SCIEMMENT de la contamination des personnes notamment des femmes enceintes et des enfants.
LE SCANDALEUX Á DÉNONCER
Cette situation scandaleuse est à dénoncer; c’est donc ce que je fais au risque d’être à nouveau irradié et encore plus malade.
La radioactivité…je connais depuis que j’ai tourné en LIMOUSIN en 1992 mon film « URANIUM EN LIMOUSIN ».
Par exemple, j’en suis au dixième cancer de la peau.
Pas le mélanome, non heureusement, mais le carcinome basocellulaire défini par les tableaux des maladies professionnelles de la Sécurité Sociale comme « lié aux irradiations ». Donc à chaque fois: opération, points installés et souffrance…
MESSAGE POUR LES HARCELEURS
ET/OU PRO-NUCLÉAIRE
Je note, sur mon compte Twitter, le 5 août 2020, une « déferlante » de pro-nucléaire uniquement là pour écrire des messages d’insultes et des conneries du genre: « ce n’est pas dangereux, il faudrait y passer des heures ».
Le problème est que des enfants et des femmes enceintes y passent justement des heures en bronzant au soleil !
En outre, la Législation dit que « toute dose rajoutée doit être justifiée »…et là dans ces lieux publics c’est…injustifiable !
Je remarque que ces idiots patentés ne lisent même pas mes enquêtes.
Ce sont les techniques habituelles pour ridiculiser un auteur ou un « lanceur d’alerte ».
Je pratique ces « fumiers » depuis…40 ans, depuis que j’ai tourné mon film « URANIUM EN LIMOUSIN ».
Les bombardements israéliens et/ou américains vont revenir ?
…Avec une nouvelle pollution radioactive sur l’Europe, la France, la Haute-Savoie, Annecy ?…
LE SILENCE RADIOACTIF:
TOUS COMPLICES !
Ce montage vidéo est le témoignage du SILENCE RADIOACTIF imposé par tous les maires concernés, le Préfet, l’ARS, les pompiers, les gendarmes, la police, la Sécurité Civile, le ministère de la Santé (son ministre et tous ses fonctionnaires), le Premier ministre, le Président de la République, l’IRSN, l’ASN, les laboratoires de surveillance de la radioactivité dits « indépendants » mais qui ne le sont pas puisque leur agrément de laboratoire dépend de ministères du pays, la Commission Européenne, toute la presse et ses journalistes complices, etc.
Le SILENCE RADIOACTIF à ANNECY, en Haute-Savoie, sur la France et sur l’Europe est le résultat d’une OMERTA GÉNÉRALISÉE.
CONCLUSION:
Depuis les retombées de TCHERNOBYL rien n’a changé !…
« Circulez, y’a rien à voir » comme dirait l’autre.
Thierry LAMIREAU
Réalisateur du film « URANIUM EN LIMOUSIN
POUR PLUS D’INFOS
SUR LES ARMES
Á L’URANIUM:
Pour une approche sérieuse du problème lié à l’utilisation des armes à l’uranium « appauvri » voir le lien personnel ci-dessous:
Retraité depuis août 2015, je dois supporter une respiration parfois difficile à cause d’un passé professionnel dans une école de Haute-Savoie.
J’ai travaillé dix ans à l’école de Vallières (près d’Annecy) dans la partie réservée aux classes maternelles.
Deux salles très mal isolées où la déperdition de chaleur existait en hiver et où l’on supportait des températures de 33 degrés à l’intérieur en été.
Mais un danger sanitaire majeur était présent sans que nous le sachions vraiment précisément: celui de l’AMIANTE.
Le toit est en amiante-ciment et les dalles des salles de classe, de la salle de jeux et de la salle de sieste comportent de l’amiante dite « chrysotile ».
Voici l’histoire d’une « forteresse aux dents d’acier », celle d’une omerta généralisée assumée par une collectivité locale, l’administration de l’Éducation Nationale et de l’Agence Régionale de la Santé sous couvert du ministère de l’Éducation Nationale et du ministère de la Santé…
C’est une malheureuse histoire de silence et de censure sur le dos de la Santé Publique, et notamment sur celui du personnel, des enfants et des familles.
Une affaire de Santé Publique comme tant d’autres où l’on retrouve l’omerta scandaleuse de diverses administrations qui ne souhaitent pas « faire de vagues »….une histoire bien « dégueulasse » si je puis m’exprimer ainsi.
Important:
J’ai volontairement laissé le nom des gens dans les documents joints (écrits et sonores) même s’il est possible qu’à l’époque actuelle certaines fonctions soient occupées éventuellement par des personnes différentes.
Á mes yeux, rien ne doit être caché excepté la pauvre prénommée Colette (décédée à 58 ans d’un cancer des poumons inopérable)…
Je ne souhaite pas non plus apitoyer les lecteurs sur mon sort et l’état de ma santé.
Cet article est juste un témoignage, rien d’autre.
Cependant, plus loin dans l’article je vous décrirai mes pathologies liées à mon exposition à l’amiante.
Je prends les bons moments qui passent et je supporte les périodes moins agréables.
Voici donc l’aventure de l’amiante dans une école de la République…
Mon alerte et mon questionnement
(copie d’écran: image d’illustration)
Ayant eu très tôt connaissance de l’existence de la présence de l’amiante dans la partie « maternelle » de l’école, j’ai régulièrement posé des questions quant à l’éventuel danger de l’amiante dans les locaux.
Á chaque conseil d’école je posais les mêmes questions aux représentants de la mairie, à chaque fois j’avais le même type de réponse: « pas de danger, tout est ok et bien surveillé »…ou du genre « circulez y’a rien à voir » comme souvent dans ce genre de situation.
L’enchaînement d’une histoire
institutionnelle
liée à l’amiante
dans une école
de Haute-Savoie
(Photo personnelle: école de Vallières, partie maternelle)
Je vais vous présenter un déroulement des périodes diverses vécues personnellement avec un respect des dates et des documents. Une présentation de mes envois, de ceux de l’administration, de la mairie de Vallières et de quelques enregistrements de communications téléphoniques avec les représentants de ces institutions.
En effet, lorsque l’on me téléphone, tout est automatiquement enregistré par une application intégrée à mon portable. Donc ensuite, je garde ou j’efface et là j’ai fait le choix de conserver les enregistrements car j’ai pensé dès le départ que tout pourrait être utile à une meilleure compréhension de l’affaire.
Appel à la mairie
de Vallières
(11 mars 2015)
NOTA:
La mairie n’a jamais donné suite à ma demande d’entretien…
Pour moi, au contraire de l’administration, j’estime avoir été dans mon bon droit pour poser deux jours de Droit de Retrait considérant mon état de santé avec des pathologies directement liées à une exposition à l’amiante et spécifié dans la classification des maladies professionnelles du code de la Sécurité Sociale.
Pendant l’entretien, les fonctionnaires de la DDEN Haute-Savoie indiquent plusieurs fois que « mon Droit de Retrait » a été pris abusivement » d’autant, disent-ils, « qu’il n’y a aucun danger immédiat lié à l’amiante dans l’école »…alors qu’ils précisent, plusieurs fois aussi, qu’ils « ne sont pas compétents pour exprimer un jugement » !
Cela me rappelle, lorsque j’étais militant en Limousin, le même baratin scandaleux de la COGEMA (qui polluait lourdement in situ avec les mines d’uranium) précisant « qu’il n’y avait aucun danger pour la population »…alors qu’aucune étude épidémiologique n’avait été réalisée.
Par rapport au Droit de Retrait, je voudrais rappeler que les entraves au Droit de Retrait comme les mises en demeure sont punissables jusqu’à 10 000 euros par dossier (article L4741 alinéa 1 du Code du Travail).
(photo personnelle: l’amiante Chrysotile dans les dalles de l’école)
Très simple:
1/Des mesures d’empoussiérage (réalisées par une entreprise compétente et indépendante de l’État) dans le grenier, la salle de jeux et dans toutes les pièces de la partie maternelle.
1/Une étude épidémiologique (réalisée par des scientifiques compétents et indépendants de l’État…si cela existe) sur le personnel, les enfants et les familles; étude à réaliser sur plusieurs décennies puisque l’amiante s’est probablement détériorée dans le grenier depuis très longtemps.
Problème majeur:
Cela représente, comme toute étude épidémiologique, un temps et un coût très important. Dans ce genre de situation, l’État trouve toujours une parade pour ne rien faire ou…faire croire qu’il « fait sérieusement »…comme dans la catastrophe de Lubrizol à Rouen.
L’entretien effectué à la DDEN Haute-Savoie a été pour moi une grosse épreuve. J’étais en mauvaise santé et j’avais face à moi plusieurs fonctionnaires déterminés qui avaient probablement déjà prévu, avant de me voir, l’essentiel de leurs décisions.
J’ai, comme on peut le constater, fait face honorablement à cette désinformation scandaleuse de l’administration.
Si j’avais été fragile psychologiquement j’aurais pu…me suicider.
Heureusement j’ai été assez solide pour ne pas avoir cette fâcheuse idée en tête même si j’ai dit pendant l’entretien que « je ne me voyais pas retourner travailler dans cette école où l’amiante m’avait rendu malade ».
Certains travailleurs de l’amiante ont gagné des procès contre leur employeur pour « préjudice d’anxiété » même non malades au jour de leur procès.
Personnellement je suis « plus loin », si je puis dire, puisque j’ai eu de grosses pathologies et souffrances.
Lorsque j’ai eu un décollement de la plèvre, une pleurésie et les foyers liquides je ne pouvais même pas dormir allongé tellement j’avais mal. J’étais obligé d’essayer de supporter en passant les nuits assis sur mon lit…et ce pendant plusieurs mois.
Résumé de certaines
de mes pathologies
fin novembre 2014
avec arrêt maladie
(capture d’écran du film « L’hôpital à fleur de peau »)
Pleurésie / décollement de la plèvre / pneumonie / foyers liquides dans les poumons / Deuxième AVC /
Comment est-ce arrivé ?
(photo personnelle: école maternelle de Vallières
avec toit amiante Éternit)
Novembre 2014:
Un samedi soir vers 22h15, douleur énorme dans la poitrine en respirant. J’avais une amie à cette époque. Les pompiers arrivent après son appel et me transportent aux urgences de l’hôpital d’ANNECY. Longue attente, passage d’une radio et rien de visible sur la radio même après mon étonnement et mon questionnement car « faire plus coûterait trop cher » me dit-on.
Ma douleur s’estompe avec de la morphine. L’hôpital nous laisse repartir à 6h15 du matin en nous indiquant que c’était « des douleurs intercostales »…
Nous rentrons par le train jusqu’à mon domicile, 20 kilomètres plus loin.
Le dimanche, à 14h30, à nouveau une douleur terrible dans le torse. Je perds connaissance.
Heureusement mon amie était là, elle m’a sauvé la vie.
Á mon réveil, dans la chambre, je vois une dizaine de personnes: des pompiers, des médecins du SAMU. Ils sont restés deux heures pour me « remettre à niveau » avant le transport vu que j’ai fait une décompensation cardiaque après un malaise respiratoire important.
J’arrive à nouveau aux urgences et là l’on me fait passer encore une radio et un scanner.
Résultat: Pneumonie et pleurésie avec décollement de la plèvre plus des poches avec des foyers liquides à certains endroits.
Bref, pour des histoires de fric, cela a induit deux interventions avec pompiers et SAMU en 24h !
Donc…des dépenses supplémentaires…un comble.
Et puis bien sûr des souffrances HORRIBLES rajoutées me concernant.
Le plus TERRIBLE:
Comment l’AMIANTE
a probablement tué
une femme de 58 ans
dans l’école de Vallières
(photo d’illustration)
Une femme prénommée Colette travaillait dans l’école tout d’abord comme secrétaire de direction. Lorsque le poste budgétaire a été supprimé, l’administration lui a permis de rester comme ATSEM à l’école pour aider dans les deux classes maternelles.
Je travaillais dans l’une des deux avec les petits/moyens.
Cette année là, elle se plaignait, au mois de novembre, d’un mal de dos. Elle passa une radio qui n’était pas suffisante. Un scanner révéla des métastases osseuses. Elle passa ensuite une radio des poumons sur laquelle les médecins trouvèrent un cancer des poumons inopérable…
Colette mourut en quatre mois. C’était une femme vive et dynamique, toujours prête à déconner gentiment. Elle était très compétente et volontaire.
Des collègues (l’ancienne directrice, des enseignantes et une ATSEM) sont allées ensuite à son enterrement dans l’est de la France (sa famille vit là-bas)…Je pleure souvent en pensant à Colette.
Une OMERTA totale fut ensuite pratiquée notamment pour cacher la présence de l’amiante de l’école dans le grenier, la salle de jeux ou les salles de classes. Même mes collègues n’ont rien dit…
Le toit de cette partie d’école est en amiante-ciment. Le toit se dégrade notamment à l’intérieur dans le grenier où l’on trouve cette fameuse poussière d’amiante blanche.
Colette, moi-même, les ATSEM, des employés municipaux, d’autres enseignants sont allés très souvent dans ce grenier. Colette et moi sommes allés des dizaines de fois pour monter ou pour descendre du matériel divers. A chaque fois nous toussions.
PROBLÈME MAJEUR:
La salle de jeux est chauffée par un chauffage qui pulse l’air en le prenant…dans le grenier ! Lorsque je préparais du gros matériel de gymnastique en mousse dans la salle de jeux, je ramassais de la poussière d’amiante sur les objets…et je toussais souvent.
AUTRE PROBLÈME:
Les salles de classe, les couloirs contiennent aussi de l’amiante dans les dalles sous forme d’amiante dite « chrysotile ».
En début d’année une cireuse est passée sur ces espaces. Mais plus tard, avec le passages des enfants, tout redevient blanc poussiéreux.
Depuis des années cette école reçoit de nombreuses personnes: le personnel, les parents, etc. Des réunions avec les parents ont parfois lieu dans la salle de jeux. On peut même signaler que le toit du préau de la partie primaire est aussi en amiante-ciment.
Où sont les mesures
d’empoussiérage sérieuses
réalisées avec un protocole
digne de ce nom ?
(photo personnelle: école de Vallières
avec toit amiante Éternit)
Pendant ces dix années passées dans cette école, j’ai toujours demandé des comptes à la mairie notamment en réunions des Conseils d’École. Toujours « pas de problème »…disaient les représentants de la mairie.
Jamais il n’y a eu de mesures d’empoussiérage…JAMAIS !
Il n’y a eu que des contrôles de présence d’amiante pour nous dire que tout était « OK ».
L’histoire de l’AMIANTE
en résumé
(photo d’illustration: extraction de dalles amiantées
par une entreprise spécialisée)
Le CPA (Comité Permanent Amiante) a été mis en place en 1982 dans des locaux du 8è arrondissement de Paris. Il était composé de très nombreuses personnes dont certains « scientifiques » pour décrire les « bénéfices » de l’amiante et surtout pour assurer qu’il n’y avait AUCUN DANGER ! Le lobby de l’amiante était donc à l’œuvre pour faire passer cette propagande dégueulasse y compris en fournissant des projets de Loi à certains Députés afin de « protéger » l’industrie de l’amiante. A ce jour, le procès de l’amiante n’existe toujours pas réellement au Pénal et de pauvres veuves enterrent encore leurs maris décédés avant d’obtenir justice…Il y a même eu des épouses qui sont mortes car elles nettoyaient les habits de leurs maris ! A vomir…
AUCUN DANGER…comme l’ont encore dit les fonctionnaires de la DDEN Haute-Savoie lors de mon entretien…INCROYABLE censure/omerta ! Pour moi, il n’y a pas d’autres mots que « dégueulasse« .
Le CPA sortait ses conneries en disant à tous qu’il y avait un « usage contrôlé de l’amiante » ce qui était uniquement un concept marketing pour rassurer tout le monde y compris les élus…pas très curieux…
L’administration et ses différents services dont l’Éducation Nationale avec la Direction Départementale de l’Éducation Nationale…l’Agence Régionale de la Santé Haute-Savoie…Le Préfet…Les différents services du ministère de l’Éducation Nationale et du ministère de la Santé…les ministres BLANQUER et BUZYN (lorsque celle-ci était ministre)…j’ai prévenu plusieurs fois ces ministres…Les technocrates des ministères…Le Premier ministre…le Président de la République…les industriels comme ST GOBAIN ou ÉTERNIT ?…
Les politiques et élus divers en National et Régional ?…
Signalons que ST GOBAIN s’est considérablement enrichi sur le dos de la Santé Publique.
Il existe en outre en France le FIVA (Fonds d’Indemnisation des Victimes de l’Amiante).
Problème: il est surtout financé par l’État (le contribuable, donc).
En France, les entreprises de l’amiante ont été très protégées et ont été à l’abri d’éventuelles poursuites au Pénal.
Rappelons qu’il y a, en France, une moyenne de dix morts par jour à cause de l’amiante !
L’inventaire des zones amiantées n’existe pas. Rien ne change car, comme pour l’école de Vallières, la gestion d’élimination de l’amiante reviendrait trop cher.
C’est ce qui explique, par exemple, que le Législateur ne se force pas de trop pour être de plus en plus contraignant afin de faire éliminer ces saloperies et, de fait, protéger les citoyens.
C’est encore un « permis de tuer » qui est accordé.
C’est une catastrophe « sans visages ».
La mort des simples citoyens n’intéresse personne.
Depuis le 1er janvier 1997, l’amiante est interdite en France mais, vu le nombre de lieux publics et privés concernés, la contamination et la mort ont encore un « bel avenir »…
Le temps « joue » contre les personnes contaminées, dont je suis.
L’oubli des lieux et des contaminations est le « meilleur allié » d’une mort lente sciemment programmée par la saloperie des dits « responsables » mais…jamais coupables.
Écrit le 15 février 2020,
Carpe Diem.
Thierry LAMIREAU
Photos: personnelles et copies d’écran des films « Amiante, le scandale continue » (Émission « Pièces à conviction »), « L’hôpital à fleur de peau », photos d’illustration prises sur internet.
Il y a quelques mois, je recevais un message sur une de mes messageries internet.
C’était un lycéen du Lycée Polyvalent Régional Jean-Auguste Margueritte de Verdun.
Il avait lu toutes mes parutions sur les armes à l’uranium « appauvri » et souhaitait obtenir des informations supplémentaires pour préparer son intervention afin de participer à un concours d’éloquence réservé aux lycéens de France et des DOM-TOM.
Je lui ai donc donné d’autres références et notamment les références de certain-e-s dont, entre autres, celles de monsieur Alain ACARIES, père d’un soldat décédé quelques mois après son retour d’une campagne militaire…
Ce lycéen très volontaire et courageux (Tom SORIANO) a donc préparé et mémorisé son intervention pour parler du soldat Ludovic ACARIES.
Tom SORIANO a donc eu la chance de pouvoir intervenir au Mémorial de Caen, vendredi 24 janvier 2020, lors des Plaidoiries pour les Droits de l’Homme…face à une assistance de journalistes, associations diverses, militaires et leurs familles, élus, membres d’Institutions, etc.
Cette « performance » de dix minutes, très difficile à assumer en public face aux caméras, a dû certainement remuer les consciences voire froisser certain-e-s…
Si le travail de Tom SORIANO reste admirable, il faudra en surveiller les conséquences…pour lui-même et pour le sujet abordé classé « Secret Défense » par TOUS LES ÉTATS utilisateurs des armes à l’uranium !
La presse va-t-elle en parler et va-t-elle me contacter in fine ou va-t-elle CENSURER comme à son habitude ?
Ou comment montrer que la Direction du Renseignement Militaire (DRM)
et @Disclose_ngo (un comble) CACHENT l’utilisation d’armes à l’URANIUM et autres merdes radioactives et chimiques par l’armée française.
Faire le point
sur la situation en France
par rapport à l’utilisation
d’armes
au Yemen ?
Il est évident que l’on doit en préciser les informations d’autant que ceux qui posent les questions (certains élus, certaines associations, certains journalistes) ne décrivent pas le plus GRAVE: la France vend et utilise des armes à l’URANIUM « appauvri » et autres produits radioactifs et chimiques !
Certains Députés avancent à petits pas en parlant « d’armes radioactives » sans plus d’information.
Faudrait-il rappeler que j’ai commencé à dénoncer le sujet lorsque l’ancien Président de la République, François HOLLANDE, a ordonné les bombardements au MALI en janvier 2013:
Ce groupe de journalistes se dit « indépendant ». Il est pourtant étrange que ces enquêteurs taisentsciemment le fait qu’un grand nombre d’armes, de munitions et de missiles soient à l’uranium « appauvri » !
« Avec quels missiles ? la note ne le dit pas » (sic)
Réponse:avec des missiles à l’uranium « appauvri ».
(Document: DISCLOSE)
Les chars LECLERC
au YEMEN
(documents: DISCLOSE)
La DRM précise
l’emploi d’armes françaises
« obus flèches »
IMPORTANT et GRAVE:
La DRM parle donc « d’obus flèches » uniquement « françaises ».
DISCLOSE et la DRM censurent le fait que ces armes soient à l’uranium « appauvri » !
Or l’armée française
a avoué sous la présidence de HOLLANDE
que ces armes sont à l’uranium « appauvri » !
Extrait vidéo tiré de:
« Uranium appauvri, un tueur si présentable » Par Jacques CHARMELOT. Réalisé et filmé par François CHAYE. Producteurs: Daniel RENOUF et Sylvie STEINEBACH. Production: SYSTEM TV
Munitions à l’uranium « appauvri »
de l’entreprise 100% française
NEXTER
pour le char LECLERC
et autres matériels
Les canons CAESAR
et certains de leurs obus
à l’uranium « appauvri »
(Photo: canon CAESAR de nuit/Armée de Terre)
(Photo: capture d’écran vidéo Armée de Terre)
(Photo: dossier DISCLOSE)
La censure de DISCLOSE
sur le canon CAESAR
DISCLOSE parle de « puissant canon, puissance de feu » et CENSURE le fait que la plupart des obus du canon CAESAR contiennent de l’uranium « appauvri«
Sur la capture d’écran suivante (origine: vidéo promotionnelle de l’armée de terre)
l’on retrouve les références des armes à l’uranium « appauvri ».
Notons que l’inscription jaune est celle de l’armée française et l’inscription rouge est la mienne…
Les références de ces obus sont données ci-dessous par l’entreprise NEXTER:
Tout ce travail gigantesque n’aurait JAMAIS dû être effectué par le simple citoyen que je suis. En outre je voudrais dire que toutes ces informations ont été trouvées sur…internet !
Où sont les journalistes, les élus, les associations, les écolos politiques, etc ?
Depuis 30 années, j’essaye de remuer un peu les consciences…en vain.
J’ai pris des risques pour ma santé pour le film suivant…
Sortant à peine de l’hôpital en ce début de février
2019, il m’a semblé nécessaire d’apporter un
témoignage sur certaines « pratiques » dans les
hôpitaux, les cliniques et instituts divers.
A force de fréquenter ce genre de lieu il m’est
apparu que, de plus en plus, l’accueil et le
traitement des patients est conditionné par des
choix politiques et financiers.
Ce n’est pas une nouveauté mais là, j’ai comme
l’impression que tout cela s’accélère au détriment
du malade.
J’ai choisi d’élargir mon analyse en faisant
référence à une période beaucoup plus ancienne
car, de fait, tout a déjà commencé depuis longtemps
même si toutes ces incursions de la politique et de
la finance se faisaient plus discrètes…
Une HORREUR récente
en souvenir de l’hôpital
de RUMILLY
et de sa maison de retraite
Oui, je pense qu’il faudrait rappeler la catastrophe qui suit uniquement due à une « compression du personnel » c’est-à-dire plus clairement à ce que demande désormais tout gouvernement (quel qu’il soit): « faire plus avec moins »….ou « on te donne moins de TUNES mais tu te démerdes à gérer l’Etablissement aussi bien…enfin…aussi bien…en PIRE ».
Cette histoire est la signification d’une souffrance du personnel sur « le dos » des résidents en fin de vie dans une maison de retraite médicalisée ou EHPAD.
Cette histoire est celle d’un Procureur de la République qui a préféré « classer sans suite » ma plainte pour « protéger » une Institution, une municipalité et la réputation d’une région et de ses élus…
Cette histoire est celle de ma pauvre mère (ma gentille maman) et les conséquences que j’ai dû gérer dans l’urgence et la souffrance.
Après être passé en rendez-vous avec le chirurgien et un anesthésiste (pas celui du jour de l’opération comme souvent), voici qu’arrive LE jour de l’intervention.
Je ne préciserai pas le service ni le type d’opération…c’est mon choix.
Pour faire court, disons que, vu mes pathologies passées et actuelles, une anesthésie générale est assez risquée pour moi notamment à cause de mes problèmes respiratoires et cardiaques passés ou actuels; les médecins sont bien en accord avec ce fait et me le disent.
Je ne souhaite pas « vous apitoyer sur mon sort », non loin de moi cette idée…il y a de très nombreuses personnes en plus grande souffrance.
Je souhaite décrire un enchaînement de situations assez déplorables induites essentiellement par une gestion administrative et financière.
Ce n’est donc assurément pas une gestion médicale et cela implique des conséquences incroyables « sur le dos » du patient.
Vivant seul, on me fait bien comprendre que « passer une nuit à l’hôpital est exceptionnel car cette opération devrait se réaliser en situation d’hôpital de jour »…c’est-à-dire que l’on revient normalement chez soi le soir si une personne de confiance vient vous chercher et s’engage à passer la première nuit chez vous…
Donc, vu que je vis seul, j’ai eu droit à une « nuit exceptionnelle » à l’hôpital…Super, pépère !
Comme je ne supporte plus les opiacés et la morphine, je vois bien que « j’emmerde » les toubibs pour trouver le bon compromis qui m’évitera de trop souffrir…
L’incroyable imprévu
sur la table d’opération
juste avant l’intervention
J’arrive donc dans la salle d’attente juste avant l’opération (vers 10h) mais...à pied, accompagné par une infirmière, en ayant parcouru de longs couloirs puisqu’il « n’y avait plus assez de chariots pour me transporter allongé » (sic).
L’infirmière, super sympa, responsable du bloc se présente et me parle un moment.
Nous parlons sports en commun dont le ski télémark et l’on se frappe gentiment la paume de la main comme une reconnaissance d’un beau partage d’un sport peu pratiqué dans la région.
L’anesthésiste de service vient aussi à ma rencontre. Il a l’air sympa avec son petit accent écossais puis repart.
L’on me fait entrer ensuite dans la salle d’opération et l’on me fait passer sur la table d’opération…et là SURPRISE !
Sur la table d’opération:
BIG changement !
Subitement, avant l’endormissement, l’anesthésiste me demande si je « ne préfèrerais pas être anesthésié par une injection dans le rachis à cause de mes problèmes respiratoires et cardiaques »…je suis très surpris de cette demande à ce moment là…
J’hésite et je demande quels sont les problèmes liés au respiratoire (j’ai eu une pleurésie, un décollement de la plèvre avec des foyers liquides in situ à cause de l’amiante sur mon lieu de travail…l’école de VALLIERES). Le médecin m’indique que « l’anesthésie générale implique un resserrement des alvéoles pulmonaires par la suite ».
Je comprends le problème et je donne mon accord pour une rachianesthésie malgré mon signalement de certains rares problèmes induisant une paralysie totale et définitive à cause de cette pratique chez certains patients.
Je subis deux injections dans le rachis: une pour diminuer la douleur et l’autre pour anesthésier tout le bas de mon corps.
Avant que je m’endorme un peu, l’anesthésiste me demande « pourquoi j’ai accepté sa proposition ».
Je réponds « parce que j’ai été convaincu par son argumentation »…sûrement un truc pour voir si j’allais ensuite m’endormir car je suppose que l’on m’a injecté tout de même un produit pour que je dorme puisque je n’ai pas eu le souvenir de la suite de l’intervention.
D’étranges pratiques
Donc, dans cet hôpital d’ANNECY, on te propose de changer de type d’anesthésie juste avant l’intervention alors que tu es assis sur la table d’opération pendant un moment de faiblesse personnelle psychologique et physique !…
Top le niveau m’sieurs dames !
Je signale que lors de l’entretien d’anesthésie, des jours avant l’intervention, personne ne m’a parlé de cette possibilité.
QUESTION:
Est-ce normal et respectueux du patient de proposer un tel changement opératoire juste avant l’intervention alors que le patient est…assis sur la table d’opération ?
Dans la salle de Réveil…
Je me réveille tranquillement vers 13h et j’entends parfois l’alarme qui indique que je m’arrête de respirer ainsi que le personnel qui me dit « monsieur LAMIREAU, réveillez-vous il faut respirer ».
Je m’aperçois subitement que je n’ai AUCUNE sensation sur mon bassin, mes jambes et mes pieds…Normal puisque j’ai eu une rachianesthésie.
Les heures passent et je vois bien qu’il y a un problème puisque de nombreux infirmier-e-s et médecins viennent toucher mes pieds et mes jambes mais…RIEN…je ne sens rien !
Je sens comme un léger questionnement chez le personnel et moi je commence à flipper légèrement en me demandant ce qui va se passer après.
QUESTION: L’anesthésiste a-t-il « merdé » ou a-t-il cru qu’il me fallait une dose comme pour un CHEVAL ?…
Les heures passent et j’ai tout le loisir de voir que le travail du personnel en salle de Réveil est ADMIRABLE. Beaucoup d’hommes et de femmes qui ne comptent pas leur dévouement et leur temps. Je décèle même une personne qui, à mon avis, n’est pas loin du « burn-out ».
Je remarque le caractère de chacun-e par rapport à telle ou telle situation.
Á certains moments je vois que toutes et tous travaillent « comme des dingues à flux tendu » d’autant que les opérations ont commencé plus tard dans l’hôpital et que le personnel de la salle de réveil a accepté le « désentubage » des patients ce qui est fait normalement dans les salles d’opération…
Trop de monde ? Trop de compression du personnel et moins de moyens ?
Le fric, le fric toujours alors qu’un hôpital ne devrait JAMAIS être sous la pression budgétaire.
Un hôpital est un lieu qui devrait être au service des malades et tant pis pour le fric dépensé en plus…mais là, c’est un autre débat qui se « joue dans les têtes d’oeufs » des technocrates.
Une politique dégueulasse pratiquée notamment par le « Législateur » comme l’on dit.
La fin de journée
en salle de réveil
20h: je suis toujours en salle de Réveil.
Je ressens de légers fourmillements, mes jambes tremblent légèrement et l’on m’indique que si je peux « plier mes jambes je remonterai dans ma chambre de service ».
Je fais un effort gigantesque et j’arrive à légèrement plier les jambes.
J’ai fait exploser le record de temps passé en salle de Réveil et comme le personnel et moi avons gardé tout de même un peu d’humour…j’ai le droit à MON « diplôme du courage » et « pour le record de la levée de rachianesthésie la plus longue ».
Sûrement des documents remis aux enfants en général. Et comme « j’ai été très courageuse » j’accepte de « garder ma part féminine »…
Un bel humour présent entre le personnel et moi, même si je n’ai encore AUCUNE SENSATION au toucher sur mes pieds et mes jambes.
Je passe la nuit à somnoler en essayant de…pisser naturellement dans un « pistolet » car je veux absolument échapper à la sonde urinaire…(pardon pour ces détails mais dans ces moments là c’est ESSENTIEL).
6 heures du matin: je récupère mes fonctions naturelles, si je puis dire, et je retrouve enfin le « sensitif » lorsque l’on me touche les pieds, les jambes et le bassin.
J’aurai donc passé 17 heures « paralysé ».
Oui, l’anesthésiste a dû croire que j’étais un CHEVAL pour m’injecter une telle dose !…
Là où l’on te dit
que tu déranges…
le lendemain de l’opération
Au réveil, après une nuit « de merde » dans la douleur, une infirmière passe et me demande si je vais bien.
Je décris ma nuit et j’indique souffrir encore assez fortement.
Je ne me vois pas partir aujourd’hui.
« Vous devez vous lever même si vous avez mal ». J’indique avoir eu un malaise cardiaque après un lever suite à une autre opération en 2001. « Il faut vous lever quand même ».
J’exprime mon inquiétude et mon mécontentement, poliment malgré tout.
Peu de temps après l’infirmère revient en compagnie du chirurgien qui me parle sur un ton arrogant et assez minable je dois dire.
« Monsieur LAMIREAU, avec vous ON ne peut pas faire ce que l’ON veut !
De toute façon, vous allez vous lever et vous préparer pour partir à 11h. Et puis prenez les médicaments de l’ordonnance, cela ira mieux.
Même si vous avez mal vous ne resterez pas un jour de plus dans le service.Vous ne croyez tout de même pas que vous allez rester cinq jours comme autrefois pour cette opération.
Les temps ont changé, ne vous plaignez pas vous avez passé une nuit dans le service.
Vous partez de toute façon. Et puis J’ASSUME » !
Le mot à ne pas dire pour moi…je crois réentendre MACRON et toute sa clique !
Je réponds en disant que « je trouve scandaleux que les hôpitaux fonctionnent désormais au service de la finance et de la rentabilité sur le dos des patients.
Me dire « j’assume » me semble être une attitude puante même si je respecte la fonction et les capacités du chirurgien. »
Et oui, ce sont les fameuses « DMS » (Durées Moyennes de Service) imposées aux hopitaux par les décisions politiques à la sauce SARKOZY, HOLLANDE, MACRON via la Sécurité Sociale et les votes du Législateur.
Par exemple, un cancer du rein rapporte plus (financièrement parlant) que l’opération d’une hernie inguinale.
PROBLEME:un médecin n’est pas un gestionnaire et un hôpital ne devrait pas être « déficitaire ». Il doit produire des soins, un point c’est tout.
En outre il y a un « glissement des tâches » parmi le personnel; la polyvalence évite des remplacements coûteux par un personnel plus spécialisé.
Et MACRON voudrait « diminuer de 1,2 milliard d’euros la masse salariale (sic) des hôpitaux, soit l’équivalent de la suppression de 30000 infirmier-es…
C’est une « belle dégueulasserie » au détriment des malades et de la bonne santé morale et physique du personnel…d’où de plus en plus de suicides parmi le personnel médical.
Un autre souvenir
de l’hôpital
d’ANNECY ?
Ben oui FASTOCHE !
Novembre 2014:
Un samedi soir vers 22h15, douleur énorme dans la poitrine en respirant. J’avais une amie à cette époque. Les pompiers arrivent après son appel et me transportent aux urgences de l’hôpital d’ANNECY. Longue attente, passage d’une radio et rien de visible sur la radio même après mon étonnement et mon questionnement car « faire plus coûterait trop cher » me dit-on.
Ma douleur s’estompe avec de la morphine. L’hôpital nous laisse repartir à 6h15 du matin en nous indiquant que c’était « des douleurs intercostales »…
Nous rentrons par le train jusqu’à mon domicile, 20 kilomètres plus loin.
Le dimanche, à 14h30, à nouveau une douleur terrible dans le torse. Je perds connaissance.
Heureusement mon amie était là, elle m’a sauvé la vie.
Á mon réveil, dans la chambre, je vois une dizaine de personnes: des pompiers, des médecins du SAMU. Ils sont restés deux heures pour me « remettre à niveau » avant le transport vu que j’ai fait une décompensation cardiaque après un malaise respiratoire important.
J’arrive à nouveau aux urgences et là l’on me fait passer encore une radio ET un scanner.
Résultat: Pneumonie et pleurésie avec décollement de la plèvre plus des poches avec des foyers liquides à certains endroits.
Bref, pour des histoires de fric, cela a induit deux interventions avec pompiers et SAMU en 24h !
Donc…des dépenses supplémentaires…un comble.
Et puis bien sûr des souffrances HORRIBLES rajoutées me concernant.
Les choix financiers
dans les hôpitaux
sont-ils nouveaux ?
Non, les choix financiers dans les hôpitaux ne sont pas nouveaux.
En 2001, lorsque j’étais encore en LIMOUSIN, je me souviens bien avoir passé trois jours en médecine générale dans un hôpital parce que l’administration refusait de me faire certains examens car « trop coûteux ».
Les médecins ne croyaient pas à mes irradiations fortes reçues lors de mes investigations suivantes:
Or, au bout des recherches supplémentaires tout de même acceptées après mon insistance, j’ai dû être opéré d’un stade pré-cancéreux à l’oesophage/estomac à cause des irradiations sur mon corps entier ce qui a, de fait, rétréci l’oesophage, fait remonter l’estomac et envoyé ensuite trop d’acide dans l’oesophage.
Après l’opération, toujours pour « ne pas dépenser trop d’argent », l’on a refusé de me croire lorsque je disais « je sens une douleur monter dans mon mollet droit ».
« Oui mais ce n’est pas rouge, dur et chaud »… qu’ils disaient les toubibs !
Résultat:j’ai failli rentrer chez moi avec…une phlébite voire avec plus aux poumons !
Toujours pour des histoires de FRIC, pour une opération d’une tumeur grosse comme un oeuf sur un avant-bras, le codage administratif lié à l’opération indiquait 40 minutes et… pas assez d’argent au goût du médecin.
L’opération a duré au final 2h30 car la tumeur était « encapsulée » dans les nerfs de mon bras.
Après l’opération le chirurgien m’a dit: « si j’avais su, je vous aurais pris plus cher pour le dépassement d’honoraire. »
Merci m’sieur, cela me remonte le moral…
« Oui mais vous comprenez, j’ai passé trop de temps dans cette opération…et puis je vous ai sauvé votre main droite »
Merci m’sieur c’est trop de bonté…
CONCLUSION:
La description de mon petit vécu de patient n’est pas pour « faire pitié » mais pour bien montrer que l’entrée de la finance à l’hôpital conditionne les soins et l’attitude du personnel soignant.
Et là, c’est un véritable SCANDALE.
Les décisions politiques, les votes du Législateur et l’arrivée des intérêts financiers dans le milieu hospitalier détruisent le respect de l’intégrité des patients et ainsi que celui du personnel soignant qui est de plus en plus en souffrance lui aussi…
Ce fonctionnement de type capitaliste est une HONTE pour tout pays dit « Démocratique ».
Mais la Démocratie existe-t-elle encore ?…
« Vous avez quatre heures » comme dirait mon ancien prof de philo.
CARPE DIEM.
Thierry LAMIREAU
photos d’illustration: capture d’écran du film « L’hôpital à fleur de peau »
un documentaire de Cyril DENVERS et Pierre DUYCKAERTS
La période est à la description de scandales liés à la maltraitance et aux manques de moyens dans les hôpitaux et les EHPAD ?
Voyons ce qu’il s’est donc passé un certain mois de janvier 2015 à l’EHPAD de RUMILLY en Haute-Savoie…
Ce n’est pas beau du tout, c’est même l’exemple type de destruction de la dignité humaine et de maltraitance.
Et là, il ne faudrait pas se tromper d’objectif. Je n’en veux pas à la personne qui a déclenché cette catastrophe.
J’en veux surtout à l’institution et au « système » (comme l’on dit souvent) mis en place par l’Etat français et les ministères responsables de ces terribles destructions du citoyen…en silence.
Avertissement:
J’ai très longtemps hésité à diffuser ce témoignage mais je savais qu’un jour je le ferai…ne serait-ce qu’en mémoire de ma mère.
J’ai longuement réfléchi pour savoir si j’allais mettre le plus terrible c’est-à-dire une photo et des enregistrements.
Je pense que, malgré tout, je devais le faire…
Considérant ce qu’il se passe en ce moment dans tous les EHPAD de France, c’était le moment qu’il fallait choisir…
Une négligence
liée à
l’institution
Voici, à travers le PDF ci-dessous (fautes comprises !), l’histoire terriblement banale de ma pauvre maman.
Un PDF qui présente ma plainte auprès du procureur de la République de l’époque près du Tribunal de Grande Instance d’ANNECY.
Une « banalité » que l’on doit retrouver dans tant d’EHPAD…pour gagner quelques postes budgétaires sûrement.
Il est donc clair que mourir est un « classement sans suite »…
Sauf erreur de ma part, le procureur est désormais à Clermont-Ferrand et a été remplacé par une femme à ANNECY.
Pourquoi un classement
de l’affaire ?
Très simple. Des locaux neufs pour des malades « alzheimer » ont été construits à côté de l’EHPAD de RUMILLY vers cette période.
L’EHPAD dépend de la Direction de l’hôpital très récent créé à côté.
Il est donc évident qu’il aurait été du plus mauvais goût d’amener de telles « vagues » en direction d’une structure si « moderne »
En outre devinez qui se trouve dans le Conseil d’Administration de l’hôpital.
Donc, « classement sans suite ».
Le déroulement des événements
par les enregistrements
Pourquoi des enregistrements ? Dès que l’on me téléphone tout est enregistré automatiquement…Je garde ou pas ensuite.
Et puis , malgré la douleur, je me suis dit qu’il fallait enregistrer ce qui serait peut-être une preuve de souffrance de la part de ma pauvre maman.
J’avais donc posé mon téléphone, en fonction enregistrement, sur une table de la chambre.
J’ai bien évidemment tout archivé en me disant « au cas où ».
Réécouter ces moments sonores maintenant sont très durs pour moi mais mon témoignage et celui de ma mère où elle se bat contre la misère humaine avec ses derniers instants sont là pour parler de tous ces pauvres gens qui meurent en silence et dans l’oubli d’un EHPAD.
Les relations par téléphone
avec l’administration
1/ Appel du docteur PRATO (EHPAD RUMILLY) pour m’annoncer que ma mère a une jambe cassée:
2/ Appel d’une infirmière de l’EHPAD pour m’indiquer que ma mère part aux urgences de l’hôpital d’ANNECY:
3/ Appel du docteur PRATO pour m’annoncer le retour de ma mère des urgences d’ANNECY:
4/ J’appelle les urgences de l’hôpital d’ANNECY pour avoir leur avis:
5/ J’appelle les urgences de l’hôpital d’ANNECY pour prendre des renseignements sur le transport entre ANNECY et RUMILLY et sur les différences d’interprétation des médecins:
Les derniers instants
de conscience de ma mère
Les derniers souffles
d’une vie
en EHPAD
Voilà, c’est fini.
Regarder les photos de toute une vie de sa pauvre maman sur les murs d’une chambre d’EHPAD et « crier sa haine » à six heures du matin contre une institution qui a contribué à la mort de sa mère en une semaine…puis être obligé d’affronter deux « mafieux » des Pompes Funèbres à 9h15 qui veulent te refiler pour 900 euros de plus de prestation alors que tu arrives avec les photocopies du contrat déjà payé à l’avance par ma mère !…Tu les menaces d’aller chez les flics pour qu’ils arrêtent.
Là, tu maudis la terre entière !
En guise de conclusion
Que l’on ne se trompe pas.
Seul le mouvement #BalanceTonEHPAD m’a décidé à témoigner.
Sinon tout serait resté uniquement dans ma mémoire. Mon but n’est pas la vengeance.
Il est de « donner une parole » parmi tant d’autres sur ce qui est imposé par des institutions pour détruire la dignité humaine du citoyen, aussi bien chez les « résidents » que parmi le personnel des établissements qui doit aussi subir des horreurs…en silence là aussi.
Le plus terrible est de recevoir une telle violence dans un silence très destructeur car cela concerne la personne âgée comme la famille…mais là, pour la famille, j’ai dû gérer seul dans l’urgence.
En réfléchissant, je me dis que les deux mots à retenir dans ces histoires très particulières sont « destruction » et « silence ».
Enfin, ayons conscience qu’il y a pire: des êtres (dont des enfants) qui essayent de survivre dehors, d’autres qui quittent leur pays pour se noyer dans la mer, des civils tués ou blessés à vie par des bombardements, des populations entières décimées pour tant d’autres raisons afin de satisfaire quelques pourcentages de privilégiés….
J’ai même pensé à un moment que c’était une blague, m’étant contenté, en un premier temps, de lire uniquement le titre du mail.
Voilà comment peut débuter une lourde, longue et coûteuse procédure en justice afin d’essayer de se faire défendre par une avocate spécialisée de la place parisienne dans les plaintes « pour diffamation » et notamment contre des « mastodontes » tels que Vincent BOLLORE.
D’ailleurs je devrais dire des avocates car les deux premières sont passées magistrates…étrange promotion ou changement de cap. Ce qui est certain c’est que j’ai payé de grosses sommes aux deux premières avocates que je n’ai jamais vues !
J’ai donc été défendu par une troisième en Correctionnelle puis en Appel et en Cassation…puisque Vincent BOLLORE, ayant perdu contre moi, a fait appel du jugement et…a reperdu en Appel…et en Cassation !
Cependant, comme c’est au pénal que tout a été réalisé, le plaignant/perdant BOLLORE n’a pas été obligé de rembourser mes frais de justice.
Et c’est là que le problème est injuste et monstrueux.
Pour être éventuellement remboursé, il faudrait que je porte plainte contre…l’Etat français !
Vous m’avez compris ?…pas de tunes pour la suite, pas de défense !
Comme je n’ai pas bénéficié de l’aide juridictionnelle je l’ai eu dans le…
J’ai donc perdu 10 000 euros alors que j’ai gagné trois fois contre Vincent BOLLORE.
Très injuste et écœurant pour le moins.
BOLLORE a continué en Cassation et…il a PERDU une troisième fois contre moi !
A mes yeux, la justice n’est pas juste car elle a refusé de reconnaître mes frais, mais il est vrai, rappelons-le, que l’Etat ne l’oblige pas à ce fait.
L’Etat est donc coupable de non reconnaissance de souffrance personnelle (cela fait quatre ans que la procédure est commencée) et de dépenses du gagnant (donc moi) dans la situation où le plaignant (Vincent BOLLORE) perd dans sa plainte pour « diffamation ».
Je vous renvoie vers le lien suivant pour toute l’histoire :
J’avais donc fait également appel à la bonne volonté de chacun-e- sur le site spécialisé « Leetchi.com » : je pensais naïvement qu’une aide massive arriverait considérant l’affaire et le « monsieur d’en face ».
Je remercie vivement les donateurs-trices-.
Toute aide m’a beaucoup touché, quelle que soit la somme promise.
J’ai donc décidé, vu le peu de retour, d’arrêter cet appel à don le 31 décembre 2017.
Je dois souligner aussi que les journalistes de BASTAMAG ont refusé de me faire défendre conjointement avec l’aide de leur avocat.
En outre, je n’ai jamais eu de soutien de leur part (excepté deux RT sur Twitter de mon appel) que ce soit simplement demander de mes nouvelles pendant la procédure ou m’aider éventuellement financièrement. Pendant le procès, à peine un bonjour de loin de certains, rien d’autre.
J’ai, tout de même, soutenu et diffusé leur article au départ…et donc pris des risques puisqu’il y a eu un procès après !
Je suis donc bien écoeuré par cette mise à l’écart volontaire.
La différence
entre
les journalistes
et moi
(Photo: Thierry LAMIREAU
TGI de PARIS)
La différence est très simple: pour eux c’est l’occasion de médiatiser leur actionet pour moi c’est un stress continuel avec une perte sèche de 10 000 euros en procédure…
En procès contre BOLLORE
pour toute une vie
(Photo: TGI de PARIS
Thierry LAMIREAU)
Cette affaire me perturbe toujours bien évidemment et je pense que cela durera toute ma vie.
Mais le sieur Vincent BOLLORE n’en a rien à faire bien évidemment.
Pensez donc, 10 000 euros !
Et puis ce LAMIREAU Thierry, qui est-ce ?…un rien…comme dirait MACRON.
Conclusion :
(Photo: TGI de PARIS
Thierry LAMIREAU)
Moins tu approches la justice, mieux tu te portes.
Je n’en pense pas moins sur le sieur Vincent BOLLORE et ses « potes ».
J’ai aussi mon avis sur le fonctionnement de la Justice, des avocats, de l’Etat et de certains journalistes…car avez-vous vu des journalistes parler de mon appel à l’aide ?
En ce mercredi soir du trois mai 2017, nous aurions pu espérer, nous les simples citoyens, avoir droit un un débat digne d’un futur chef d’Etat de notre République avec une présentation claire de deux programmes politiques même si, personnellement, je n’espérais RIEN de POSITIF pour la suite surtout avec un parti d’extrême Droite et un ancien banquier à la tête d’un mouvement au service de la finance et des profits immédiats du CAC 40…
Mais bon, j’avais la naïveté de croire à un débat correct digne d’une future fonction Présidentielle.
NIET, QUE DALLE, RIEN, NOTHING !
A tel point que je me suis demandé si je ne m’étais pas trompé de chaîne pour me retrouver dans une émission du sieur HANOUNA tellement la vulgarité était de mise…
En gros, ce fut l’histoire d’un dobermann contre un petit roquet dans une cour de récréation.
Donc mémère facho a attaqué dur dur d’entrée. L’on aurait pu croire à une manoeuvre de départ pour enclencher un programme à la sauce « nous les français on est chez nous ».
Mais non, rien de cela. Tatie LE PEN a montré son incompétence sur la majorité des dossiers abordés.
La dame avait donc des dossiers mais…sur la table…et pas dans le cerveau ! Il était donc facile à MACRON de montrer, à travers les cris et les injures générales, que la dame d’en face était NULLE.
Incompétence modelée à la mode facho qui agresse, nie tout et dit tout et son contraire.
Comme dirait l’autre: « chassez le naturel, les fachos reviennent au galop ! »
Face à une telle nullité, une telle agressivité, pépère MACRON s’est trouvé au début complètement désarçonné. L’ennui c’est que ce cher banquier a voulu faire la morale à l’autre d’en face sur un ton très hautain et méprisant et tout en voulant ABSOLUMENT répondre aux provocations de la mère LE PEN.
Grosse ERREUR ! C’est là que nous avons eu la confirmation que MACRON n’était pas assez préparé à ce genre de provocations cependant assez classiques chez les représentants du Front National.
Il faut noter aussi que si MACRON maitrisait certains sujets il n’avait pas assez travaillé et réfléchi sur d’autres…ce qui a permis à la mère LE PEN de « l’écraser littéralement comme une grosse merde » (si vous me passez l’expression) à ces moments là.
Une émission faite d’invectives, de violence entretenue par les deux candidats. Car ne nous y trompons pas, le sieur MACRON n’accepte pas qu’on lui dise qu’il a tort. Et de ce fait, sa violence retenue ressort réellement.
Il faudrait noter aussi le rôle pratiquement inexistant voire coupable des deux journalistes tétanisés par un tel « spectacle misérable ». Ces journalistes n’ont pas fait honneur à leur profession. Même en tant que « modérateurs » ils auraient dû stopper ce pugilat en mettant tout arrêt à cette violence verbale constante afin de tendre vers un vrai débat digne de ce dernier moment avant l’accès à la « fonction Présidentielle ».
MACRON n’aurait pas dû se laisser embarquer dans une provocation très prévisible pour qui sait fouiller dans les manoeuvres habituelles du Front National et aurait dû continuer à dérouler son raisonnement.
De fait, des sujets essentiels n’ont pas été abordés par les deux candidats:
Rien sur l’écologie, la pauvreté, les services publics, la santé, la culture, l’évasion fiscale, la paix, les migrants, la situation géostratégique et la politique mondiale.
Les deux « guignols » du plateau ont donc continué leur « jeu de nuls à deux » ou le citoyen que je suis s’est senti complètement oublié. J’en avais presque la nausée et à 61 ans cela ne m’était JAMAIS arrivé…
Ces deux candidats ont oublié de réellement s’adresser à TOUS les électeurs.
PROBLEME: le sieur MACRON nous sort sur les médias ce jeudi 4 mai 2017:
« Je suis désolé que le débat soit allé vers ces bas-fonds mais que voulez-vous les Français ont mis Madame LE PEN au deuxième tour » ! Oh la belle arnaque, oh le beau MENSONGE.
En réalité, depuis des mois voire depuis des années les politiques ont TOUT FAIT pour faire progresser les pourcentages du Front National de part leurs nombreuses ERREURS et TRAHISONS quant à leurs promesses de départ. Quant aux médias…ils se sont transformés en « jardiniers du FN » en invitant sans arrêt les cadres de ce Parti et en DRAMATISANT sans cesse des faits qui auraient dû rester dans le domaine du « fait divers »…
Les gens qui souffrent, délaissés par les Partis traditionnels sont donc allés vers le FN…juste « pour voir, pour changer, pour essayer et par ras-le-bol »…par IGNORANCE aussi car n’oublions pas l’essentiel…
Le Front National est un parti d’extrême Droite fonctionnant avec des bases et des individus FASCISTES.
Cet élément MAJEUR a été VOLONTAIREMENT oublié par la majorité des politiques et des médias.
Pour rappel, le Front National a progressé parce que cela « arrangeait » certains Présidents de la République depuis MITTERRAND. A cette époque il était si facile d’interdire le FN. Mais depuis, des millions de citoyens votent pour ce Parti fasciste et là il est un peu tard pour l’interdire voire DANGEREUX car ce serait la porte ouverte à une généralisation de manifestations délétères dans tout le pays…et pourtant des Lois existent pour encore interdire de tels Partis.
Il est facile (terrible) d’imaginer que tout cela a été VOULU par une certaine CASTE…celle de la puissance de l’argent, celle des banquiers qui utilisent leurs marionnettes politiques en les « arrosant » régulièrement de TUNES.
La République est très probablement envahie par un fonctionnement généralisé de type MAFIEUX.
On peut même bien sûr rajouter les actions de certaines « officines » pour déstabiliser le pays tels la CIA ou les entreprises similaires du côté Russe.
Il est clair pour moi que tout « fonctionne » ainsi sur le FRIC et ses mouvements occultes, les MAFIAS diverses, les banques et leurs succursales cachées dans des Paradis Fiscaux.
Oui, malheureusement, médias et politiques fonctionnent, à un niveau national et international, dans une mouvance assez obscure pour ne pas utiliser d’autres mots…
Les pauvres simples citoyens sont les « objets » de quelques autres beaucoup plus puissants…et je sais de quoi je parle puisque je suis embarqué depuis quatre ans dans un procès contre Vincent BOLLORE qui avait porté plainte pour « diffamation » après la diffusion d’un article de BASTAMAG sur l’accaparement des terres dans le monde. J’ai gagné deux fois contre BOLLORE mais…j’ai perdu 9000 euros non pris en charge par la partie adverse perdante.
Les syndicats, même s’ils peuvent être parfois nécessaires dans les luttes sociales, deviennent de plus en plus les « supposotoires » des représentants du MEDEF et du CAC 40.
Il est clair que ce débat/pugilat a été PIRE que celui de TRUMP contre CLINTON.
L’image donnée au Monde par les journalistes « inexistants » et par LE PEN et MACRON est DRAMATIQUE et TERRIFIANTE !…et ce sont les citoyens qui vont en faire les frais.
Personnellement je voterai « nul » mais je considère que ma phrase perso n’est pas nulle…
Elle peut même être utilisée dans beaucoup de sujets et de domaines…malheureusement.
A mon avis, le « niveau » de ce « débat » reflète celui des médias et des Politiques: la médiocrité et la violence.
Les médias veulent du « visuel », les politiques acceptent de se faire inviter dans un maximum d’émissions comme celles dites de « divertissement ». Le mélange des genres est complet, la confusion est constante.
Les médias et les Politiques sont donc COUPABLES et RESPONSABLES de la progression des pourcentages du Front National en France …comme dans d’autres pays d’ailleurs. Et ce n’est pas pour rien si l’autre POUTINE alimente financièrement certains Partis politiques et médias pour amener le fascisme en Europe afin de…détruire l’Europe. CQFD.
La culpabilisation constante du citoyen pour « bien voter » (dans notre pays MACRON) est absolument DEGUEULASSE et ANTI-DEMOCRATIQUE. C’est même une technique MAFIEUSE de part son principe.
Nous sommes un pays dans lequel existe actuellement un régime dit « de la Vè République » avec un vote National à deux tours.
Le code électoral permet de voter pour un candidat OU de voter « blanc » OU de voter « nul » OU de s’abstenir.
IL ne donne pas de valeur en « vote exprimé » aux votes « blancs ». Les Politiques auraient certainement, dans ce cas là, un vote « blanc » qui leur interdirait d’être élu…Les choses sont donc claires.
Pour conclure, cette Présidentielle 2017 est la pire des ARNAQUES depuis le début de la Vè République; c’est aussi la pire par sa VIOLENCE et sa MEDIOCRITE.
Les années à venir seront certainement encore plus TERRIBLES dans notre pays; l’état du Monde sera aussi de plus en plus explosif…triste avenir pour la jeune génération…
Les décideurs, le pouvoir de l’argent, les mafias diverses en sont les SEULS RESPONSABLES.
Je suis donc encore plus un citoyen révolté et résistant (même à 61 ans) mais pas insoumis…
Je me suis demandé comment vous faire percevoir ce que j’ai ressenti en regardant les voeux du Président HOLLANDE. Avec cette vidéo, je pense avoir atteint mon objectif…
Opposer le texte de HOLLANDE à un commentaire en voix off et en musique, insérer des images pour contrer ce qui est dit, rester dans une certaine réalité même si elle est TERRIBLE, garder un peu d’humour…malgré tout.
Je voulais vous signaler que les images les plus HORRIBLES sont le résultat d’armes à l’uranium « appauvri » utilisées dans TOUS les conflits par, entre autres, les pays dits « de la coalition »…dont la France…
N’oublions pas que les SALOPERIES, effectuées notamment sur les civils, sont l’oeuvre (si l’on peut dire) de TOUS les belligérants...