« LIBERTE » (PAUL ELUARD / « Poésies et Vérités » / 1942): MAGNIFIQUE MONTAGE VIDEO + BONUS MERVEILLEUX: PAUL ELUARD LISANT LUI-MÊME SON POEME !

« Liberté »

Paul ELUARD

Paul Éluard , de son vrai nom Eugène Émile Paul Grindel, (il choisit à l’âge de vingt et un ans, le nom de Paul Éluard, hérité de sa grand-mère, Félicie), était un poète français.

Obligé d’interrompre ses études pour rétablir sa santé gravement menacée (1912), il fut néanmoins mobilisé en 1914, puis publia ses premiers poèmes, marqués par son adhésion aux idées pacifistes (le Devoir et l’Inquiétude, 1917; Poèmes pour la paix, 1918). Au lendemain de la Grande Guerre, il fit la connaissance de Breton, d’Aragon, de Soupault, de Tzara, de Magritte, de Man Ray, ou encore de Miró, et participa au mouvement Dada (les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux, 1920; les Nécessités de la vie et les Conséquences des rêves, 1921), avant d’être admis dans le groupe de Littérature et de s’engager dans l’aventure surréaliste (Mourir, de ne ne pas mourir, 1924).

Au cours d’un voyage autour du monde, il fit la rencontre de Maria Benz (Nusch), qui devint sa muse et qui lui inspira certains de ses plus beaux poèmes d’amour (Capitale de la douleur, 1926; l’Amour, la poésie, 1929; la Vie immédiate, 1932).

Entré au Parti communiste en 1926, il en fut exclu en 1933, mais n’en milita pas moins pour une poésie sociale et accessible à tous (les Yeux fertiles, 1936; Cours naturel, 1938; Donner à voir, 1939), prit position en faveur de l’Espagne républicaine (la Victoire de Guernica, 1938), puis, s’engagea dans la Résistance et publia plusieurs ouvrages dans la clandestinité (parmi lesquels Poésie et Vérité 42, 1942, qui comprend le célèbre poème « Liberté »; les Sept Poèmes d’amour et de guerre, 1943; les Armes de la douleur, 1944). (« Poésies et Vérités » / 1942)

Musique: « Zoe and Kate watch » / Philippe GLASS


Publié dans : REFLEXIONS PERSONNELLES |le 13 mars, 2013 |2 Commentaires »

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2 Commentaires Commenter.

  1. le 15 mars 2013 à 14 h 52 min Patricia Perez alias Wani Pita écrit:

    Dans les limbes de ton sillon doux, poétique et perspicace, j’écris ton nom, en écho…
    Patricia Perez alias Wani Pita

    Répondre

  2. le 13 mars 2013 à 22 h 16 min apprentiecharpente.unblog.fr écrit:

    trop beau ce poême avec cette musique….

    Répondre

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