FRANCE INTER: LE JOURNALISTE SIMON TIVOLLE, CELUI QUI PASSE LES PLATS DU MINISTRE LE DRIAN, DE L’INDUSTRIEL DASSAULT ET DE LA DIRECTION GENERALE DE L’ARMEMENT ! (Thierry LAMIREAU/lesoufflecestmavie.unblog.fr)
FRANCE INTER:
Le journaliste
Simon TIVOLLE,
celui qui passe les plats
du Ministre de la Défense
Jean-Yves LE DRIAN,
de l’industriel
DASSAULT AVIATION
et de la
Direction Générale
de
l’Armement!
-Présentation de
FRANCE INTER-
nEUROn:
Le drone de combat
Quel avion de combat prendra la suite du RAFALE,
dans une vingtaine d’années ?
Simon TIVOLLE, spécialiste des questions de Défense à FRANCE
INTER, a pu voir voler en juin 2014 l’un des appareils sans pilote
les plus sophistiqués, il s’appelle le « nEUROn ».
Les drones actuellement en service servent à la surveillance ou tirent parfois des missiles dans des missions ponctuelles, mais aucun ne rivalise avec les performances des avions de combat.
Le démonstrateur technologique de drone de combat nEUROn, développé par DASSAULT AVIATION, unique maître d’œuvre, et la Direction Générale de l’Armement, unique maître d’ouvrage, réunit l’expertise de six pays européens.
C’est un drôle d’oiseau qui ressemble un peu à une soucoupe volante, ou à une raie Manta, très plat, très lisse de 12 mètres d’envergure et qui pèse 7 tonnes.
Il est destiné à déboucher sur la création des futurs drones de combat communs à la France et la Grande-Bretagne, qui a, elle aussi, son prototype, le Taranis.
Le contrat du nEUROn a été décidé en 2003 et notifié en 2006. Le démonstrateur a réalisé son premier vol le 1er décembre 2012. Une cinquantaine de vols ont depuis été effectués. La DGA a pu évaluer les performances de furtivité du drone. En avril 2014 le nEUROn a volé en formation avec un RAFALE.
FRANCE INTER
Simon TIVOLLE
Ce drone européen est un avion de combat et il devrait dans plusieurs années accompagner les avions pilotés dans des missions. Ces dernières pourraient par exemple consister à détruire les défenses anti aériennes des ennemis. Le directeur général du groupe estime que personne aujourd’hui n’envisage « un avenir entièrement avec des avions sans pilote ». Ce drone est un démonstrateur, il ne peut donc pas combattre, il permet seulement de développer de nouvelles technologies et de les tester. Mais la société estime que, d’ici 2030, ils pourraient tout à fait venir en aide aux forces aériennes européennes.
Notifié à Dassault Aviation par la DGA en 2006 ainsi que les contrats de partenariats industriels pour un coût de 400 millions d’euros, le programme nEUROn associe la France, l’Italie, la Suède, l’Espagne, la Grèce et la Suisse. Sous la maîtrise d’oeuvre de Dassault Aviation, le programme a été construit « pour fédérer les compétences et les savoir-faire »d’Alenia Aermacchi (Italie), Saab (Suède), EADS-Casa (Espagne), HAI (Grèce), Ruag (Suisse) et Thales (France).
RAPPEL:
Jean-Yves LE DRIAN
assistera à ISTRES
au vol du drone « nEUROn »
LE 12 JUIN 2014
Les armées célèbrent le 70e anniversaire des essais en vol de ses équipements aéronautiques. A cette occasion, Jean-Yves LE DRIAN, ministre de la Défense, se rendra à Istres (Bouches-du-Rhône), pour y rencontrer les équipes de la DGA et se faire présenter leurs missions. Un vol du démonstrateur de drone de combat nEUROn est également planifié.
Une semaine après les arbitrages rendus par le Président de la République sur la Loi de Programmation Militaire 2014-2019, cette visite au cœur des industries de Défense rappelle le rôle de ces 4 000 entreprises dans l’innovation technologique, et la responsabilité de la Défense dans l’anticipation et le maintien des compétences humaines nécessaires à notre équipement militaire et notre souveraineté.
En présence d’Eric TRAPPIER, président-directeur général de Dassault Aviation et de Laurent COLLET-BILLON, Délégué Général pour l’Armement, Jean-Yves LE DRIAN prendra la parole sur le thème des industries de défense et celui des compétences nécessaires au maintien de notre avance technologique.
Source: MinDef
Le nEUROn ouvre un nouveau chapitre
de l’aéronautique
militaire française
(Jean Dominique MERCHET)
Le ministre de la Défense Jean-Yves LE DRIAN s’est rendu jeudi à Istres pour le 70e anniversaire du centre d’essais en vol. Il a notamment assisté au vol d’un nEUROn, le démonstrateur européen de drone de combat furtif, qui préfigure le successeur du RAFALE à l’horizon 2030.
Seul le bruit est familier aux passionnés d’aviation : c’est celui d’un vieux réacteur Adour qui équipait jadis le JAGUAR. Pour le reste, le changement est radical. L’appareil est une sorte d’aile volante sans poste de pilotage.
Le nEUROn est le premier drone européen de combat furtif. Depuis décembre 2012, iI vole régulièrement depuis la base aérienne d’Istres pour des essais. Le ministre de la Défense, Jean Yves LE DRIAN, est venu jeudi assister au 53e vol de l’appareil, une manière pour lui de réaffirmer que «la France va continuer à soutenir sa filière aéronautique» avec les milliards de la loi de programmation militaire qu’il vient de sauver de haute lutte. «Il en va de nos intérêts stratégiques comme de nos intérêts industriels » a-t-il ajouté.
Le nEUROn n’est pour l’heure qu’un démonstrateur technologique. Ce n’est pas donc le prototype d’un futur avion de combat mais un moyen pour les industriels de découvrir et de maîtriser des technologies qui serviront, demain, dans de véritables projets militaires qui entreront en service vers 2030. Ceux qui viendront remplacer le RAFALE ou l’Eurofighter.
Lancé véritablement en 2006, ce programme est européen avec une forte participation française (46,1%), Dassault Aviation étant le maître d’œuvre industriel de l’ensemble. L’Italie avec Alenia (22,5%) et la Suède avec Saab (18,1%) sont les deux principaux partenaires aux côtés de l’Espagne, la Grèce et la Suisse.
nEUROn n’est que la première brique d’une coopération qui va être élargie au Royaume Uni. En janvier, Paris et Londres ont décidé de s’associer pour concevoir l’avion de combat du demain, le FCAS (Future Combat Air System) sur la base des acquis du nEUROn et de son homologue britannique, le Taranis. Un contrat devrait être signé en juillet pour un développement qui durera sans doute une dizaine d’années. Jean-Yves LE DRIAN a confirmé jeudi que plus de 200 millions d’euros y seraient consacrés.
Le nEUROn constitue une rupture technologique majeure pour l’industrie européenne.
Deux grandes raisons à cela : cet appareil de combat est furtif, c’est-à-dire qu’il échappe à la détection radar, et il n’a pas de pilote à son bord.
Sa forme très profilée, son revêtement, la sortie de son réacteur : tout est conçu pour que les ondes radar rebondissent sur lui. Les Américains savent faire depuis un quart de siècle mais ne partagent pas ce genre de chose. Avec le nEUROn, les Européens apprennent. Ou réapprennent des techniques abandonnées depuis la seconde guerre mondiale, comme le stockage des bombes dans une soute. Impossible de rester discret au radar si l’on accroche des missiles sous le fuselage : il faut les cacher à l’intérieur puis ouvrir une trappe et sortir l’engin. Pas si simple, surtout quand tout est automatisé.
Contrairement aux drones d’aujourd’hui, qui traquent les terroristes au Sahel ou au Pakistan, le nEUROn et ses descendants ne sont pas pilotés par un équipage installé dans une station au sol. Son vol et sa mission sont entièrement programmés à l’avance, mais l’appareil reste en permanence sous le contrôle d’une équipe au sol.
Un responsable, toujours appelé «pilote» peut intervenir si nécessaire, par exemple pour annuler la mission et faire revenir l’appareil. Le cockpit est simplement devenu un écran d’ordinateur avec son clavier et sa souris…
«Il faut maintenir l’homme dans la boucle, pour des raisons éthiques» explique-t-on à la Direction Générale de l’Armement.
Les industriels ne sont pas en train d’inventer des robots tueurs, mais des systèmes qui préserveront la vie des aviateurs dans les missions de bombardement à très haut risque.
Jean Dominique MERCHET
http://www.lopinion.fr/12-juin-2014/neuron-ouvre-nouveau-chapitre-l-aeronautique-militaire-francaise-13306
Si, ce sont des
robots TUEURS !…
Armés d’armes
à l’URANIUM « appauvri » !
Reportage
de
Simon TIVOLLE:
(Emission du jeudi 3 juillet 2014)
REMARQUES:
(Thierry LAMIREAU)
Déroulement du sonore du journaliste Simon TIVOLLE:
L’essai se passe à Istres et le ministre de la Défense s’exprime:
« C’est un émerveillement, beaucoup de considération pour ceux qui ont fabriqué le nEUROn. »
Simon TIVOLLE:
« C’est que c’est impressionnant, qu’il y a de l’émotion. »
Eric TRAPPIER,
PDG de DASSAULT AVIATION:
« C’est un avion de combat très furtif et discret. »
Simon TIVOLLE:
Non seulement il est discret mais il n’y a pas de pilote dans l’avion ! (dit-il, avec insistance).
Journaliste plateau FRANCE INTER:
« L’avion devra être capable de faire TOUT…tout seul ! » (Texte de Simon TIVOLLE).
Simon TIVOLLE:
Les drones viendront en complément des avions de chasse sans se faire repérer pour effectuer un bombardement risqué. La priorité: ne pas perdre l’excellence aéronautique française et investir dans des technologies de demain. »
Le ministre LE DRIAN:
« Il faut un vrai projet industriel. »
Eric TRAPPIER:
« Dans deux ans, il y aura un programme avec les Britanniques. »
Derniers sons du reportage:
Satisfaction des militaires, du ministre et des industriels à l’atterrissage du drone nEUROn et…APPLAUDISSEMENTS avec BRAVO !
Ce reportage est un véritable SCANDALE !
Simon TIVOLLE travaille sur une chaîne publique pour laquelle nous donnons de l’argent à travers la redevance audiovisuelle.
Il « sert la soupe » au ministre de la Défense (et au Président HOLLANDE), à DASSAULT AVIATION et à la Direction Générale de l’Armement.
Non, Monsieur TIVOLLE, il n’y aura pas de bombardement risqué…puisqu’il n’y aura pas de pilote embarqué !...les risques seront réservés aux populations qui recevront sur « la gueule » les armes à l’URANIUM « appauvri » !
Simon TIVOLLE est un habitué qui CACHE la vérité sur l’utilisation des armes à l’URANIUM « appauvri » par la France dans chaque intervention de drones, de MIRAGE 2000, de RAFALE et d’hélicoptères TIGRE comme au MALI ou en CENTRAFRIQUE, pour ne parler que de ces pays.
Je vous renvoie au lien suivant pour découvrir que Simon TIVOLLE participe à l’OMERTA imposée par le SECRET DEFENSE de l’Etat français !
Simon TIVOLLE n’est pas un journaliste…c’est un petit soldat zélé…AUX ORDRES !
Thierry LAMIREAU
lesoufflecestmavie.unblog.fr
Présentation du nEUROn
par DASSAULT AVIATION
nEUROn, le drone européen du futur
(http://www.leparisien.fr)
Il a un profil de soucoupe volante. Sur la piste de la base aérienne d’Istres (Bouches-du-Rhône), le nEUROn s’élance dans un bruit sourd craché par son réacteur. L’aéronef, sorti tout droit du futur, a tous les traits d’un avion de chasse, sans pilote à son bord. L’appareil est le fruit d’un programme européen lancé en 2003. Un démonstrateur de drone élaboré dans le cadre d’une coopération industrielle entre six Etats partenaires (Italie, Suède, Espagne, Grèce, Suisse et France). « C’est l’aviation de chasse de 2030 », déclare du bord de la piste le ministre de la Défense Jean-Yves LE DRIAN. «Mais ça se prépare maintenant ! »
Développé sous l’égide de la Délégation Générale pour l’Armement (DGA), la maîtrise d’oeuvre du nEUROn est conduite par Dassault Aviation. Ce chasseur dispose des technologies les plus pointues de l’aviation militaire. Dix mètres de long, 12,50m d’envergure, ses capacités lui permettent de voler pendant 1 h 40, à 100 km de sa base d’opération. La furtivité est son principal atout. Son fuselage bombé laisse une trace sur les radars à peine plus visible que celle d’un oiseau. Bardé de caméras et d’instruments de mesure, sa mission est d’abord d’observer. Mais pas seulement. Les deux bombes à guidage laser de 250 kg qu’il emporte dans sa soute en font une arme redoutable…[Redoutable car armées à l'URANIUM "appauvri" / Remarque de Thierry LAMIREAU].
Les pays européens étaient jusque là restés hors jeu dans le domaine des drones. Un créneau où seuls les Américains sont véritablement présents. En août 2013, la France en était réduite à acheter aux Etats-Unis deux Reaper, des systèmes de drone de surveillance à moyenne altitude, non armés, actuellement basés au Tchad.
« Ce type de drones est adapté à l’observation en Afghanistan ou au Mali contre les talibans ou la guérilla jihadiste. Mais il serait vite neutralisé dans des conflits de haute intensité comme en Syrie », avoue Mathieu Durand, cadre chez Dassault.
Le nEUROn n’est à ce jour qu’un démonstrateur qui n’a pas vocation à être transformé en programme de série, même s’il en prend le chemin. « Nous sommes déjà là dans l’après RAFALE », poursuit Jean-Yves LE DRIAN.
« La France a besoin de ces outils de souveraineté pour tenir sa place et relever les menaces face à sa sécurité. » Le projet est inscrit dans la loi de programmation militaire votée par le Parlement. L’alliance européenne permet de répartir les coûts, pour un budget de 400 M€. Des montants à la fabrication dix fois inférieurs à ceux des concurrents américains.
Le drone du futur poursuit ses essais de développement sur la base d’Istres. Ensuite, le nEUROn effectuera des essais en Italie, avec un scénario d’attaque air-sol.
http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/neuron-le-drone-europeen-du-futur-17-06-2014-3928611.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr%2F
Présentation
de l’Armée Française
Le 20 mars 2014, Dassault Aviation a organisé un vol en patrouille du nEUROn avec un RAFALE et un FALCON 7X. C’est la première fois au monde qu’un drone de combat effectue un vol en formation avec d’autres appareils, en l’occurrence un avion d’affaires et un avion de combat. L’ensemble de l’opération a duré 1 h 50 mn et a emmené la patrouille au-dessus de la Méditerranée sur plusieurs centaines de kilomètres.
Pour Eric TRAPPIER, Président-Directeur général de Dassault Aviation :
« Cet événement illustre notre maîtrise des technologies les plus avancées. Nos compétences dans les domaines civils et militaires s’enrichissent mutuellement pour concevoir et produire des avions d’exception au service des armées et des utilisateurs de Falcon. »
Un tel vol est très complexe à organiser : pour chacune des figures à enchaîner, il faut que se retrouvent dans un même espace de travail, au même moment, des aéronefs venant de points d’attente distincts et affichant des performances de vol différentes.
Faire évoluer un avion sans pilote à bord avec quatre autres avions pilotés (RAFALE, FALCON 7X et deux avions de prises de vues) constituait un défi supplémentaire. Il a fallu se prémunir des risques d’interférences, comme les turbulences aérodynamiques des appareils entre eux, et des risques de perturbation dans les communications entre le nEUROn et sa station de contrôle au sol.
Armée de l’Air
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