ISRAËL A ATTAQUE UN DEPÔT DE MUNITIONS SYRIEN LE 5 JUILLET 2013 AVEC DES ARMES A L’URANIUM APPAUVRI ! (http://info-aviation.com/?p=15497 / acdn.net / + Thierry LAMIREAU / lesoufflecestmavie.unblog.fr)
La Syrie attaquée par des bombes guidées
contenant de l’uranium « appauvri » !
L’attaque du 5 juillet 2013 sur un dépôt de munitions près de Lattaquié en Syrie était beaucoup plus vaste qu’on ne le pensait selon une imagerie satellite du groupe IHS, ce qui suggère qu’elle n’a pas été lancée depuis un sous-marin comme le prétendaient certaines sources.
L’attaque avait été révélée par des sources de l’opposition syrienne qui ont déclaré qu’un aéronef non identifié et un navire de la marine israélienne avaient attaqué une installation utilisée pour stocker des missiles anti-navires P-800 Yakhont. CNN et le New York Times ont ensuite évoqué une attaque aérienne tandis que le Sunday Times affirmait qu’un sous-marin israélien de la classe Dolphin avait mené l’attaque.
Comme d’habitude, les responsables israéliens n’ont pas confirmé ou nié la responsabilité, mais ont réaffirmé leur volonté de détruire les armes de pointe que la Syrie essayait de transférer au groupe libanais Hezbollah.
Cependant, les photos d’archives montrent que le bâtiment a été construit entre juillet 2003 et décembre 2004 et que les trois rampes de lancement de 23 m de diamètre sont encore plus âgés, de sorte que le site n’a pas été construit comme un établissement dédié aux missiles Yakhonts que la Russie a livré à la Syrie à partir de 2010 et 2011. Les routes d’accès aux rampes de lancement sont encombrées indiquant qu’elles n’étaient plus utilisées.
En revanche, deux nouveaux grands dépôts qui ont été construits au nord-est, début 2011, restent intacts. L’imagerie montre beaucoup d’activité sur ces sites à la suite du bombardement.
Elle montre également que 16 bunkers dans une installation de stockage de munitions à l’est du bâtiment détruit n’existent plus, probablement parce qu’ils ont été rasés par les Syriens, après avoir été endommagés pendant l’attaque. Si ces bunkers ont été ciblés, cela indique qu’un grand nombre de munitions à guidage de précision à l’uranium « appauvri » ont été utilisées.
La photo satellite révélée par IHS Jane montre un bâtiment de 80×20 m servant visiblement de Bastion de défense côtière pour le système Yakhont
Le type de missiles d’attaque au sol qui sont lancés par les sous-marins de la classe Dolphin d’Israël n’a pas été révélé, mais l’option la plus probable est qu’ils sont capables de lancer une version à guidage GPS du Harpoon UGM-84 à partir de leurs six tubes lance-torpilles 553mm.
Le nombre d’armes de précision apparemment utilisées contre l’installation de stockage syrienne le 5 juillet 2013 suggère qu’elles ont été lancées à partir d’avions, plutôt que d’un sous-marin.
Il pourrait s’agir de petites bombes GBU-39 SDB (Small Diameter Bomb) qui sont larguées depuis un F-15E ou un F-16 et utilisées pour détruire les bunkers à une distance d’environ 110 km en limitant les dommages co-latéraux.
Ces bombes sont à l’URANIUM « APPAUVRI » !
Un truc bien dégueulasse qui pollue pour l’éternité les sols, les eaux, l’air et l’ADN des populations autochtones !
Totalement illégal selon les Lois Internationales…mais que tous les Etats utilisent !…comme la France par exemple !
La SDB-1 présente une autre caractéristique que la fiche technique de Boeing et la presse israélienne se gardent de préciser. En effet, sur les 93 kg attribués par Boeing à la tête (warhead), 23 sont dus à l’explosif proprement dit, de haute performance. Le reste, soit une cinquantaine de kilos, n’est autre que de l’Uranium « Appauvri. » Celui-ci présente un avantage supplémentaire : sa haute capacité de pénétration. Il permet à la GBU-39 de percer au moins 90 cm de béton armé (ou plusieurs mètres de terre) avant d’exploser.
Le dard des bombes GBU-39 est à l’Uranium Appauvri, disions-nous. Mais appauvri en U235 et enrichi en U238, dont la demi-vie radioactive est de 4,5 milliards d’années.
L’UA est un redoutable poison chimique et radiologique qui brûle aisément à l’impact et se transforme en particules radioactives extrêmement petites (particules nanométriques de l’ordre du millionième de millimètre) qui échappent à toute barrière et tout type de masque à gaz. Les produits de ces combustions répétées d’uranium voyagent avec les mouvements d’air, contaminent l’atmosphère et pénètrent dans les organismes via la respiration, l’ingestion ou les moindres blessures. Ainsi, la majeure partie de l’uranium se retrouve sous forme d’oxyde d’uranium radioactif invisible dans l’atmosphère que les populations respirent, tandis qu’une autre partie contamine les sols, les sous-sols et les nappes phréatiques.
Les conséquences de l’utilisation de bombes à l’UA en Afghanistan et en Irak sont parfaitement connues, démontrées et dénoncées par de nombreux scientifiques - sinon tous, excepté ceux dont le salaire émarge aux budgets des armées américaine, française, israélienne… et autres. Elles ont été rendues dramatiquement visibles par les photos insoutenables de nouveaux nés malformés.
On imagine sans peine les conséquences catastrophiques que de tels bombardements auront sur la population de SYRIE : cancers, malformations congénitales, maladies du système immunitaire… et ce d’autant plus qu’elle souffre de malnutrition chronique et de manque de soins, en raison notamment d’une guerre sans fin…
Thierry LAMIREAU
lesoufflecestmavie
Avec info-aviation.com et acdn.net
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