RUTHENIUM 106 SUR L’EUROPE: UNE OMERTA BIEN ORCHESTREE ? (Thierry LAMIREAU / lesoufflecestmavie.unblog.fr)
RUTHENIUM 106
sur l’EUROPE :
Une OMERTA
bien orchestrée ?
(Photo: capture d’écran de la vidéo du sujet ci-dessous)
Ce texte reflète une investigation personnelle très complexe et difficile.
Plus j’ai trouvé des informations plus les ennuis divers sont apparus.
C’est une sorte d’aventure, une « histoire à tiroirs ».
J’ose dire que c’est une histoire « de poupées russes » ?
Plus l’on cherche, plus l’on découvre.
Et ce que l’on trouve n’est pas beau du tout…
Chacun souhaite laisser sa trace, son influence.
Nous rencontrons des Etats, de l’est et de l’ouest, des institutions aux actions et aux intérêts souvent contradictoires.
C’est une GUERRE, économique, politique, culturelle, sociale.
Les enjeux sont primordiaux car ils induisent des coûts, financiers, humains.
Tout n’est que manipulation du camp adverse.
Bref, c’est assez horrible à découvrir en tant que citoyen.
Mon document est une sorte de « trace de vie » car je ne suis pas un professionnel de l’écriture ni un journaliste d’investigation.
Ce texte est parfois ardu mais souhaite malgré tout rester à la portée de tous.
Laissez-vous donc porter par ces découvertes…
Une évidence :
Le potentiel militaire de l’Ukraine
est sous-estimé
L’Ukraine a renforcé son armée en profitant de l’aide américaine et a reçu des armes létales très « modernes » de plusieurs autres pays.
Elle a même appris à fabriquer des armes similaires grâce aux technologies étrangères a dit Monsieur KHISSAMOV, rédacteur en chef adjoint du site ukrainien Strana.ua https://strana.ua/, et qui a longtemps présidé l’ONG ukrainienne de moyennes entreprises Club des Réformateurs.
Et ce ne sont pas des menaces en l’air comme le montre notamment la déclaration faite le 16 octobre 2017 par l’un des représentants républicains au Congrès américain, Will HURD.
Selon lui, « le Congrès a voté une aide militaire à Israël et à l’Ukraine qui a prévu 50 millions de dollars pour les armes létales ».
Par ailleurs les États-Unis, qui ont débloqué 600 millions de dollars (512,7 millions d’euros) en trois ans pour leur programme d’assistance militaire à l’Ukraine, continuent à former les militaires de ce pays…
Selon les données officielles, Washington ne fournit pas d’armes offensives à Kiev.
Les Etats-Unis ont donc livré des armes létales à l’Ukraine en violation de leur propre embargo !
Selon le site SOUTH FRONT, l’Ukraine a signé un accord avec la société AIRTRONIC USA sur l’achat de 100 lance-roquettes antichar PSRL-1 pour 554.573 dollars.
(Photo: document pour la signature de 100 lance-roquettes antichar PSRL-1)
Les Etats-Unis ont donc fourni en 2014 des armes à « micro fission » (voir plus loin dans mon article) lors du début de la guerre du DONBASS...
RUTHENIUM 106 sur L’Europe ?
FASTOCHE !
« C ‘est l’incendie du dépôt d’armement ukrainien de KALINOVKA le soir du 26 septembre 2017″, me dit un correspondant un peu excédé qui me donne un lien de vidéo.
Une vidéo mise en ligne par un certain Evgen ZAGORODNIY:
https://www.youtube.com/watch?v=2Y5W5iqUL58&feature=youtu.be
Tel que rapporté par l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) le 9 novembre 2017, « un nuage de pollution radioactive a survolé l’Europe ces dernières semaines ».
« Il est apparu très probablement fin septembre ».
L’IRSN a mesuré des teneurs élevées en ruthénium 106, un nucléide radioactif qui ne se produit pas naturellement ou très peu à l’état natif sous forme de métal nommé ruthénium natif contenant souvent de l’iridium.
L’IRSN estime que « la quantité de ruthénium 106 libérée était importante, entre 100 et 300 teraBecquerels ».
Selon l’IRSN, « il n’y a eu aucun impact sur la santé humaine ou dans l’environnement en Europe »…comme d’hab’ quoi !
L’annonce n’est que la confirmation des premiers avertissements des autorités allemandes, italiennes et autrichiennes publiées le 29 septembre 2017.
L’Office Fédéral Allemand de protection contre les radiations (BfS) a d’ailleurs publié une déclaration plus complète le 3 octobre 2017.
L’IRSN français avait également publié une première étude à l’époque. Son annonce du 9 novembre 2017 a été le résultat d’une enquête approfondie qui a recueilli des données de plus de 20 pays européens avant de publier ses données.
Le BfS allemand a désigné Southern Ural comme une source probable d’émissions de rayonnement. La société nucléaire russe et l’organisme de réglementation Rosatom ont rejeté cette supposition.
L’incertitude qui suit alimente diverses théories sur les forums Internet et les réseaux sociaux.
L’expert en énergie ukrainien Mikhaylo Honchar va jusqu’à prétendre que la source du Ruthenium 106 était un essai raté d’une arme nucléaire non conventionnelle.
Il cite « l’une de ses sources en Russie » comme affirmant « qu’un test a mal tourné soit sur l’un des sites nucléaires ou sur des bases militaires ».
Mikhaylo Gonchar estime que le test portait sur un « générateur radioactif à vie courte », c’est-à-dire un nouveau type d’arme non conventionnelle. »
Il ne peut pas être identifié comme une arme de destruction massive, contrairement aux têtes nucléaires classiques ».
Une telle hypothèse ne peut être confirmée ni partagée avec d’autres experts et reste très fortement improbable et participe évidemment à la désinformation générale car plus il y aura d’informations plus la réalité sera « noyée » dans la masse des documents parus.
Quelle que soit la source du nuage de Ruthenium-106, l’IRSN français a déclaré clairement que « si un accident de cette ampleur s’était produit en France, il aurait fallu évacuer ou abriter des personnes dans un rayon de quelques kilomètres autour du site de l’accident » . Or il n’y a eu aucun signe d’évacuation de groupes de population ni en Russie ni au Kazakhstan.
« Les conséquences d’un accident de cette ampleur en France auraient nécessité localement de mettre en œuvre des mesures de protection des populations sur un rayon de l’ordre de quelques kilomètres autour du lieu de rejet.
Dans la logique des normes européennes, le niveau de radioactivité produit par cet incident aurait produit un dépassement des seuils maximaux de contamination des denrées alimentaires sur des distances de l’ordre de quelques dizaines de kilomètres autour du point de rejet » dit encore l’IRSN.
La CRIIRAD reste prudente et indique que:
« Le rejet de cet incident est 375 000 fois supérieure au rejet annuel maximal autorisé de la centrale nucléaire de Cruas (Ardèche) ».
La CRIIRAD estime « qu’une fois le produit retombé sur le sol sur le couvert végétal, il peut induire une contamination durable ».
http://balises.criirad.org/pdf/CP_CRIIRAD_171005_Ru106_Europe.pdf
http://balises.criirad.org/pdf/cp_criirad_17-11-10_radioactivite_%20ru106.pdf
Revenir à l’incendie et aux explosions
du dépôt d’armement Ukrainien
de KALINOVKA
le soir du 26 septembre 2017
(Photo tirée de l’article original du journaliste Yourii BUTUSOV
Explosions sur le site d’armement ukrainien de KALINOVKA)
A travers toute cette littérature, il existe un fait:
Le soir du 26 septembre 2017, le dépôt d’armement Ukrainien de KALINOVKA a été envahi par un incendie MAJEUR et par de très nombreuses et très fortes explosions.
Revoyons la vidéo:
https://www.youtube.com/watch?v=2Y5W5iqUL58&feature=youtu.be
Et si l’on cherche (beaucoup !) sur internet l’on trouve un article de presse ukrainien pour obtenir des informations supplémentaires (non données par les organismes officiels européens et par la presse) qui vont dans le sens d’une argumentation en faveur du ruthénium 106 provenant du site de KALINOVKA:
https://dt.ua/internal/katastrofa-v-kalinivci-vibuh-yakogo-chekali-255575_.html
Que lit-on dans l’article écrit
par le journaliste ukrainien
Yurii BUTUSOV ?
(Photo: le journaliste ukrainien Yourii BUTUSOV)
Nota:
J’ai arrangé la traduction automatique pour rester dans un français plus lisible. Ce n’est donc pas une traduction professionnelle.
J’ai supprimé des passages trop éloignés de notre sujet.
« La catastrophe de Kalinovka:
une explosion attendue »
« Le 27 septembre à 22h00, au 48e Arsenal Arsenal dans la ville de Kalinovka, dans la région de Vinnytsia, des bombes ont détruit des dizaines de milliers de tonnes d’obus dans l’un des plus importants dépôts de munitions d’Ukraine.
Cette catastrophe est devenue la troisième explosion de munitions en 2017 et la sixième tentative de destruction des dépôts de munitions au cours des trois dernières années de la guerre.
La valeur du 48e arsenal
et l’évaluation des pertes
Le 48e arsenal des forces armées est situé dans une zone densément peuplée de la ville de KALINOVKA
KALINOVKA, située à 30 km de VINNITSA, est entourée de villages et de maisons privées de tous les côtés. L’Arsenal faisait partie des trois plus grandes installations de stockage de munitions en Ukraine, avec Balaklia à KHARKIV et Tsvetokha dans les régions de KHMELNYTSKY.
Il faut se souvenir de BALAKLIA qui a été presque complètement détruite en mars 2017.
https://www.videoman.gr/fr/107552
Selon la déclaration du ministre de la Défense Stepan Poltorak , environ 83 000 tonnes de munitions ont été stockées à KALINOVKA.
Selon les données officielles du ministère de la Défense, environ 30% des munitions ont été détruites. Cependant, le 29 septembre 2017, le ministère de la Défense a fourni des informations à l’administration présidentielle sur la destruction de plus d’obus.
Actuellement, il est déclaré une destruction de 32 mille tonnes d’obus dont 21 mille tonnes au format 125 mm.
Le Secrétaire du Comité Suprême à la Sécurité et à la défense, John VINNIK, membre de la Commission d’Etat sur le Contrôle des Exportations d’Armements, citant ses sources au sein du ministère de la Défense, a déclaré que les pertes réelles de la catastrophe à KALINOVKA sont de 40 tonnes de munitions.
Les pertes sont très importantes
A titre de comparaison: pendant quatre années de la guerre (2014-2017) l’arsenal de KALINOVKA a livré environ 24 000 tonnes de munitions au front et à l’entraînement au combat de l’armée. C’est-à-dire que, même avec des estimations minimales, les dommages causés par l’explosion dépassent l’approvisionnement total en obus et en mines de l’arsenal pendant les quatre années de la guerre.
Ceci est un chiffre énorme !
La désinformation
du ministère de la Défense
Le ministère de la Défense a indiqué que « rien n’a été grave puisque ces obus devaient être détruits et ne constituaient pas une valeur réelle ».
Cette information est complètement fausse et discrédite l’État.
Il est honteux que des personnalités de l’État donnent de telles affirmations trompeuses à la population parce que l’adversaire Russe est bien conscient de la situation sur les sites de stockage ouverts et dispose d’informations sur la liste des produits stockés.
Les munitions ont, au contraire, une valeur énorme car il n’y a pas de nouveaux obus en Ukraine. En raison du coût élevé des munitions il n’y a presque pas d’achats à l’étranger.
En Ukraine, la pratique fréquente est la réparation et l’élimination des vieux obus et des mines.
L’Ukraine réapprovisionne le budget de l’État avec la vente d’obus inertes destinés à l’exportation – sous contrat officiel contrôlé par les alliés occidentaux – ce qui génère des recettes importantes pour le budget de l’État et notamment destiné au ministère de la Défense.
Selon des sources DT.UA, les pertes dans l’entrepôt de KALINOVKA sont des obus de chars de 125 mm, 122 mm, des roquettes MLRS BM-21 « Grad », 82 mines et des mortiers de 120 mm. Des centaines de milliers d’obus de ce type ont été détruits – les plus demandés dans l’armée.
Il n’y avait pas de plans pour détruire ces obus, ils étaient soit prêts à l’emploi, soit sujets à réparation.
Les réserves de goosehead de 152 mm et les tubes des fusées de 220 mm MBZ-27 « Hurricane » n’ont pas explosé et ont été épargnés.
Il n’y a pas que les obus qui sont de grande valeur, il y a aussi leurs composants qui ont été traités dans un atelier de réparation sur le territoire de la base. De plus, cette valeur n’est pas seulement militaire, elle est aussi commerciale.
Un kilogramme d’armes explosives TNT sur le marché mondial coûte environ 20 $.
Un kilogramme d’hexogène (explosif puissant) – environ 40 dollars.
Un kilogramme d’octogène (explosif puissant) – environ 140-150 dollars.
Son coût comprend à la fois les capsules (même anciennes qui peuvent être réparées) et les enveloppes d’obus.
Selon I.Vinnik, les pertes s »élèvent à 800 millions de dollars.
Selon des sources du DT.UA, le coût de mille tonnes de vieilles munitions militaires soviétiques de 3 à 4 catégories nécessitant des réparations et rechargements, sur le marché mondial des armements, est estimé entre 15 et 30 millions de dollars.
L’Ukraine a même exporté de telles munitions pendant la guerre pour reconstituer le budget militaire. Si nous prenons leur coût au cours le plus bas, les 27 000 tonnes déclarées par le ministère de la Défense représentent au moins 400 millions de dollars.
Des estimations non officielles des pertes – 40 000 tonnes – signifient que le coût des munitions perdues (sans tenir compte de la destruction des infrastructures de la base militaire et des territoires adjacents) est d’au moins 600 millions de dollars.
Ceci représente plus de 25% du budget total du ministère de la Défense pour l’année 2017.
Même en vertu de l’interdiction d’utiliser des armes lourdes sur le front, ces munitions pouvaient fournir toutes les demandes d’entraînement des forces armées pendant plusieurs années. Après tout, le tir des obus d’artillerie dans les forces armées a fixé des limites très strictes. Désormais, après cette perte importante d’un grand nombre d’obus, les normes de formation au combat seront sans doute encore plus réduites.
Dans de telles circonstances, l’inattention au problème du stockage des munitions n’est pas une simple négligence, elle porte atteinte à la capacité de défense du pays, sapant l’élément clé du potentiel de l’armée pendant la guerre.
Après la catastrophe de BALAKLIYA, une deuxième catastrophe à KALINOVKA est un problème très sérieux.
Nous avons subi une perte irréparable – et pas seulement parce que l’ennemi est rusé et malin.
Nul ne peut se protéger contre les sabotages et attentats.
Pourquoi l’arsenal
de Kalinovka
a-t-il explosé ?
(Photo: tirée de l’article original du journaliste Yourii BUTUSOV)
Les secours après les explosions sur le site d’armement de KALINOVKA)
Après la catastrophe de BALAKLIYA il était évident que le prochain coup pouvait arriver à KALINOVKA.
Après tout, la plupart des sites de stockage, comme à BALAKLIYA sont très vulnérables.
Après la destruction de l’arsenal à BALAKLIYA, KALINOVKA est resté le plus grand arsenal de stockage.
Tous les experts militaires ont compris que cela pourrait devenir une cible attrayante pour le sabotage russe.
Les inspections ont commencé sur l’arsenal et la gravité des problèmes a été révélée avant l’explosion.
DT.UA a pu obtenir des données sur l’état du 48e arsenal à KALINOVKA.
D’avril à juin 2017, quatre inspections de l’arsenal ont été organisées par les Commissions d’Administration Présidentielle, l’Inspection Principale du ministère de la Défense et le Département Central de l’Artillerie et des missiles.
L’état de l’Arsenal décrit
par les documents officiels
La superficie totale du 48e arsenal est d’environ 1 200 hectares.
Les obus étaient situés sur le territoire du périmètre protégé de 10 km 450.
L’Arsenal se trouve dans une zone densément peuplée et une surveillance si possible efficace est mise en place pour visualiser le mouvement des personnes autour de la base.
La pénétration dans le périmètre est impossible. Cependant, le «périmètre» est un nom plutôt conventionnel.
Selon les résultats officiels, même les conditions de sécurité minimales de l’arsenal n’étaient pas garanties.
Voici une liste des principaux inconvénients, qui montre clairement à quel point l’état de la sécurité et de la protection de l’arsenal a été miné par un manque de vérifications:
1. Des munitions ont été placées dans 174 installations de stockage. Parmi celles-ci, 141 lieux de stockage ont nécessité l’achèvement des travaux de recouvrement et de finition. Autrement dit, la plupart des munitions étaient stockées sur des plates-formes ouvertes au sol, mal protégées contre la détonation et les munitions de déversement. La menace spéciale était l’entreposage de munitions sur des sites de stockage ouverts, 59 de ces sites n’avaient aucune protection du tout. C’est d’ailleurs dans ces lieux que les bombardements ont commencé !
2. La Commission d’Administration Présidentielle a noté la vulnérabilité particulière des six sites de stockage ouverts qui étaient clairement visibles et pouvaient facilement être tirés et détruits de l’extérieur du périmètre.
3. La plus grande menace pour la commission a été marquée par les conditions de stockage des missiles BM-21 « Grady » de 122 mm avec des moteurs de marche qui, en cas d’explosion, peuvent induire une très grande pollution et provoquer des explosions et des dommages aux alentours. Les dépôts couverts ont été utilisés de manière irrationnelle pour stocker des munitions moins menaçantes que le «Grady». Des lieux vides ont été trouvés tandis que les missiles «Grad» étaient situés sur des plates-formes ouvertes.
4. La plus grande partie de l’arsenal est située dans les bois. La zone technique et la zone de contrôle de 50 mètres, adjacente au périmètre de la garde sont recouvertes d’arbustes, d’arbres et de forêt boréale, pratiquement non visibles et contrôlées.
En conséquence, il a été facile de s’approcher discrètement du périmètre, de marcher à travers, en utilisant comme protection les arbres et les arbustes.
5. La clôture extérieure était facilement accessible de n’importe quel endroit. Environ 5 km du « périmètre » n’étaient pas clôturés, et le reste de l’espace avait une clôture assez conventionnelle qui a été plusieurs fois détruite par des animaux sauvages vivant dans la forêt autour de la base. D’ailleurs sur la base, il était souvent possible de rencontrer un sanglier ou un wapiti.
6. Pas de systèmes de vidéosurveillance et de détection précoce des situations d’urgence…
7. Pas d’équipement d’alarme le long du périmètre de sécurité…
8. Il n’y avait aucun système d’alarme incendie sur les 185 lieux de stockage de la base.
9. La tour d’observation était dans un état totalement inadapté et était d’ailleurs fermée…. Ce n’était certainement pas le moment d’installer une nouvelle tour puisque l’on a seulement apporté et mis en place la fondation.
10. 80% des stockages qui ont gardé les obus d’artillerie et des chars étaient pourris et « ont perdu une résistance mécanique » à cause d’un emplacement à l’extérieur, donc pas protégés contre les effets de la neige et de la pluie.
11. Dans l’une des zones de stockage ouvertes, les boîtiers d’éclairage et de lutte contre l’incendie sont placés dans des emballages en bois standard ce qui est strictement interdit par les normes de sécurité.
Le ministère de la Défense et l’état-major général affirment maintenant que le principal problème de sécurité du 48e arsenal est le manque de financement.
C’est totalement FAUX. Le colonel BATYUK, chef du 48e arsenal, dans ses réponses aux bilans des déficiences, a qualifié le manque de personnel comme étant le problème clé de l’absence de nombreuses mesures de sécurité et de violations des règles de stockage.
Ainsi, le projet de démantèlement de tous les lieux de stockage et de tous les sites a été calculé à 384 millions d’UAH. Et en 2017, après la catastrophe de BALAKLEYA, la base n’a reçu que 25 millions. Mais la plus grande partie du travail de construction de simples couvertures sur le terrain pouvait être réalisée dans les quatre années de la guerre avec l’aide du matériel d’ingénierie et du personnel.
Mais ni l’équipement d’ingénierie ni le personnel nécessaire sur l’arsenal n’a été mis en place.
Le facteur humain
Dans le plus grand arsenal avec un périmètre de garde de 10,5 km, il y avait comme personnel:
1. Pour la protection et l’exécution du service interne, 63 personnes ont été impliquées, dont 40 militaires et 23 membres de la protection paramilitaire.
2. Pour le maintien de l’activité industrielle pour la réparation des munitions – 3 militaires et 33 officiers des forces armées.
3. Pour les activités opérationnelles et d’entreposage – 25 militaires.
4. Protection contre l’incendie – 8 militaires.
Ce nombre de personnes est totalement insuffisant pour le maintien de la vie normale et la sécurité de l’arsenal.
Comment 63 personnes peuvent-elles assurer le service de protection du périmètre extérieur et des patrouilles et gardes internes ? C’est impossible.
Au début des explosions dans la base, selon le procureur militaire en chef A.MATIOSA, il n’y avait uniquement que 17 employés gardes paramilitaires – des personnes âgées de plus de 50 ans. Ceux-ci, n’ayant aucun moyen technique d’observation, devaient assurer la sécurité du périmètre de 10,5 kilomètres et du territoire de 1200 hectares.
Bien sûr, le contrôle et la protection de ces forces sont devenus depuis longtemps une parodie de service efficace.
Une directive qui n’a pas permis
de compléter
la protection de l’arsenal
ou le comique de situation
Après l’explosion de l’arsenal de BALAKLIYA, l’état-major général a ordonné un déplacement des arsenaux militaires de munitions №2045 qui réglait l’ordre des obus, des roquettes et des mines pour éviter les explosions en cas de détonation d’un grand nombre de munitions dans un endroit et d’éliminer une aggravation des explosions.
Mais rien n’a été fait réellement !
Après la catastrophe à BALAKLIYA, afin d’éviter des attaques du sol ou de l’air dans l’arsenal plusieurs installations ZU-23 ont été installées. Comme elles n’avaient pas de guidage radar, leur valeur pour contrer les cibles aériennes la nuit était nulle. Elles ne pouvaient que repousser une attaque par sabotage depuis le sol. Mais la valeur de combat a été encore abaissée puis qu’aucun commandant de pelotons d’artillerie n’a pu être nommé dans la base.
Les principaux travaux de sécurité sur le 48e arsenal devaient être effectués par 25 experts opérationnels et d’entreposage. Mais en réalité il n’y a eu que 12 personnes !
Sans personnel qualifié et suffisant cela a conduit à une généralisation des explosions dans tous les lieux de stockage de munitions.
Diversion ou négligence ?
Le Procureur militaire en chef MATIOS estime qu’il n’y a eu aucun signe de sabotage, la raison en est la négligence. Mais à mon avis, une version du sabotage est plus que probable. Et elle ne peut pas être rejetée aussi rapidement.
Ce qui est certain c’est que les conditions préalables à la catastrophe ont été créées non pas par l’ennemi mais par le commandement militaire lui-même qui n’a pas mis en place des conditions de sécurité élémentaires ! Si l’état-major général avait exécuté ses propres instructions, les conséquences des explosions auraient été moins importantes.
Dans un proche avenir, les dirigeants du pays prévoient d’examiner la question de la sécurité des arsenaux et des dépôts de munitions lors d’une réunion spéciale du Conseil de Sécurité et de Défense Nationales.
L’Ukraine n’a que 12 arsenaux identiques à BALAKLIYA et KALINOVKA et leur préservation est l’une des questions clés pour la sécurité du pays » .
En bref,
d’après Yurii BUTUSOV:
Le journaliste a montré
ce que certains voulaient cacher.
C’est ce « qu’ils » ont masqué
avec des explosions à KALINOVKA
Dans les entrepôts explosés de KALINOVKA, même les exigences de sécurité minimales n’ont pas été respectées.
Cela a été rapporté par ZN.ua.
59 sites de stockage de munitions n’étaient pas protégés non seulement par l’air mais aussi par des digues qui protégeraient les munitions de l’expansion et de la destruction d’autres zones de stockage. Six de ces sites étaient situés à proximité du périmètre de la base, ce qui a pu permettre de les détruire même en tirant de l’extérieur du périmètre.
Certains des projectiles des systèmes de roquettes Grad ont été entreposés dans des zones ouvertes tandis que des entrepôts « en arc » ou des terrains immergés ont été utilisés pour entreposer des obus moins dangereux.
73 zones ouvertes n’avaient pas de toit pour se protéger des drones et la majeure partie du territoire de l’arsenal était envahie de forêts et d’arbustes, ce qui rendait impossible de se protéger de l’ennemi en cas de pénétration.
La clôture extérieure était également en mauvais état, partiellement absente, ainsi que le système de surveillance vidéo, d’alarme et d’alarme incendie. En outre la tour d’observation était hors d’usage.
80% des obus étaient pourris et ne pouvaient pas protéger les munitions, et certains obus incendiaires étaient dans des boîtes en bois à l’air libre, ce qui est strictement interdit par la législation.
CONCLUSION:
Le site a été attaqué et détruit volontairement d’après le journaliste Yurii BUTUSOV…mais par qui ?…Par la Russie ?
En tout cas, dans certaines vidéos d’infos il est dit que ces attaques ont été réalisées par des drones.
Je rejoindrais, en effet, ces commentaires. Considérant les armes et missiles stockés sur place, anciens ou nouveaux, il aurait été très risqué d’attaquer en étant à terre.
Il est donc plus facile et prudent d’attaquer par les airs…
Sur la vidéo pourquoi voit-on
un champignon
avec une colonne inférieure montante
et un flash visuel ?
Nous visualisons une déflagration nucléaire telle une bombe miniature atomique…
https://www.youtube.com/watch?v=D-G8Xk1LBfA&feature=youtu.be
N’oublions pas qu’une grande partie de ces armes a été fournie par les États-Unis avec des technologies « modernes ».
Ces armes contiennent de l’uranium « appauvri » et bien d’autres composés radioactifs ET chimiques pour des raisons techniques très pointues que l’on peut retrouver dans le lien ci-dessous:
Pourquoi la présence
de Ruthénium 106 ?
Là aussi il y a une explication très technique:
Les explications sont dans les capacités métallurgiques et chimiques du Rhuténium 106.
Il s’agit d’un métal relativement dur. Il fond vers 2 330 °C et bout vers 4 100 °C.
Le ruthénium présente une grande résistance à froid et à chaud.
Le ruthénium est inaltérable à l’air et insoluble dans l’eau, il est pratiquement inattaquable par les acides.
Le ruthénium a l’intéressante propriété d’augmenter la dureté des alliages de Platine (utilisé dans le nez de certaines armes ou missiles). Les alliages du ruthénium avec le platine sont surtout stables et très durs. Il est donc fort probable que ce cocktail de métaux est rajouté à l’uranium « appauvri » dans certaines armes afin de rendre ces dernières plus pénétrantes et résistantes aux grandes chaleurs. Ajoutées à la micro fission ces armes sont « idéales », si l’on peut dire, pour tout détruire in situ.
D’autres infos cachées
par l’IRSN ?
Dans ses investigations, l’IRSN a aussi trouvé d’autres radioéléments (produits radioactifs).
Il y a eu aussi des libérations de césium 134, 137, de l’iode 131 ou encore du cobalt 60.
Ceci démontre bien qu’il s’agit d’explosions nucléaires multiples présentant l’ensemble des produits de fission.
D’ailleurs l’on retrouve dans les balises des produits de fission à courte demi-vie (les plus radioactifs, donc les plus faciles à détecter).
On peut aussi avoir toutes ces infos en supplément sur le lien suivant:
On a dit micro fission ?
https://depleteduranium.org/comment-faire-une-bombe-atomique-en-uranium-appauvri/
Le dépôt d’armement Ukrainien
de KALINOVKA:
Lieu d’origine du relachement
de Ruthénium 106 ?
Or donc, le soir du 26 septembre 2017, le dépôt d’armement Ukrainien de KALINOVKA a été envahi par un incendie MAJEUR et par de très nombreuses et très fortes explosions.
Ce lieu se situe dans une des zones supposées par TOUS les rapports européens.
Pourquoi ne pas en parler
officiellement ?
La réponse est très simple: parce que cela emmerderait TOUS les pays concernés, Ukraine et Russie comprises bien sûr !
Cela pourrait également être le sujet d’un déclenchement réel de troisième guerre mondiale…
Donc tous les pays ont compris, vu la gravité de la situation, qu’il fallait « faire profil bas ».
De toute façon n’oublions pas que la guerre du DONBASS continue toujours.
En outre cela confirmerait que le gouvernement Ukrainien n’a pas fait son travail pour protéger les très nombreux habitants proches du site d’armement.
L’Ukraine qui a déjà eu « l’expérience » de la centrale nucléaire de TCHERNOBYL…magnifique dans le genre, si l’on peut dire !
Souvenons-nous des commentaires de l’IRSN français sur les contaminations et pollutions induites…
Où est la principale raison ?
Réponse simple aussi mais INAVOUABLE par TOUS également:
Toutes les armes « modernes » utilisées dans tous les conflits contiennent en grande majorité des éléments chimiques ET radioactifs très contaminants comme l’uranium dit « appauvri », plus tous les autres composants radioactifs nécessaires à une bonne pénétration de ces munitions dites « flèches » et à une obligatoire mise sous combustion à des températures très importantes pour détruire TOTALEMENT les lieux, le matériel et les humains touchés !
TOUS les pays ont classé SECRET DÉFENSE l’utilisation de ces armes qui a commencé depuis très longtemps.
Le reconnaître serait passible d’une condamnation internationale par les tribunaux internationaux compétents…
Enfin, avouer de telles utilisations serait reconnaître une pollution de 4,5 milliards d’années avec l’ADN du monde du vivant touché pour de très nombreuses générations.
Et pour clore le tout, ce serait avouer que le milieu du nucléaire refile ses déchets aux industries de l’armement…donc un fonctionnement de type MAFIEUX pour une pollution éternelle !
Tout ce qu’il faut pour aller avec les ONE PLANET et autre COP23, pas vrai ?…
Une autre petite
vidéo
Ukrainienne ?
NOTA: Il existe énormément de vidéos parlant de cette catastrophe, j’ai donc choisi celle-ci en plus.
Description du cauchemar du pouvoir avec l’extinction des feux, l’évacuation des personnes et la confusion des versions selon les individus et ce qu’ils représentent.
Les politiciens ont immédiatement fait remarquer que les dépôts de munitions étaient de la responsabilité du chef d’état-major et qu’il devrait démissionner.
Pendant ce temps, les vrais responsables étaient recherchés et les experts calculaient si l’Ukraine aurait suffisamment de munitions avec les autres lieux de stockage pour la suite des combats dans la guerre du DONBASS (Semaine du 1er octobre 2017).
https://www.youtube.com/watch?v=V6ZAvAQOMOY&t=305s
Une entente par contrat
entre l’IRSN
et l’UKRAINE
Ah au fait j’oubliais, il existe une « entente bilatérale » entre l’UKRAINE et l’IRSN « pour améliorer la sûreté nucléaire » !
L’IRSN qui a déjà bien tout « noyauté » dans les affaires de TCHERNOBYL et de FUKUSHIMA pour minimiser la gravité de ces catastrophes…
Donc, l’IRSN fait tout pour dire que rien ne vient de l’UKRAINE…
C’est clair ? Vous m’avez compris ?
Faudrait-il aussi rajouter que les rares laboratoires qui pourraient être reconnus comme « indépendants » sont dépendants de l’agrément officiel octroyé par des ministères de l’Etat français. Donc…
Il est fort probable que TOUS vont nous dire que le problème lié au Ruthénium 106 vient du site de MAYAK.
Or trouver de la radioactivité autour de ce site ne sera pas compliqué vu les essais atomiques de toutes sortes qui ont déjà eu lieu dans cet endroit.
Le reportage de FRANCE 2 (18/01/2018)
dans le cadre de l’émission
« Envoyé Spécial »
Nota:
Début du sujet à 1h 13′ 14″
Pour moi, le reportage, intitulé « Un mystérieux nuage », n’apporte rien de nouveau sur le sujet qui nous intéresse c’est-à-dire le largage de Ruthénium 106 fin septembre 2017.
Un documentaire qui ne fait que parler du passé, rien d’autre.
Même dans la conclusion « nous sommes dans le passé ».
Reprenons les mots employés…
La journaliste Elise MENAND, ayant prélevé in situ de la terre, l’ingénieur nucléaire du laboratoire de la CRIIRAD, Bruno CHAREYRON, indique devant l’écran d’un ordinateur présentant les résultats d’analyse:
« Il y a bien une contamination au ruthénium 106 dans vos échantillons…ce pic là est à 621 KeV. »
Commentaire voix off de la journaliste:
« (…) Les doses sont 100 fois plus faibles que les estimations de l’IRSN qui a pointé la zone du nuage. »
Bruno CHAREYRON:
« Localement on pouvait s’attendre à des retombées très intenses et ce n’est pas ce que l’on observe. Donc ça pose question…Soit c’est bien MAYAK qui est à l’origine des rejets, mais ce n’a pas été des rejets très intenses donc c’est moins grave que ce que l’on craignait au départ…soit il y a peut-être d’autres sites nucléaires dans la zone que l’on ne connait pas. Donc on reste dans le questionnement. »
Commentaire en voix off de la journaliste:
« La Russie continue-t-elle de mentir à propos de MAYAK ?…ou y-a-t-il ailleurs dans l’OURAL d’autres installations nucléaires tenues secrètes ? Trente ans après TCHERNOBYL, comment un nuage radioactif peut-il laisser derrière lui un tel mystère…? »
La journaliste Elise LUCET annonce ensuite en « retour plateau »:
« Et une commission d’enquête internationale sur la fuite de ruthénium 106 vient d’être acceptée par les Russes. L’IRSN y participera. »
MON COMMENTAIRE
Pour moi, cette affaire GIGANTESQUE est « cousue de fil blanc » comme l’on dit.
Souvenons-nous de ce qui s’est passé à KALINOVKA un certain 26 septembre 2017.
Souvenons-nous de ce moment où nous visualisons une « mini » explosion nucléaire…à l’air libre.
Souvenons-nous de tous les sujets graves et importants induits comme l’utilisation par TOUS des armes à l’uranium « appauvri » et autres saloperies contaminantes.
Souvenons-nous de certains contrats réalisés de manière MAFIEUSE entre différents pays.
Souvenons-nous que TOUS LES PAYS sont concernés, de l’est comme de l’ouest.
Souvenons-nous du contrat « bilatéral » entre l’IRSN et l’UKRAINE.
Souvenons-nous que des vérifications par satellite doivent déjà exister…et ce par de très nombreux pays.
Bref, pour moi, cette « commission internationale » nouvellement créée va soit « enterrer » l’histoire soit trouver une réponse idiote pour clore le sujet.
Et lorsque j’écris ces quelques lignes je n’ai pas l’impression de faire de la désinformation à la sauce « fake news ». Je me pose simplement des questions essentielles par rapport à mon expérience très difficile de trente années face au monde du milieu pro nucléaire, des officiels, des institutions, des élus, etc.
Ce que je découvre
en cherchant beaucoup
sur internet:
La CATASTROPHE de KALINOVKA
cachée en France
par l’IRSN
Les explosions ont duré au moins 24 heures sans discontinuer voire plusieurs jours.
On s’aperçoit, en regardant la vidéo ci-dessous, prise avec un drone, qu’elle a été mise en ligne le 28 septembre 2017.
L’on remarque que des explosions continuent toujours alors qu’il fait jour.
D’énormes nuages de fumées ont été libérés. Il est fort probable que tout ceci est arrivé ensuite sur une grande partie de l’Europe…
Les données officielles indiquent que plus de 30 000 habitants ont été évacués de la zone. Parmi ceux-ci, 9 000 ont quitté l’épicentre des explosions.
Les journalistes du média TSN ont réalisé la chronologie de l’évacuation et ont considéré que c’était la plus grande évacuation depuis l’indépendance de l’Ukraine.
Les volontaires et les forces de la ville ont évacué plus de 28 mille personnes.
Pour accueillir les premières personnes, quatre écoles de Vinnytsky, qui sont les plus proches du lieu de la tragédie, ont servi de refuge
Dans certains endroits, les secours ont demandé de ne pas transporter de nourriture ni d’objets. Tous les médecins ont été réquisitionnés et même beaucoup d’écoliers ont quitté leurs cours pour aider aux premiers secours…
Lien internet d’origine:
On trouve aussi des infos sur cette vidéo:
La CENSURE de L’OTAN
Si l’on observe la carte de l’AIEA, le nuage de ruthénium 106 semble avoir suivi un mouvement vers le sud-ouest si l’on regarde les chiffres en Roumanie….et non dans le sens opposé…en direction du site de MAYAK !
Situation très grave, il y a eu des censures sur les balises qui contrôlent la radioactivité (cf. graphiques ci-dessous).
Début octobre 2017, « certains » ont effectué une extinction systématique des sondes Geiger gamma (sauf en Biélorussie où l’on voit un pic).
Or la Biélorussie n’est pas dans l’OTAN et la Suisse est un « partenaire neutre ».
L’on note des pics très visibles dans les données gamma, correspondant aux dates censurées par les autres pays !
On voit aussi de petits pics sur les données françaises (non données officiellement) confirmant les données suisses…
Une vœu pieux de l’ONU
un certain…26 septembre 2017
ou se moquer du monde !
Et que se passait-il ce « fameux » 26 septembre 2017…à l’ONU ?
http://www.un.org/fr/events/nuclearweaponelimination/
On peut en RIRE très fort…mais en « riant jaune » pour le moins.
Et une dernière pépite
pour la route:
L’AIEA « ridiculise » l’IRSN
ou comment dire que l’IRSN
a triché dans la présentation
de ses tableaux de mesure
https://safecast.org/2017/11/about-that-radioactive-plume-of-ru-106/
QUESTIONS:
1/ Pourquoi les médias français
cachent-ils ces informations ?
Sont-ils au courant ? Oui ? Non ?
J’ai noté dans les vidéos diverses consultées que plusieurs ONG internationales (dont je tairai le nom pour l’instant) étaient au courant depuis le début de la catastrophe…par l’intermédiaire de leurs antennes locales.
2/ Le laboratoire de la CRIIRAD est-il au courant lui aussi ?
Oui ? Non ?
Si oui ? Pourquoi participe-t-il à l’OMERTA généralisée ?
Réponse fastoche:
Tous les agréments de ce type de laboratoire sont donnés par…des ministères de l’État français…donc, pour certains sujets la CRIIRAD comme l’ACRO se…TAISENT ou disent très peu de choses. C’est plus clair ?
Conclusion:
Il n’y a aucun laboratoire « indépendant » !
Ce n’est donc pas un petit moment d’explosions qui s’est déroulé mais ce sont de très nombreuses heures.
Considérant les produits stockés, on peut donc très bien imaginer que l’émission importante de ruthénium 106 vient de là !
Je n’ose imaginer que France 2 a effectué son reportage pour « Envoyé Spécial » sur « commande » de l’IRSN…
Les choses sont-elles plus claires ?…
GREENPEACE
désinforme
en voulant s’appuyer
sur son rapport
sur ROSATOM à MAYAK
pour dire qu’en 2017…
le Ruthénium106 vient de…
MAYAK !
Rosatoms_Mayak_more_reprocessing_more_contamination
26 avril 2021:
La DÉSINFORMATION
SCANDALEUSE
des journalistes
du site
« REPORTERRE »
continue…
…Jour anniversaire
de la catastrophe…
de TCHERNOBYL
(26 avril 1986) !
https://reporterre.net/Trente-ans-avant-Tchernobyl-la-catastrophe-nucleaire-de-Kychtym
28 mai 2021:
Fabrice DROUELLE de FRANCE INTER
ressort la propagande de…
l’IRSN, la CRIIRAD,
France 2 « Envoyé Spécial »,
Élise MENAND, Élise LUCET !
(cf.fin de l’émission)
Ils te disent tous en chœur que « nous n’avons pas de preuves certaines mais tout vient probablement du site de MAÏAK » (sic).
Ça c’est du journalisme m’sieurs dames !
Scandaleux mensonge…pléonasme pour la propagande…
https://www.franceinter.fr/emissions/affaires-sensibles/affaires-sensibles-28-mai-2021
RÉSUMONS:
Tout le monde se tait parce que tout le monde est « mouillé jusqu’au cou » ! Élémentaire mon cher…
Et puis il serait si facile de contrôler les images de satellites.
Car avec de telles déflagrations tout ne peut qu’être visible, non ?
Que dire de mon investigation analyse ?
Ma recherche n’est pas plus idiote que la sortie de tous les rapports officiels d’autant qu’elle part d’un fait réel: celui du dépôt d’armement Ukrainien de KALINOVKA qui a explosé et brûlé le 26 septembre 2017 avec une « mini » explosion nucléaire.
En outre cela correspond exactement au « timing » des dates précisées dans les différents rapports commis par la suite.
Bien évidemment, je m’attends à des dénigrements et à des menaces de toute part.
Mais j’en ai malheureusement l’habitude depuis que je dénonce certaines situations depuis trente années notamment dans les domaines du nucléaire et de la Santé Publique.
Voir ici par exemple:
https://www.youtube.com/watch?v=iFt42r0V0jw&feature=youtu.be
http://lesoufflecestmavie.unblog.fr/2022/07/02/la-vie-est-belle-presque-thierry-lamireau-2/
J’ai bien conscience que je prends d’énormes risques car les enjeux sont colossaux…
Pourtant, mon travail a autant de valeur que celui fourni par d’autres.
Et en avril 2021 ?
Guerre du Donbass en Ukraine:
« On est dans un contexte
qui peut-être assez explosif «
Fin Avril 2021
entrepôts d’armes
et RUSSIE:
Bis Repetita ?
UKRAINE RUSSIE:
UNE CHRONIQUE PARMI D’AUTRES
(12 Janvier 2022)
https://www.franceinter.fr/emissions/geopolitique/geopolitique-du-mercredi-12-janvier-2022
RUSSIE / UKRAINE:
UN CERTAIN 14 JANVIER 2022…
LA GUERRE OUVERTE ?
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1854497/russie-otan-diplomatie-guerre-ukraine
GUERRE DU DONBASS:
LE DRAME UKRAINIEN
(ARTE)
Un retour documenté sur le conflit déclenché en 2014 par la région sécessionniste, avec le soutien de la Russie. Ce second volet analyse les enjeux politiques, économiques et géostratégiques de la situation, de l’élection de Joe Biden à la réalisation du gazoduc Nord Stream 2.
La longue route vers l’Europe Dans ce second volet, qui laisse le jeune président ukrainien Zelensky défendre son point de vue, tout en montrant combien sa marge de manœuvre est faible, la réalisatrice Claire Walding revient sur les enjeux politiques, économiques et géostratégiques de la situation, de l’élection de Joe Biden à la réalisation du gazoduc Nord Stream 2 qui devrait relier la Russie à l’Allemagne sans passer par l’Ukraine , pour expliquer pourquoi et avec quelles conséquences l’attentisme continue de prévaloir.
https://www.youtube.com/watch?v=lbnQ1Y9a-Mo
La pollution atmosphérique
augmente le risque
de cancer du sein
Depuis 40 ans je dis que les seins sont autant touchés par la pollution chimique et radioactive mais, comme je suis un gros con, tout le monde me dit que « je raconte n’importe quoi pour me rendre intéressant et affoler pour rien la population »
https://ehp.niehs.nih.gov/doi/full/10.1289/EHP8419
Voilà, j’ai dit ce que j’ai en tête depuis très longtemps et il n’est pas facile de synthétiser du très complexe surtout pour le simple citoyen que je suis…
…puisque je ne suis pas un journaliste…ni un scientifique.
Certains trouveront que « la forme de mon article détruit le fond plus sérieux et argumenté ».
Un peu rapide et facile pour dézinguer en une seule phrase tout mon travail.
Ce sont les mots de personnes paresseuses souvent « complices » du nucléaire, soit par mensonge direct soit par omission…
Il n’est plus temps de s’attarder sur des « éléments de langage » tant appréciés de nos jours !
J’ai perdu trente années de ma vie à essayer de remuer les consciences et j’ai également détruit ma santé (à cause des sites radioactifs fréquentés) en tentant d’amener des informations fortes.
LES EFFETS BIOLOGIQUES
DU RAYONNEMENT
https://www.dissident-media.org/infonucleaire/risque.html
https://www.bmj.com/content/382/bmj-2022-074520
10 SEPTEMBRE 2022:
LES PARTICULES FINES
INDUISENT
DES CANCERS DU POUMON ?
TU PARLES D’UNE DÉCOUVERTE !
Radioactivité des particules
liée à la crise cardiaque
et à la mort par
accident vasculaire cérébral
associées à la pollution
L’URANIUM APPAUVRI
FAIT GROSSIR
LES MILITAIRES
ET LES POPULATIONS !
Il n’y a pas que la « malbouffe » qui fait grossir actuellement les individus, jeunes ou vieux, à tel point que certains parlent « d’épidémie » !
Lire c’est comprendre…
Je ne rejette pas les causes alimentaires et industrielles reconnues stipulant que la consommation de trop d’aliments transformés et/ou sucrés aggrave l’obésité générale des populations.
L’ uranium « appauvri » est un cofacteur déréglant l’assimilation des graisses comme dans ce que j’ai vécu corporellement personnellement:
En 2001, après mes fortes irradiations et mes inhalations probables d’uranium dans et sur les mines d’ uranium en Limousin pour tourner mon film « Uranium en Limousin », j’ai pris 30kg en 6 mois + des stéatorrhées + une opération d’un stade pré-cancéreux à l’œsophage estomac.
Ce qui est caché par les États, les militaires et les instances diverses internationales est que les bombardements à l’uranium « appauvri » pratiqués par TOUS dans tous les conflits induisent une augmentation exponentielle de l’obésité !
Le plus grave est que l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) cache sciemment cette info. Pourquoi ?…
Parce qu’elle a, depuis le 28 mai 1959, un accord (WHA 12-40) avec l’AIEA (Agence Internationale de l’Énergie Atomique) stipulant que toute info de Santé Publique ne doit pas nuire aux projets pronucléaires de l’AIEA:
https://www.frontiersin.org/journals/endocrinology/articles/10.3389/fendo.2019.00382/full
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fendo.2019.00382/full
WORLD TRADE CENTER:
LES PATHOLOGIES
DES SURVIVANTS
SONT LES MÊMES…
QUE LES MIENNES !
UN G7 DU CANCER…
POUR RIRE !
G7 2024 ET ACADÉMIES DES SCIENCES:
ILS CENSURENT LE PLUS GRAVE !
Ils voudraient nous parler de santé et armes nucléaires et…censurent l’utilisation des armes à l’uranium « appauvri » qui polluent et contaminent la planète et le monde du vivant pour 4,5 milliards d’années !
Je disais quoi déjà ?
En gros: faisons la guerre avec ces armes machiavéliques utilisées par TOUS (OTAN, hors OTAN, factions diverses terroristes, etc), taisons-nous et foutons-nous en l’air !
Un véritable déni de réalité alors que la planète crie sa souffrance en brûlant, inondant, tremblant.
Démerdez-vous m’sieurs dames, c’est un suicide collectif organisé en silence par les « gens de bien », la finance, les mafieux et les marchands d’armes !
https://www.academie-sciences.fr/pdf/rapport/S7_2024_Health_FR.pdf
https://www.academie-sciences.fr/pdf/rapport/S7_2024_Armes_nucleaires_FR.pdf
LE CŒUR DU MONDE
https://www.youtube.com/watch?v=lRwYeGATgYE
MON BON AMI
ROGER MANCEAU
JE PENSE À TOI…
DES JOURS
SANGLANTS
https://www.youtube.com/watch?v=g9r0K3vfWRY
Oui, au fait…
parlons de ma santé !
(c’est moi bien sûr, j’avais 5 ans)
J’ai trop approché la radioactivité de l’uranium et ses compléments chimiques tels l’arsenic et tant d’autres.
Rappel:
J’ai aussi été empoisonné/contaminé avec l’amiante, malgré moi et sans le savoir au départ, dans la dernière école où j’ai essayé (au mieux ou au moins pire, si je puis dire) d’être instituteur à VALLIÈRES, petite bourgade près de RUMILLY/ANNECY en Haute-Savoie:
Mais les hôpitaux, je connais depuis longtemps et notamment depuis 2001 où tout a commencé à se détruire dans mon corps:
UNE CERTAINE FIN D’AVRIL:
Le début de MA fin…
(Le deuxième en partant de la droite c’est moi…
Étrange de ressembler à ce point à Picasso)
On recherche d’éventuels problèmes sur mes conduits auditifs et…l’on trouve avec une IRM du très grave: c’est dans le cerveau !
C’est une leucopathie vasculaire au stade 1 dite de « Fazekas ».
Pas de traitement ni de médicaments pour cela.
L’évolution est imprévisible pour les toubibs et peut évoluer par paliers rapides ou lents puisqu’il y a plusieurs stades (trois stades).
La substance blanche du cerveau sera de plus en plus touchée et tout est dégénératif.
C’est, en quelque sorte, la mort du cerveau.
(document: Association d’anciens militaires Italiens sous couvert de l’OTAN)
L’IRSN CONFIRME
QUE MA MALADIE AU CERVEAU
EST LIÉE À LA RADIOACTIVITÉ !
(voir à 1’52″)
https://www.youtube.com/watch?v=iaSzLlMYAWQ
Les causes sont diverses puisque j’ai d’autres pathologies: apnée du sommeil (j’ai arrêté l’aide d’un respirateur la nuit: je risque donc d’avoir un 3e AVC ou de faire une crise cardiaque), hypertension, j’ai eu le COVID-19 fin janvier 2020, deux AVC et j’ai été fortement irradié… et notamment à cause d’uranium « appauvri » contenu dans des fûts de l’ancienne usine militaire de la région parisienne du BOUCHET.
http://www.dissident-media.org/infonucleaire/hist_bouchet.html
(Photo perso: fûts rouillés d’uranium « appauvri » sur le site de BESSINES
provenant de l’ancienne usine militaire du BOUCHET)
Oui, couillon inconscient que j’étais, je suis resté des heures près de ces merdes pour ne pas me faire choper par les rondes de vigiles et de gendarmes.
Incroyable puisque j’en connaissais le danger !
La boucle est bouclée !
Bref de nombreux cofacteurs aggravant mon état, et je ne vous parle pas du reste dont 12 carcinomes basocellulaires, opération d’un stade précancéreux à l’estomac/œsophage, etc…
J’ai déjà certaines conséquences: vue et audition qui baissent, déséquilibre corporel, fourmillements dans la main droite, mémoire immédiate déficiente, fatigue arrivant vite même après un effort minime, trouble de l’humeur, je me mets à pleurer pour le moindre problème matériel, je ne trouve plus les mots parfois.
Ce qui arrivera après:
(Merde, j’ai déjà pris un sacré coup de vieux)
Accélération d’une démence cognitive, plus possible d’avoir une discussion soutenue et cohérente, problèmes moteurs aggravés, pisser et chier dans son froc (pardon d’écrire cela), etc.
Je vais voir prochainement pas mal de toubibs en supplément de mon généraliste et je vais essayer de mettre au point le moment où je demanderai que l’on m’aide à « partir » et si ce n’est pas possible dans la région il faudra que j’aille chercher ailleurs.
Déjà j’ai fait l’impasse sur certaines solutions: trop cher en Suisse (11000 euros), trop compliqué et trop loin pour mon cas en Belgique.
En France: RIEN !…car le Législateur est un minable.
Que me reste-t-il considérant que je ne souhaite pas me suicider de peur de me louper ou de trop souffrir ?
Je ne souhaite pas finir comme une épave.
La difficulté sera de me décider pas encore trop atteint pour ne pas louper ce moment où j’aurai conscience de ne plus pouvoir me supporter…
NOTA:
Je me moque complètement de mettre toutes ces informations personnelles sur internet.
J’estime, en outre, que les gens doivent découvrir honnêtement mes enquêtes et la situation qui en découle.
Enfin, je ne souhaite pas « faire pitié » ou me faire plaindre.
Je décris une situation. C’est un témoignage, c’est tout.
Résumons:
J’ai toujours voulu garder mon indépendance et ma liberté de penser.
Je n’appartiens à aucun parti politique, syndicat voire mouvance sectaire.
Je déteste tous ces minables qui diffusent sciemment de fausses informations, qu’ils soient journalistes ou membres de réseaux d’influence de type « complotiste ».
Je suis écœuré (mais pas étonné) par le silence/omerta/censure diffusés régulièrement par des ignorants ou des complices…suivez mon regard…la liste est longue.
MA VISION D’ENSEMBLE
SUR LE NUCLÉAIRE
https://lamireau.blogspot.com/2024/06/le-nucleaire-cest-pepere-thierry.html
J’en paye donc le prix fort:
Le rejet par tous et une mort peut-être précoce puisque j’ai eu seulement 68 ans…
Nous sommes dans l’urgence car le monde du vivant a certainement déjà commencé son extinction…
Mais comme dirait MACRON, je suis un « RIEN »…
…mais un Rien qui pense un petit peu.
CARPE DIEM
Écrit le 13 décembre 2017 et complété en juillet 2024.
Le « Rien » de service.
Thierry LAMIREAU
Vous pouvez laisser une réponse.
N’oublier pas qu il n’ y a que des champs de maïs et de blé autour de ce dépôt et que ce pays en exporte massivement,même en france.. https://youtu.be/D-G8Xk1LBfA n hésiter pas à regarder (même si vous ne comprenez pas l’ukrainien )les séquences d’infos TV du 27 septembre,rassemblées dans cette vidéo dans la playlist de cette chaîne.
POURVU QUE CELA SE SACHE, QUE LES GENS SE LE DISENT,ET QU’ON PUISSENT ENFIN AVOIR L ‘ANALYSE DU TERRAIN QUI EST LA SEULE PIÈCE MANQUANTE..ESPERONT..ET N ‘OUBLIONS PAS !