CE QUE HOLLANDE ET L’ETAT FRANCAIS VEULENT CACHER: PHOTOS DES ARMES A L’URANIUM « APPAUVRI » UTILISEES AU MALI (Thierry LAMIREAU / lesoufflecestmavie.unblog.fr)
Ce que François HOLLANDE
et l’Etat français
veulent cacher:
Photos des armes
à l’URANIUM
« APPAUVRI »
utilisées au MALI
(Thierry LAMIREAU)
Voici quelques exemples d’armes contenant de l’URANIUM « APPAUVRI »
utilisées par la FRANCE
en AFGHANISTAN, en LIBYE et au MALI.
Ces armes vont plus vite, plus loin et pénètrent leurs « cibles » plus profondément.
Après pénétration, elles explosent et brûlent à de très hautes températures (4000°).
L’uranium métal contenu dans la flèche ou dans le corps des armes, en se consumant, libère alors tout un panel de très fines particules (de l’ordre des nanoparticules) radioactives ET chimiques qui polluent la terre, les eaux et l’air in situ et des régions voire des pays proches !
La morbidité et la mortalité sont ainsi induites sur les populations pour l’éternité si l’on prend en compte la durée de vie de certains éléments radioactifs.
Ces actions sont considérées par les instances internationales comme des CRIMES CONTRE L’HUMANITE !
L’Etat français MENT et garde une OMERTA TOTALE sur le sujet…
avec la complicité SCANDALEUSE de TOUS les médias !
Extrait de l’audition du PDG de Dassault, Eric Trappier, à la Commission de la Défense Nationale qui s’est tenue le 11 septembre 2013 sur le projet de loi de programmation militaire 2:
« Les opérations au Mali ont eu un impact sur le Qatar et les EAU. La capacité de la France à intervenir en premier, avec des matériels capables de traiter les cibles de manière précise – bien plus qu’en envoyant une centaine de Tomahawk dans la nature –, et d’y effectuer des missions longues – directement entre Saint-Dizier et le Mali – a été appréciée. Non seulement elle l’a été sur le plan politique – car n’importe quel pays n’a pas une telle capacité d’intervention –, mais elle l’a été aussi sur le plan des moyens matériels et de la faculté à opérer parfaitement les manœuvres. Cela s’est vu un peu partout dans le monde. L’opération au Mali a donc eu une influence positive sur l’image du Rafale, comme avant celle effectuée en Libye. »
Armements RAFALE au MALI AASM HAMMER
NOTA:
Certaines images ont été trouvées sur le site www.ffaa.net et d’autres sur des sites privés de militaires français que je ne citerai pas volontairement…on comprendra pourquoi.
Bombe AASM
L’armement air-sol modulaire (AASM) constitue la pierre angulaire du système d’armes air-sol du Rafale. Très précis, d’une grande flexibilité d’emploi, il permet l’engagement d’une importante variété de cibles dont celles fortement mobiles.
Caractéristiques techniques:
Longueur : 3,1 m
Masse : 340 kg
Portée : + 50 km
Mise en service : 2008
Emploi:
Décliné en trois versions (inertie-GPS, infrarouge et à capteur laser) l’AASM permet de détruire ou de neutraliser une grande variété d’objectifs dans des missions d’interdiction aérienne et d’appui aérien. Son propulseur autorise des tirs à longue distance et permet à l’aéronef de rester à distance d’une grande majorité de menaces sol-air.
Engagements opérationnels:
Sur les théâtres afghan, libyen et malien sa flexibilité d’emploi a permis la désignation d’objectifs avec les forces en coalition.
Sous ce sigle se cache le principal armement de frappe contre la terre depuis les airs utilisés depuis peu par l’Armée de l’Air et l’aviation navale. Les chasseurs-bombardiers français, principalement les Rafale, en ont tirés 225 sur les forces pro-Kadhafi l’année dernière, durant l’opération « Harmattan ». AASM (prononcer 2ASM) signifie Armement Air-Sol Modulaire. Sagem Défense et Sécurité, son concepteur et fabriquant, désigne cet armement sous l’appellation de Hammer, terme anglais signifiant « marteau » mais pour Sagem il s’agit d’un acronyme pour Highly Agile Modular Munition Extended Range. L’AASM se trouve être un véritable système d’arme constitué autour d’un bombe à chute-libre conventionnelle à laquelle a été greffé un système de guidage et un kit d’extension de portée. Avec l’AASM, la France dispose d’un armement situé entre la bombe guidée et le missile, cela pour un très bon rapport coût-efficacité et une précision redoutable.
Avec les missiles Scalp-EG et Apache, dédiés à la frappe dans la profondeur contre des objectifs stratégiques (terrains d’aviation, infrastructures) à distance de sécurité, l’AASM doit constituer l’armement air-sol tactique de référence de l’Armée de l’Air et la Marine Nationale. Ce type d’armement est unique en Europe. L’AASM a montré, depuis sa mise en service en 2007, toutes ses capacités, que ce soit en Afghanistan ou en Libye. Grâce à son système de guidage (par satellite, inertiel, infrarouge ou laser suivant les versions) la précision de l’AASM permet de minimiser les dommages collatéraux. Grâce à son kit d’augmentation de portée, un propulseur type moteur fusée au propergol solide, l’AASM peut être tirée à distance de sécurité et hors de portée des défenses aériennes adverses. En outre, sa capacité « tire et oubli » lui permet d’être totalement indépendante pendant son évolution vers sa cible, permettant à l’avion-lanceur d’engager une autre cible ou de dégager. Par ailleurs, elle peut être tirée par tous les temps, cela de jour comme de nuit.
La version de base de l’AASM est constituée autour d’une bombe type Mk82 de 250kg (BLU-111, BANG-250) et repose sur un système de guidage par satellite GPS et inertiel. Sa précision est décamétrique. L’AASM-250, ou SBU-38 (SBU, Smart Bomb Unit), présente une portée supérieure à 60km lorsqu’elle est tirée en haute altitude et une portée de 15km pour un tir à basse altitude. Sa masse est de 340kg pour une longueur de 3.1m. Dans cette version, la SBU-38 devient un équivalent propulsé de la GBU-38 JDAM américaine. Doté en plus d’un imageur infrarouge permettant un recalage des coordonnées de la cible en phase terminale, l’AASM-250 devient la SBU-54. La version INS/GPS+IR est en service depuis 2009. Dernière version en date, l’AASM-250 à guidage laser (ou SBU-64) est dédié à frapper les cibles mobiles ; à la manière d’une traditionnelle bombe à guidage laser, elle atteint sa cible en suivant un faisceau laser émis depuis l’avion-lanceur (nacelle ou pod de désignation laser) ou un tiers (autre appareil ou commando au sol). La SBU-64 a été testée avec succès par la Direction Générale de l’Armement le 31 mai dernier lors un tir de qualification, elle devrait prochainement équiper les forces.
La famille AASM est donc composée, pour l’heure, de trois différents systèmes de guidage : INS/GPS, INS/GPS+IR, et INS/GPS+Laser, cela autour d’une bombe de 250kg. D’autres corps de bombe peuvent disposer du kit AASM. En 2009, un Mirage 2000 à tiré un AASM constitué autour d’une bombe type Mk81 de 125 kg. A l’avenir, l’AASM doit équiper des bombes de 500kg (Mk83) et 1000kg (Mk84). Dès lors, la famille AASM, outre ses multiples systèmes de guidage, sera composée de multiples volumes.
Armement air-sol de niveau tactique, l’AASM est particulièrement adaptée au missions de soutien-aérien (CAS), de suppression des défenses aériennes ennemies (SEAD), de lutte antinavire, d’interdiction aérienne (AI), destruction des moyens aériens adverses au sol (OCA), ou toute frappe depuis les airs sur des cibles fixes ou mobiles. Sa précision lui permet même d’être employé dans des milieux urbains.
D’autres versions de l’AASM Hammer pourraient voir le jour dont des versions spécifiques pour la lutte antinavires, antiradars, la frappe contre des objectifs durcis et enfouis (pénétration accrue), à effets collatéraux réduits, à autodirecteur électromagnétique, à liaison de donnée, etc.
La Libye a été l’occasion de démontrer les capacités de cet armement de nouvelle génération. Le Maroc est le premier client export de l’AASM pour équiper ses Mirage F1. Avec la vente de Rafale à l’Inde, ce dernier pourrait acheter des AASM pour en équiper ses nouveaux chasseurs-bombardiers français. Car, en effet, le principal défaut de l’AASM réside en ce qu’elle ne peut être tirée qu’avec des avions de chez Dassault. Néanmoins, une possible intégration sur F-16 semble être en cours, ce qui élargirait considérablement le marché puisque le F-16 est le chasseur le plus répandu. A l’unité, l’AASM coûterait 350 000€ en France (coûts de développement compris) et 250 000€ sur le marché export.
Si le kit AASM est français, les bombes qu’il « customise » ne le sont pas. En effet, depuis la fermeture de la Société des ateliers mécaniques du Pont-sur-Sambre, la France ne produit plus ses propres bombes et est donc obligée de se fournir à l’étranger. Assemblée, l’AASM n’est donc pas 100% française… L’AASM reste cependant un produit français de qualité et « combat proven ».
Missile Air-Sol SCALP-EG
De par ses qualités intrinsèques, le missile de croisière SCALP-EG offre aux décideurs politiques et aux chefs militaires une grande flexibilité d’emploi associée à des effets militaires maîtrisés.
Caractéristiques techniques:
Longueur : 5,1 m
Masse : 1 300 kg
Vitesse : Mach 0,8 (1 000 km/h)
Portée : + 250 km
Capacité de pénétration : > 1 m de béton
Mise en service : 2002
Emploi:
Le SCALP-EG est un missile de croisière conçu pour des missions de neutralisation ou de destruction d’infrastructures durcies, voire enterrées, à haut intérêt tactique ou stratégique.
Engagements opérationnels
Opération Harmattan (Libye) : le missile a été mis en œuvre à partir des versions Air et Marine du Rafale et du Mirage 2000D contre des cibles de haute valeur telles que des dépôts de munition, des installations de maintenance et des centres de commandement. Pour sa première utilisation opérationnelle, le missile SCALP-EG a démontré toute son efficacité : capacité de vol en suivi de terrain, tir à distance de sécurité, charge conventionnelle perforante, précision métrique grâce à un système de détection et d’identification de l’objectif par imageur infrarouge, discrétion.
Expertise – Essais:
Le 24 octobre 2012, la Direction générale de l’armement (DGA) a réalisé avec succès le premier tir complet du missile de croisière naval (MdCN) en version sous-marine. Cette réalisation vient compléter les prestations de la DGA déjà réalisées au profit de la composante frappe dans la profondeur, notamment pour le missile SCALP-EG (missile de croisière aéroporté) emporté sous Rafale et Mirage 2000.
GBU-22
GBU-12
L’armement Air-Sol :
Le Rafale est équipé de la bombe à guidage laser Raytheon Paveway GBU12 et à partir de l’année 2009 du modèle GBU24.
Il est aussi équipé de la bombe guidée Sagem Défense Sécurité AASM en version GPS-INS ou GPS-INS + image terminale infra-rouge.
Le Rafale peut aussi emporter le missile de croisière MBDA SCALP-EG, dérivé du missile « Apache », à moyenne portée avec un guidage inertiel et infra-rouge autonome, doté d’un turboréacteur Microturbo TRI60-30 et d’une charge « broach » de 400 kg.
Le dernier armement Air-Sol du Rafale est le missile de croisière préstratégique EADS ASMP-A à moyenne portée, à guidage inertiel et doté d’un stratoréacteur. Il est armé d’une nouvelle tête nucléaire, la TNA.
Laser-Guided Bomb
GBU-12 de 225 kg
Les bombes à guigage laser, d’une précision mortelle, peuvent atteindre leurs cibles
avec une précision de quelques centimètres.
1/Le kit de Guidage
Montée en pointe, la tête chercheuse capte l’énergie laser émise par le pod de désignation puis réfléchie par la cible.
2/Ailerons de contrôle
L’équipement électronique de la bombe transmet les corrections de course à la voilure cruciforme (ailerons de contrôle) qui, se modifiant en cours de vol, corrige ainsi le trajectoire de la bombe.
3/Charge
La GBU-12 emporte avec elle 89 kg d’explosif surpuissant.
4/L’empennage cruciforme
L’empennage cruciforme veille à la trajectoire après le lancement et au contrôle du tangage en cours de vol. Il permet à la bombe de planer sur des kilomètres en fonction de la vitesse et de l’altitude de lancement.
UNE BOMBE , UN BUT
Une Bombe à Guidage Laser (BGL ou LGB en anglais) permet d’augmenter l’efficacité des raids en garantissant un quasi infaillible « coup au but » à chaque tir. Lorsqu’elle est larguée par un chasseur furtif de type RAFALE, une telle bombe devient une arme stratégique, capable de frapper au coeur même des défenses ennemies en détruisant les installations essentielles, par exemples les bunkers de commandement avec la capacité de l’URANIUM « APPAUVRI ». Cette arme à un atout supplémentaire : l’ennemie ne peut pas savoir exactement où elle va frapper et, par conséquent, est incapable de contres-mesures. La limite des BGL tient à la faculté plus ou moins fiable du pod de désignation situé sous l’avion d’acquérir sa cible de jour comme de nuit, quel que soit le temps.
Largage de la bombe
-L’avion lanceur peut acquérir la cible soit visuellement soit par désignation infrarouge en fonction des conditions météo. La distance de la cible est mesurée par télémètre laser.
-Après le largage, la BGL vole vers sa cible. L’empennage cruciforme permet les corrections de vol nécessaires pour maintenir la position idéale sur plusieurs kilomètres.
-Quelques secondes avant l’impact, le vecteur de guidage illumine la cible. Le rayonnement laser réfléchi est pris en compte par la tête chercheuse de la bombe.
-Les ultimes corrections sont données à la bombe par le vecteur de guidage pour qu’elle fasse mouche avec le maximum de précision.
GBU-12
GBU-12
GBU-12 et MICA
GBU-12
Au Mali, les Atlantique 2 servent aussi de bombardiers
Selon plusieurs sources, les avions de patrouille maritime Atlantique 2 déployés sur le théâtre malien ont tiré à plusieurs reprises des bombes à guidage laser sur des positions terroristes.
La preuve par l’image:
(Origine: source privée militaire)
Préparation de mise en place de GBU-12 sous un Atlantique 2 avant le départ pour une « mission » dans le MALI le 18 février 2013.
Bombes SAMP MK 82 transformées en GBU-12
pour être installées sous un Atlantique 2
et être larguées sur le Mali.
(Origine: Source privée militaire)
Le 10 octobre 2011, la Société des Ateliers Mécaniques de Pont sur Sambre (SAMP), située près de Lille en France, a arrêté la production de corps de bombes en raison de la diminution des commandes nationales par la DGA.
La SAMP a construit les corps de bombes Mk.81 (125 kg), Mk.82 (250 kg) et Mk.83 (500 kg) aux normes de l’OTAN, qui étaient ensuite remplies d’explosifs ERDX 109 par la société EURENCO. Mais la SAMP n’a jamais diversifié sa clientèle et vendu à un autre grand groupe de défense que la France, même après la commande de 3000 bombes par les États-Unis.
En 2006, la SAMP a commencé à travailler sur les bombes pénétrantes Mk.82 P250, qui auraient eu le même effet que les bombes américaines Mk.84 avec la bombe pénétrante BLU 109. Malgré les promesses d’achat, aucun contrat ne s’est jamais conclu. Et sans commandes nationales, les clients étrangers ne voulaient pas non plus l’acheter. Au lieu de cela, la France a dépensé 8 millions d’euros en 2009 pour l’achat de 1 200 bombes Mk82 à la SAMP comprenant le financement d’un contrat d’études pour le développement de nouvelles munitions. Cette injection financière a permis à la SAMP de continuer sa production durant deux ans.
En 2011, l’arrêt de la SAMP laisse la France dépourvue de fabricant de corps de bombes, l’orientant de fait vers les bombes américaines de la série Mk.80.
C’est en 2008, à l’issue d’une expérimentation opérationnelle en Afrique, que l’Atlantique 2 a été certifié pour la mise en œuvre de bombes GBU 12, venant compléter l’armement pouvant être déjà embarqué dans sa vaste soute (jusqu’à deux missiles antinavire Exocet et six torpilles MU90). Car, au-delà des missions maritimes pour lesquelles il a été initialement conçu (lutte antinavire et anti-sous-marine, protection des approches maritimes, surveillance et sauvetage en mer), l’appareil est, également largement utilisé en zones terrestres, plus particulièrement sur le continent africain. Il intervient dans le cadre de missions de renseignement, de recherche d’objectifs et de guidage des raids de la chasse (voir notre article sur les aspects de ces missions au Mali). Et, dans cette perspective, il s’est avéré utile de lui offrir une capacité air-sol afin, par exemple, de frapper des « cibles d’opportunité » sans attendre l’arrivée de chasseurs ou pour pallier l’absence de ceux-ci. L’ATL 2 est donc, depuis plusieurs années, capable de tirer des bombes de 250 kilos à guidage laser. L’avion n’est, toutefois, pas encore équipé de système de désignation d’objectif, la cible devant être éclairée depuis des unités au sol ou un autre aéronef doté du système adéquat. Il sera en revanche, à l’avenir, capable de mettre en œuvre de manière totalement autonome des GBU 12, l’intégration d’une désignation d’objectif laser étant prévue dans le programme de modernisation de l’Atlantique 2, qui doit être notifié cette année avec une livraison du premier ATL2 rénové en 2017.
Pour mémoire, la Marine Nationale compte 22 avions de patrouille maritime répartis au sein des flottilles 21F et 23F, basés à Lorient Lann Bihoué. Dans le cadre d’une opération comme SERVAL, au Mali, une demi-douzaine de ces appareils peut être mobilisée.
Source: http://www.meretmarine.com/fr/content/au-mali-les-atlantique-2-servent-aussi-de-bombardiers
GBU-24
GBU-28
La GBU-28 spéciale est appelée « bunker buster ». Développée en hâte lors de la guerre du Golfe de 1991, la fabrication a débuté le 1er février pour une première livraison le 16 février, le premier essai a lieu le 20 février, la livraison de deux bombes sur le théâtre des opérations le 27 et elles sont larguées le jour même. Son corps est dérivé d’un fût de canon d’artillerie de 8 pouces (203 mm). C’est donc avant tout une grosse masse métallique qui, avec son énergie cinétique, est capable de pénétrer jusqu’à 30 m sous terre ou 6 m de béton avant d’exploser3.
La charge de la bombe comprend 286 kg (630 lb) d’un explosif puissant ; la nature du reste de la charge est classé secret défense, mais est soupçonnée d’être principalement constituée d’uranium appauvri. Le corps de bombe sans kit de guidage est le pénétrateur BLU-113. (Source Wikipédia)
GBU-16
Commandée à 450 exemplaires par l’Armée Française en 1999, 2000 et 2001.
- Mise en service : 1983
- Poids : 499 kg
- Charge : Mk-83 204 kg
- Rayon d’action : 12,8 km
- Précision : 9 m
MICA MBDA
MICA MBDA
MICA MBDA
MICA MBDA
Bombes GBU 22
Bombes GBU 49
Opération SERVAL:
26 janvier 2013
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