LES GARS DE L’UMP: CEUX QUI AIMENT S’ECOUTER PARLER ! (Thierry LAMIREAU/lesoufflecestmavie.unblog.fr/france24.com/le journal du dimanche/lejdd.fr/lefigaro.fr/liberation.fr)
Les GARS de l’UMP:
Décision de l’UMP du mardi 10 juin 2014 + le cas des BALKANY (FRANCE 2):
ACTE 1
Hervé MARITON…
ton ton, ton taine…
Ceux qui aiment
s’écouter parler.
(Thierry LAMIREAU)
Hervé MARITON
Hervé MARITON
brigue la présidence
de l’UMP
Le député de la Drôme Hervé MARITON a anoncé son intention, jeudi 5 juin 2014, de briguer la présidence de l’UMP, et ce même en cas de candidature de Nicolas Sarkozy, selon le Figaro.
Sur son blog « Droit au cœur », l’élu chargé du projet du parti, explique son choix :
« La France est en crise, les Français subissent la faillite de la majorité d’aujourd’hui. Nous devons aussi reconnaître l’échec de l’exécutif en 2012. Il est, alors, urgent que l’opposition se fasse entendre d’une voix nouvelle et claire. Hervé MARITON manifeste la volonté de renouer avec la confiance des militants pour rassurer les électeurs et construire un projet vigoureux pour l’UMP. »
Dans une interview au Figaro, il expliquait :
« C’est sans doute une démarche atypique, venant de la personne en charge du projet du parti, mais cela a un sens : le projet doit être central pour l’avenir ».
lefigaro.fr
« SORTIR DE LA PÉRIODE
DE TRANSITION »
Alors que « la situation est grave » et « le gouvernement incompétent », « l’UMP doit sortir rapidement de la période de transition » qui est la sienne depuis la démission de son président Jean-François Copé, pour « faire le choix éclairé »d’une équipe dirigeante, estime le député.
« Si je suis élu président de l’UMP, je ne serai pas candidat à la primaire » en vue de la présidentielle de 2017, a-t-il ajouté, confirmant une intention déjà affichée sur son blog. Le contraire serait « entretenir la confusion et le déséquilibre » au parti.
Hervé Mariton s’était illustré en 2013 par sa farouche opposition au mariage pour tous, qu’il avait vivement combattu à l’Assemblée nationale. Il s’était fait au moment des débats une spécialité des rappels incessants au règlement et des invectives lancées depuis son fauteuil, période pendant laquelle il a gagné le surnom de « Maritroll ». Ce libéral revendiqué fut aussi l’un des rares députés UMP favorables à une intervention militaire en Irak.
Hervé MARITON
Hervé MARITON, né le 5 novembre 1958 à Alger (Algérie), est un homme politique français, député de la Drôme depuis 1993, maire de Crest depuis 1995, ministre de l’Outre-mer dans le gouvernement de Dominique de Villepin du 27 mars au 15 mai 2007. |
État civil:
Issu d’une famille modeste, il est le fils d’un père militaire drômois et catholique, et d’une mère pied-noir juive, dont il adopte le culte ; marié, et père de quatre enfants, ces derniers sont élevés dans la religion catholique, celle de son épouse(1).
Élève au lycée Louis-le-Grand à Paris, Hervé MARITON est ingénieur de l’École polytechnique (X 77), titulaire d’un DEA de gestion de l’Université Paris-Dauphine et diplômé de l’IEP de Paris. Il est Ingénieur en chef du Corps des mines. Hervé MARITON parle couramment le russe. Il a notamment obtenu un prix au concours général dans cette matière en 1974.
Il est réélu député de la 3e circonscription au terme des élections législatives de 2012.
En janvier 2013, à la suite de l’accord entre Jean-François Copé et François Fillon qui a suivi la crise politique du congrès de novembre 2012 de l’UMP, il est nommé responsable du pôle projet, assisté par la copéiste Valérie Debord et le filloniste Bruno Retailleau(8).
En novembre 2013, il décide de transformer son club « Réforme et Modernité » en le renommant « Droit au cœur » pour peser sur le débat à l’UMP et le choix de son candidat pour la présidentielle de 2017(9,10).
En mars 2014, la liste qu’il mène obtient 57 % des voix au premier tour et Mariton est réélu maire(11).
En juin 2014, dans une interview au quotidien Le Figaro, il annonce sa candidature à la présidence de l’UMP(12).
Positions:
- Sur les questions de politique internationale, il est, en 2003, l’un des rares députés UMP, à l’instar de Pierre Lellouche ou Alain Madelin, à être favorable à l’intervention militaire américaine en Irak. En 2008, il se dit favorable au républicain John McCain pour l’élection présidentielle américaine, plutôt qu’au démocrate Barack Obama(13).
- Sur les questions de défense, il se prononce en 2009 en faveur du retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN, contrairement à ses collègues villepinistes et à Dominique de Villepin.
- Sur les questions sociales et de droit du travail, il est l’un des promoteurs du service minimum dans les transports publics, tant par ses propositions, prises de positions ou rapports.
- Sur les sujets sociétaux et familiaux, suite à la décision du tribunal administratif enjoignant au conseil général du Jura de donner l’agrément à une femme homosexuelle, Hervé Mariton propose en 2009 de revenir sur le droit à l’adoption par des célibataires(14). En 2010, il propose un amendement au projet de loi de finances 2011, défendant l’avantage fiscal aux jeunes mariés, mais pas aux jeunes pacsés ou aux couples divorcés(15). En 2013, il est à l’Assemblée nationale l’orateur principal du groupe UMP concernant l’opposition au projet de loi du mariage homosexuel impliquant notamment l’adoption par ces mêmes couples(16).
- Sur le plan écologique et environnemental, il prône en avril 2010 une fiscalité écologique de droite, évoquant d’autres pistes que la taxe carbone, qui poserait problème à son sens à l’échelle européenne(17).
- Sur le plan institutionnel, il propose en novembre 2010 la suppression du Conseil économique, social et environnemental, institution qui, selon lui, « ne sert à rien » et coûte cher(18).
- (Extraits de WIKIPEDIA)
La présentation
de Hervé MARITON
sur son site
Dans un souci de rassemblement et après avoir reçu le soutien de plusieurs parlementaires, élus locaux et acteurs de la société civile, Hervé MARITON se porte candidat à la présidence de l’UMP.
La France est en crise, les français subissent la faillite de la majorité d’aujourd’hui. Nous devons aussi reconnaître l’échec de l’exécutif en 2012. Il est, alors, urgent que l’opposition se fasse entendre d’une voix nouvelle et claire. Hervé MARITON manifeste la volonté de renouer avec la confiance des militants pour rassurer les électeurs et construire un projet vigoureux pour l’UMP.
Pour donner à l’UMP les plus grandes chances dans l’élection présidentielle de 2017, les primaires seront utiles. Pour les préparer, le plus efficacement et paisiblement, le futur président de l’UMP devra s’abstenir d’y participer.
Homme d’aucun clan, Hervé Mariton s’est tenu éloigné des querelles intestines pour se concentrer sur les enjeux de fond. Hervé MARITON entend désormais prendre ses responsabilités, avec de nombreux parlementaires et élus locaux, pour rebâtir l’unité de la famille politique. Courage, rigueur et bienveillance seront les maîtres-mots pour redonner à l’UMP audace et sérénité.
Hervé MARITON
Hervé MARITON
à FRANCE INTER
le mardi 10 juin 2014:
ACTE 2
Bruno LE MAIRE
Bruno LE MAIRE
candidat à la présidence de l’UMP
Depuis ce mercredi 11 juin 2014, l’UMP connaît un nouveau candidat pour la présidence, dont le sort se décidera lors du congrès, à l’automne.
Invité de Jean-Jacques BOURDIN sur RMC et BFMTV à 8h30, Bruno LE MAIRE a annoncé qu’il briguait la tête du parti.
Il dit vouloir « porter le renouveau politique complet ».
« Je veux être un chef qui rassemble, je ne suis pas un homme de clan », fait valoir l’ancien ministre. Qui prend un engagement : « Si je suis élu président de l’UMP, je ferai en sorte que des primaires soient organisées, et soient ouvertes et équitables. »
« Les primaires s’imposeront à tous », même à Nicolas SARKOZY donc.
Sera-t-il candidat à cette primaire ? « On ne va pas multiplier les candidatures », balaye-t-il.
« Rompre avec les pratiques
politiques du passé »
Il ne faisait déjà pas mystère de sa candidature la semaine dernière. En coulisses, il se préparait à franchir cette étape.
Déterminé, il expliquait au JDD : »Sur le marché du renouveau, je suis le seul. Il faut rompre avec les pratiques politiques du passé. L’hypothèse que j’aille à la présidence de l’UMP est forte. Y compris contre SARKOZY. »
Dimanche soir, il glissait sur BFMTV : »Tout est ouvert, ce n’est pas la peine de se précipiter dans la vie, laissons les choses se faire au bon rythme ».
L’ancien ministre de l’Agriculture s’est prévu un véritable plan média pour annoncer sa candidature. Après, il doit filer à Vernon, dans l’Eure, son département, pour un déjeuner militant auxquels plusieurs journalistes sont conviés.
Bruno LE MAIRE:
Autoportrait
en candidat UMP
«Renouveau», «révolution démocratique», «passion», «détermination», Bruno LE MAIRE, qui s’est déclaré candidat à la présidence de l’UMP, martèle sur tous les médias ses ambitions à la première personne pour se faire connaître.
liberation.fr
Encore un énarque comme candidat
à la présidence de l’UMP !
Bruno LE MAIRE, né le 15 avril 1969 à Neuilly-sur-Seine, est un homme politique français, membre de l’Union pour un Mouvement Populaire (UMP).
Ancien directeur de cabinet de Dominique de Villepin et député de l’Eure, il est nommé, le 23 juin 2009, ministre de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche, ainsi que de la Ruralité et l’Aménagement du territoire le 14 novembre 2010, poste qu’il occupe jusqu’au 10 mai 2012. Il est depuis redevenu député.
Biographie:
Fils de Maurice LE MAIRE, cadre du groupe Total, et de Viviane Fradin de Belabre, directrice des établissements privés catholiques Notre-Dame de France (Paris 13e), puis du Saint-Louis-de-Gonzague (16earrondissement de Paris), il entre à l’École normale supérieure en 1989, où il débute des études de littérature française, avec un mémoire sur La Statuaire dans « À la recherche du temps perdu » de Proust, sous la direction de Jean-Yves Tadié1. En 1992, il est reçu premier de l’agrégation de lettres modernes. Diplômé par la suite de l’Institut d’études politiques de Paris (1995), il intègre l’ENA en 1996.
En 1998, à sa sortie de l’ENA, il entre au ministère des Affaires étrangères, à la Direction des Affaires stratégiques, de Sécurité et du Désarmement. Il collabore avec Dominique de Villepin lorsque ce dernier estsecrétaire général de la présidence de la République. Il le suit lorsque celui-ci devient ministre des Affaires étrangères, entre 2002 et 2004. Il a notamment établi l’absence d’armes de destruction massives en Irak durant la crise irakienne de 2002-2003. Continuant à suivre le parcours de Dominique de Villepin, il entre au ministère de l’Intérieur en mars 2004, puis à Matignon en mai 2005, où il devient le conseiller politique du Premier ministre. Il est nommé directeur de cabinet du Premier ministre, en remplacement de Pierre Mongin, nommé PDG de la RATP.
Lors des élections législatives de juin 2007, candidat de l’UMP, il est élu député dans la 1re circonscription de l’Eure2, une circonscription occupée pendant plus de deux décennies par Jean-Louis Debré, démissionnaire en raison de sa nomination en mars 2007 au Conseil constitutionnel. Il est alors opposé à un élu local, Louis Petiet, président de la fédération UMP de l’Eure, qui est contraint de se présenter comme dissident.
Il est par ailleurs, du 16 mars 2008 à 2012 conseiller municipal de la ville d’Évreux.
Nommé conseiller politique de l’UMP en avril 2008, il est nommé secrétaire d’État aux Affaires européennes à la place de Jean-Pierre Jouyet (nommé à la tête de l’Autorité des Marchés Financiers) le12 décembre 2008. La passation des pouvoirs a eu lieu le 13 décembre au Quai d’Orsay(3).
Seul candidat à la primaire, il est désigné par les militants UMP pour conduire la liste du parti aux élections régionales de 2010 en Haute-Normandie, obtenant 1 502 voix (participation : 34,94 %)(4). Mais en mars 2010 il ne réussit pas à ravir la région à Alain Le Vern, perdant dans le cadre d’une triangulaire incluant le FN. Il est néanmoins élu conseiller régional. Le 23 juin 2009, à la faveur d’un remaniement ministériel, Bruno Le Maire est nommé ministre de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche.
Il a présenté, le 13 janvier 2010 en Conseil des ministres, un projet de loi de modernisation de l’agriculture et de la pêche(5,6), dont le texte est promulgué le 27 juillet 2010(7).
Le 14 novembre 2010, lors de la formation du troisième gouvernement Fillon, il est reconduit dans ses fonctions ministérielles et obtient en plus les portefeuilles de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire.
Il se déclare candidat à la présidence de l’UMP le 19 août 20128. Il publie peu de temps après son premier roman consacré au chef d’orchestre autrichien Carlos Kleiber(9).
Il démissionne du ministère des Affaires étrangères, et est radié à partir du 8 octobre 2012(10).
Il est marié à Pauline DOUSSAU DE BAZIGNAN, et a quatre fils. Sa femme a été l’une de ses assistants parlementaires de 2007 à 2013(11)
(Extraits WIKIPEDIA)
On le voit, Bruno LE MAIRE baigne dans le prolétariat et a même le culot d’engager sa femme comme assistante parlementaire !
Acte 3
Succession de COPE
L’UMP a donc affiché, mardi 10 juin 2014, son unité en s’accordant à l’unanimité sur une période de transition, encore incertaine, qui la mènera d’ici novembre à un congrès de refondation dont les sarcozystes pourraient faire une rampe de lancement pour l’ancien président.
Au terme de plus de deux heures de débats, le bureau politique du parti a entériné l’installation d’un « triumvirat » composé des anciens Premiers ministres Alain JUPPE, Jean-Pierre RAFFARIN et François FILLON et doté de larges pouvoirs. Il assurera l’intérim à compter du 15 juin 2014, date effective de la démission du président Jean-François COPE, emporté par l’affaire Bygmalion.
Le trio sera assisté du vice-président délégué sortant Luc CHATEL au poste de secrétaire général. Le congrès extraordinaire appelé à désigner le futur président du parti aura lieu « au plus tard en novembre ». « Il y a eu un vote unanime sur une résolution qui précise le rôle, la place des anciens Premiers ministres, le calendrier, le périmètre de leur action qui est très important », a dit à Reuters le député Bernard ACCOYER.
Les trois anciens Premiers ministres ont proposé au bureau politique, qui l’a acceptée, la nomination de Luc CHATEL au poste de secrétaire général, précise la motion.
Des secrétaires généraux adjoints et un trésorier national seront nommés le 17 juin 2014 à leur initiative, lors d’un nouveau bureau politique. D’autres nominations seront actées « sans délai » pour assurer la transition.
Eteindre la fronde
L’éclatement de l’affaire Bygmalion a déclenché cette tempête au sein du parti d’opposition. Pour dissimuler un dépassement du plafond de dépenses de la campagne de Nicolas SARKOZY en 2012, des factures auraient été indûment transvasées des comptes de campagne à ceux du parti, via Bygmalion, une agence de communication fondée par deux amis de Jean-François COPE.
http://www.france24.com/fr/20140610-ump-luc-chatel-direction-provisoire-triumvirat-raffarin-jupe-fillon/?utm_medium=twitter&utm_source=dlvr.it
SARKOZY
dans les
starting-blocks
« J’accorde toute ma confiance à la direction collégiale menée par les trois anciens Premiers ministres. » Cette phrase c’est bien… Nicolas Sarkozy qui l’a prononcée mercredi 11 juin 2014.
Alors en Russie, il s’entretenait au téléphone avec Jean-Pierre RAFFARIN, l’un des trois « pachas » qui doivent être confirmés mardi soir pour mener le parti jusqu’à l’élection d’un nouveau président de l’UMP. Une manière de baisser les armes, alors que certains de ses proches s’acharnent contre ce triumvirat « hors statut » ? Non, plutôt une manière de gagner du temps. Et surtout de tenter de déjouer l’opération anti-Sarko qui se met en place à l’UMP.
Les principaux dirigeants du parti se sont trouvé un objectif commun : empêcher son retour et verrouiller le principe de ces primaires dont SARKOZY ne veut pas. Dans cette course, chacun joue la montre. Convaincu qu’il doit vite prendre le parti, l’ancien chef de l’État n’en finit pas d’accélérer. Devant des sénateurs, il avait évoqué, il y a dix jours, une entrée en scène à la fin août. Il pourrait en fait se lancer dans la course à la présidence de l’UMP d’ici à la fin du mois. Il présentera son « plan de décollage » à son cercle rapproché lundi ou mardi rue de Miromesnil.
Un déplacement à L’Isle-Adam (Val-d’Oise) a été envisagé puis annulé. D’ores et déjà, les sarkozystes ont reçu leurs éléments de langage.
« On n’est plus en tension, on est en crise. » Ou encore : « Trois ans, ça va être long d’abord pour HOLLANDE, pas pour SARKOZY. »
Autre variante : « Face à la crise, les Français attendent des solutions et un leader, pas Xavier BERTRAND ou Bruno LE MAIRE. »
Vendredi, il a nargué les journalistes massés dans la tribune presse de Ouistreham, lors des cérémonies de commémoration du D-Day en leur lançant, bravache : « À très bientôt! »
Les primes de départ de COPE
Mercredi soir, le député de Meaux tiendra un ultime meeting à Aulnay-sous-Bois, en banlieue parisienne, chez son soutien, le nouveau maire, Bruno BESCHIZZA.
Jeudi, il a prévu de rassembler tout le personnel de l’UMP à 12 heures pour un « moment convivial ». Avant de partir, il a tenté d’attribuer des primes de départ à certains de ses proches. Selon nos informations, Éric CESARI se serait opposé au versement d’une prime de 15.000 euros à Brice RABASTE, chef de cabinet de COPE.
Samedi, le maire de Meaux est attendu au Salon du livre de Nice pour une conférence sur la guerre 14-18.
Et après ?
Le rendez-vous annuel de son club, Génération France, à la fin de l’été, n’est pas confirmé. De leur côté, les copéistes sont toujours persuadés que leur patron va être blanchi dans l’affaire Bygmalion. COPE a d’ailleurs fait savoir cette semaine à un élu qu’il n’avait nullement l’intention de protéger SARKOZY, dont la sincérité des comptes de campagne est mise en question.
« Je ne suis pas né de la dernière pluie, a expliqué COPE. Il peut se mettre le doigt dans l’œil. »
Un de ses amis n’exclut pas qu’il prétende une nouvelle fois… à la présidence de l’UMP.
Vous pouvez laisser une réponse.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.