ATTENTION DANGER ! LA COLLECTE DES ETHYLOTESTS USAGES VIA UNE FILIERE SPECIFIQUE EST ENVISAGEE…LA REPONSE DU MINISTERE DE L’ECOLOGIE EST CRIMINELLE ET SCANDALEUSE ! (Thierry LAMIREAU)
La collecte des éthylotests usagés via une filière spécifique est envisagée
PARIS – Le Ministère de l’Ecologie a indiqué, ce mardi 17 juillet 2012, envisager la possibilité que les éthylotests, désormais obligatoires dans les voitures, soient collectés après usage via une filière spécifique, et non jetés dans une simple poubelle, en raison d’une substance toxique qu’ils contiennent.
Le ministère a été saisi d’une question en ce sens par l’ONG Robin des Bois qui, en fin de semaine dernière, avait mis en avant les dangers pour l’environnement et pour la santé du dichromate de potassium, une substance classée cancérigène contenue dans les éthylotests chimiques à usage unique.
Compte tenu de la très faible quantité (de cette substance dans un éthylotest), une ingestion accidentelle n’exposerait qu’à une irritation buccale ou des muqueuses, a-t-on rassuré au Ministère de l’Ecologie.
Le sujet du traitement des éthylotests usagés est toutefois une question sérieuse, reconnaît-on au ministère de Delphine Batho.
On réfléchit à la meilleure filière de déchets, qui serait vraisemblablement la nouvelle filière des Déchets Diffus Spécifiques (DDS), une filière créée en début d’année pour collecter les déchets ménagers issus de produits présentant un risque pour la santé et l’environnement, tels que des solvants, peintures, vernis, extincteurs, a-t-on précisé de même source.
C’est une filière nouvelle, en cours de constitution, il faut qu’on évalue d’abord sa capacité d’absorption, a-t-on ajouté.
Depuis le 1er juillet 2012, chaque véhicule à moteur circulant sur les routes françaises, à l’exception des cyclomoteurs (moins de 50 cm3 et 45 km/h maximum), devra être équipé d’un éthylotest chimique ou électronique.
En cas d’infraction, la sanction sera une amende de 11 euros, qui n’entrera en vigueur qu’au 1er novembre 2012.
Selon Robin des Bois, le marché annuel des éthylotests chimiques, les moins chers, pourrait représenter 80 millions d’unités vendues par an avec cette nouvelle obligation.
(©AFP / 17 juillet 2012 17h13)
Après avoir soufflé dans le ballon, que faire de son éthylotest usagé?
PARIS – Désormais obligatoires, les éthylotests attendus par millions inquiètent les défenseurs de la nature à cause d’une substance classée cancérigène présente dans les ballons à usage unique, qui pourraient être collectés après utilisation, par précaution, via une filière spécifique.
Quelque 38 millions de voitures en France, deux éthylotests recommandés par véhicule et un produit périmé au bout d’un ou deux ans: l’équation fait saliver les fabricants de ballons à usage unique mais inquiète l’ONG Robin des Bois.
Cela pourrait représenter 80 millions d’unités par an, selon son président Jacky Bonnemains, qui a écrit à la ministre de l’Ecologie Delphine Batho.
Ces éthylotests chimiques contiennent du dichromate de potassium, une substance classée cancérigène pour l’homme et très toxique pour les organismes aquatiques, a-t-il ajouté. Il pointe notamment le risque pour les enfants qui s’amuseraient avec les ballons mais aussi pour la nature après usage: mis en décharge, ils pourraient à terme polluer les eaux.
Pour l’association, pas question de jeter ces produits dans une simple poubelle, comme le recommanderaient les fabricants: il faut les collecter comme c’est le cas pour les piles ou les ampoules basse consommation.
Le ministère de l’Ecologie a répondu mardi réfléchir à la possibilité de le faire via une nouvelle filière des Déchets diffus spécifiques (DDS). Celle-ci a été créée début 2012 pour collecter les déchets ménagers issus de produits présentant un risque pour la santé et l’environnement (solvants, peintures, vernis, extincteurs).
C’est une filière nouvelle, en cours de constitution, il faut qu’on évalue d’abord sa capacité d’absorption, a-t-on précisé.
Du point de vue sanitaire, compte tenu de la très faible quantité (de chlorure de potassium dans un éthylotest), une ingestion accidentelle n’exposerait qu’à une irritation buccale ou des muqueuses, a néanmoins rassuré le ministère.
Sujet neuf
Les éthylotests, chimiques ou électroniques, sont obligatoires depuis le 1er juillet 2012 pour chaque véhicule à moteur circulant sur les routes françaises, à l’exception des cyclomoteurs (moins de 50 cm3 et 45 km/h maximum).
La sanction en cas d’infraction — une amende de 11 euros — n’entrera toutefois en vigueur qu’au 1er novembre 2012.
Le marché des éthylotests chimiques, qui seront les plus répandus en raison de leur prix (autour de 1,50 euro), est tenu par deux fabricants, les seuls dont les appareils sont homologués aux normes françaises.
La société héraultaise Contralco, l’un d’entre eux, avait démenti la semaine dernière la dangerosité de ses produits.
Le groupe avait notamment indiqué que ses éthylotests à usage unique contenaient une teneur en Chrome VI, un composé du dichromate de potassium, 500 fois inférieure aux chiffres avancés à l’origine par Robin des Bois.
Ce composé possède aussi la propriété de se transformer rapidement au contact de l’air en chrome III, dont l’impact environnemental est réduit, avait souligné son directeur commercial, Guillaume Neau.
Le sujet est neuf. Les experts de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSES) ne se sont jamais penchés sur la question des éthylotests.
Un organisme réunissant des chimistes rattaché à la Maison de la Chimie, Chimie et Société, a également demandé, avec la Société Chimique de France, que soient traités spécifiquement les éthylotests usagés.
Ce qui nous a fait réagir, c’est la quantité. Jusqu’ici, c’était un produit confidentiel utilisé par la gendarmerie et la police, a expliqué à l’AFP Lydie Valade, directrice de recherche au CNRS, qui préside Chimie et Société. Et de conseiller, pour éviter tout problème avec les enfants, de stocker ces ballons dans le coffre plutôt que dans la boîte à gants.
(©AFP / 17 juillet 2012 19h29)
COMMENTAIRES:
(Le Souffle c’est ma Vie / T.LAMIREAU)
Le Ministère de l’Ecologie a une position HABITUELLE et CRIMINELLE !
HABITUELLE car, comme pour le nucléaire, ces fonctionnaires de l’Etat « jouent » sur le tableau des « faibles doses » pour dire :
« Compte tenu de la très faible quantité (de cette substance dans un éthylotest), une ingestion accidentelle n’exposerait qu’à une irritation buccale ou des muqueuses, a-t-on rassuré au Ministère de l’Ecologie. »
Sur quels travaux de recherche et faits par qui se repose le Ministère pour avoir une telle certitude et affirmation ?
Et d’un autre côté le Ministère de l’Ecologie indique:
« Le sujet du traitement des éthylotests usagés est toutefois une question sérieuse, reconnaît-on au ministère de Delphine Batho. »
Le dichromate de potassium est classé « substance cancérigène » par le Centre International de Recherche sur le Cancer !
Il est donc CRIMINEL de permettre une utilisation de ces ethylotests !
Comme pour le milieu PRO-NUCLEAIRE, nous avons le même type de raisonnement !
BRAVES GENS
LES FAIBLES DOSES
SONT SANS RISQUES !
CECI EST UN MENSONGE TOTAL
CAR LES RECHERCHES HONNÊTES
PROUVENT LE CONTRAIRE…
SURTOUT CHEZ LES PERSONNES À L’IMMUNITE FRAGILE !
Je suggère donc à l’ONG Robin Des Bois,
de porter cette affaire devant la justice !
Je propose à tout citoyen
de refuser d’acheter de tels ethylotests !
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