FILLON / COPE: UNE TEMPÊTE DANS UN VERRE D’EAU ! (Thierry LAMIREAU)

FILLON / COPE:

Une tempête dans un verre d’eau !

FILLON / COPE: UNE TEMPÊTE DANS UN VERRE D'EAU ! (Thierry LAMIREAU) dans REFLEXIONS PERSONNELLES copeL’UMP s’agite avec le feuilleton « FILLON / COPE »

comme si le monde entier était à leurs pieds !

Le microcosme médiatico-politique s’agite

alors que la Nation FRANCE prend du gîte !

Les lieutenants de SARKOZY

affûtent leurs armes

pour 2017.

Et petit SARKOZY, lui, il va aller faire…

une petite visite chez le Juge…

normal…c’est un truand…comme les autres !

Ces petits minables ne voient pas plus loin que leur nombril…

L’ URGENCE est ailleurs…

mais ils sont « aveugles »…dans leur minuscule cour de récré !

Oh, les mecs…vos conneries on s’en fout !                                                                                

COPE/FILLON: histoire d’une haine

PARIS (Sipa) — Deux blocs de détermination face à face: la haine entre Jean-François Copé et François Fillon, longtemps larvée, a explosé depuis le scrutin contesté de dimanche, s’affichant désormais sans retenue. C’est l’aboutissement d’une rivalité politique certes, mais aussi de longues années de mépris réciproque.

Car au-delà de la lutte de pouvoir entre deux hommes qui peuvent tous deux espérer devenir « le » nouveau champion de la droite après Nicolas Sarkozy, la guerre Copé-Fillon est aussi personnelle. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ces deux hommes ne s’aiment pas: Jean-François Copé juge François Fillon sournois, autant François Fillon le considère arriviste et démagogue. En un mot: dangereux.

Longtemps, le « bébé Chirac » Copé et le séguiniste Fillon, engagé dans à peu près tous les conflits de son mentor avec Jacques Chirac, n’ont fait que se croiser. Après la victoire de Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2007, le premier s’impose, envers et contre le chef de l’Etat, à la tête du groupe UMP à l’Assemblée Nationale, quand le second connaît la consécration avec sa nomination à Matignon. Il leur faut dès lors apprendre à travailler ensemble.

Les réunions hebdomadaires des ténors de la majorité autour de Nicolas Sarkozy à l’Elysée seront pendant cinq ans le théâtre de leur affrontement à fleurets mouchetés, dont certains épisodes déborderont régulièrement le huis clos de ces réunions.

« On ne peut pas jouer collectif ? »

En février 2011, leur rivalité surgit dans le domaine public. Alors que Jean-François Copé s’est lancé dans l’organisation d’un débat contesté sur l’islam à l’UMP, François Fillon prend ses distances sur RTL. « Si ce débat est centré sur l’islam, s’il devait conduire à stigmatiser les musulmans, je m’y opposerais », lâche-t-il. Jean-François Copé est furieux.

Sa colère explosera sur un plateau de télévision le 29 mars 2011, alors que François Fillon vient de se démarquer de la stratégie de « ni-ni » (ni front républicain ni vote FN) pour le second tour des élections cantonales. « Il y a en a -disons les choses- qui ont trouvé l’occasion d’une posture », lance Jean-François Copé sur Canal +. Et d’ajouter, visiblement furieux: « on ne peut pas jouer collectif, une fois ? » Il faudra toute l’autorité de Nicolas Sarkozy pour calmer la tempête politique.

Pour préserver l’unité de la majorité et les chances de Nicolas Sarkozy en 2012, le conflit restera ensuite latent. Mais en coulisses, les coups pleuvent. Proche de Jean-François Copé, l’ex-ministre Rachida Dati aura ainsi la dent dure contre François Fillon, dont elle conteste violemment l’arrivée à Paris pour les législatives.

Et si les deux hommes ont pris garde lors de leur unique débat télévisé de la campagne pour la présidence de l’UMP de ne pas s’attaquer frontalement -les militants n’aiment pas ça-, Jean-François Copé n’a guère ménagé son rival lors de ses meetings, le qualifiant de « Hollande de droite » ou de « candidat des barons ». Dans les derniers jours de la campagne, l’ »inénervable » François Fillon avait fini par durcir le ton à son tour, en critiquant « les virages à droite » de son rival, traité de « gladiateur » ou de « vis-à-vis remuant d’Harlem Désir, de Marine Le Pen ou de Jean-Luc Mélenchon ».

Avec un score au final serré, des résultats contestés dans certains bureaux de vote et deux hommes qui jouent une grande partie de leur avenir politique, la rivalité a donc très vite tourné à la guerre ouverte. Et visiblement désormais, tous les coups sont permis.

(Sipa / 22.11.2012 17h50)  

Publié dans : REFLEXIONS PERSONNELLES |le 22 novembre, 2012 |Pas de Commentaires »

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