DES NAVIRES DE GUERRE RUSSES EN ROUTE VERS LE PORT SYRIEN DE TARTOUS…UNE GUERRE IMMINENTE ?…
ALERTE – Des navires de guerre russes en route vers le port syrien de TARTOUS…
Une guerre imminente ?…
MOSCOU – Un groupe de navires de guerre russes, avec à leur tête l’Admiral Tchabanenko, un bâtiment de lutte anti-sous-marine, a quitté mardi Severomorsk, près de Mourmansk (nord-ouest), pour le port syrien de Tartous, seule base navale russe en Méditerranée, a annoncé Interfax.
Trois navires de transport de troupes ont quitté Severomorsk en compagnie de l’Admiral Tchabanenko, et deux autres bâtiments devaient les rejoindre au cours de leur périple, selon l’agence de presse russe citant une source militaro-diplomatique.
(©AFP / 10 juillet 2012 13h04)
Navires de guerre russes à Tartous en Syrie et autres petits bateaux …
Des bâtiments de la Marine russe ont accosté dimanche au port de Tartous (ouest de la Syrie) pour procéder à un réapprovisionnement, a annoncé dimanche un représentant du département de l’Information et de la Presse du ministère russe de la Défense.
« Le navire anti-sous-marin Admiral-Tchebanenko, le patrouilleur Ladny, le pétrolier Lena sont entrés dans le port de Tartous, tandis que le porte-avions Admiral Kouznetsov et le remorqueur Nikolaï Tchiker sont restés en rade extérieure du port »
Le navire de guerre canadien Charlottetown a quitté Halifax pour aller relever le NCSM Vancouver et se joindre aux autres bateaux de l’OTAN qui participent à une mission de lutte antiterrorisme en Méditerranée.
Le NCSM Charlottetown sera déployé jusqu’à l’été 2012. Le navire était d’ailleurs revenu de Méditerranée en septembre 2011. Son équipage, qui se prépare à cette mission depuis des mois, a été entièrement remplacé.
«Grâce à la présence du NCSM Charlottetown en Méditerranée pour l’opération «Active Endeavour», le gouvernement du Canada a une capacité d’intervention si une crise se déclenchait dans la région», a déclaré Greg Kerr, député fédéral conservateur de la circonscription de West Nova en Nouvelle-Écosse.
Précision:
Dans le cadre de l’opération « Active Endeavour », des navires de l’OTAN effectuent des missions de patrouille en Méditerranée où ils surveillent le trafic maritime afin de détecter et de décourager les activités terroristes, et d’assurer une protection contre ces activités.
Cette opération, qui s’inscrit dans le droit fil de la réaction immédiate de l’OTAN aux attentats terroristes perpétrés le 11 septembre 2001 contre les États-Unis, est prolongée en raison de son succès.
L’Alliance ayant précisé son rôle dans la lutte contre le terrorisme au cours des années suivantes, le mandat de l’opération a été régulièrement réexaminé et élargi.
Grâce à l’expérience acquise dans le cadre de l’opération Active Endeavour, l’Alliance a atteint un niveau inégalé de savoir-faire dans la dissuasion d’activités de terrorisme maritime en Méditerranée. Ces compétences peuvent s’appliquer dans le cadre d’autres activités internationales générales de lutte contre le terrorisme – et en particulier de lutte contre la prolifération et le trafic d’armes de destruction massive – ainsi que dans le cadre d’une coopération renforcée avec des pays non membres de l’OTAN et des organismes civils.
La marine britannique a décidé de déployer dans le golfe Persique son plus puissant bâtiment de surface, le HMS Daring Long de 152.4 mètres pour un déplacement de 7450 tonnes en charge, le HMS Daring est spécialisé dans la défense aérienne. A ce titre, il dispose de puissants radars et autres armements sophistiqués. Une présence navale « cruciale pour garder le détroit d’Ormuz ouvert »
En dehors de ces unités, la marine britannique positionne également dans le golfe une force significative en matière de guerre des mines. Ainsi, quatre bâtiments spécialisés sont présents dans la région depuis 5 ans. Il s’agit, en ce moment, des HMS Ramsey et HMS Pembroke, du type Sandown, ainsi que les HMS Middleton et HMS Quorn, du type Hunt. Ces chasseurs de mines seraient notamment employés si, d’aventure, l’Iran décidait de bloquer le détroit d’Ormuz, une menace que Téhéran a de nouveau proféré ces dernières semaines. Vital pour l’économie internationale, et notamment européenne, cet étroit passage entre le golfe et l’océan Indien, par où transite plus d’un tiers du pétrole mondial, est considéré comme stratégique par le Royaume-Uni et ses alliés. C’est pourquoi Londres maintient dans le secteur une force navale importante, qui travaille en coopération avec les pays alliés du Golfe et les autres puissances occidentales présentes sur place (notamment les Etats-Unis et la France). « Notre présence navale commune dans le golfe, que nos partenaires régionaux apprécient beaucoup, est la clé pour garder le détroit d’Ormuz ouvert au commerce international », a déclaré le ministre britannique de la Défense. « La perturbation des approvisionnements en pétrole transitant par le détroit menacerait la croissance économique régionale et mondiale. Toute tentative iranienne pour fermer Ormuz serait illégale et échouerait », a prévenu Philip Hammond. Une déclaration qui fait suite à celle de son homologue américain, Leon Panetta, qui a indiqué le week-end dernier que les Etats-Unis répondraient par la force à un éventuel blocage du détroit.
Par Aschkel pour Israël-flash –
source :
meretmarine -nato-canoe-rian.ru
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Un sous-marin lance-missiles de croisière américain entre en Méditerranée
(11 juillet 2012)
Le SSGN qui a franchi dimanche le détroit de Gibraltar
crédits : MARINE NATIONALE |
10/07/2012
- Longs de 170.7 mètres et affichant un déplacement de 18.750 tonnes en plongée, les USS Ohio, USS Michigan, USS Florida et USS Georgia sont d’anciens sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SSBN) du type Ohio, reconvertis à partir de 2002.
- A cet effet, les 22 des 24 tubes précédemment utilisés pour les missiles balistiques Trident accueillent désormais des modules de lancement pour Tomahawk, soit 7 missiles par tube, et donc un total de 154 Tomahawk embarqués (engins capables de détruire une cible terrestre durcie à plus de 1500 kilomètres).
- Les deux autres tubes Trident, situés au plus près du kiosque, ont, quant à eux, été aménagés pour accueillir des équipements destinés aux commandos.
- Les SSGN ont, en effet, été également pensés pour mener des opérations spéciales et peuvent embarquer, en plus de l’équipage (154 hommes), 66 commandos SEAL.
- En matière électronique, la refonte a porté sur une modernisation des moyens, avec par exemple l’ajout de mâts optroniques et de nouveaux systèmes de communication, notamment satellitaires.
- Enfin, pour leur autodéfense, les sous-marins ont conservé leurs quatre tubes de 533mm, qui mettent en oeuvre des torpilles Mk48.
L’USS Dwight D. Eisenhower (© : MARINE NATIONALE) Un coup de pression sur la Syrie et l’Iran ? Disposant d’une puissance de feu considérable, ces sous-marins constituent une véritable arme de dissuasion. Et, l’an dernier, un bâtiment de ce type a été utilisé pour la première fois lors de l’intervention militaire, en l’occurence en Libye. Ainsi, en mars 2011, dans le cadre de l’opération « Odyssey Dawn », l’USS Florida a lancé à lui seul plus de 90 missiles Tomahawk sur les installations des forces fidèles au colonel Kadhafi.
L’USS Enterprise et son groupe (© : US NAVY)
Départ d’un cargo russe chargé d’hélicoptères destinés à la Syrie
MOSCOU – Le cargo russe Alaed, qui avait dû faire demi-tour en juin au large de l’Ecosse sans avoir pu livrer à la Syrie des hélicoptères remis en état par la Russie, a quitté le port de Mourmansk, a annoncé vendredi l’agence publique russe chargée des exportations militaires.
Les hélicoptères MI-25 destinés à être retournés à la Syrie après réparation se trouvent comme auparavant à bord de l’Alaed, qui navigue du port de Mourmansk (nord-ouest, sur l’océan Arctique, ndlr) vers un des ports de la Fédération de Russie, indique Rosoboronexport dans un communiqué.
Le navire est parti mardi de ce port, où il était en rade depuis le 25 juin, vers la mer Baltique, ce qui l’oblige à passer au large de la Finlande et de la Norvège, a expliqué de son côté l’administration portuaire de Mourmansk, citée par l’agence de presse Interfax.
L’Alaed, qui bat pavillon russe et appartient à la compagnie privée Femco, devait rejoindre le port de Baltiisk, dans l’enclave russe de Kaliningrad, à l’est de la Pologne, selon la même source.
Le site internet spécialisé marinetraffic.com a, quant à lui, annoncé jeudi avoir repéré le bâtiment au large des côtes norvégiennes.
Le cargo de 9.000 tonnes est ensuite attendu le 17 juillet à Saint-Pétersbourg, encore plus à l’est dans la Baltique, a de son côté souligné Femco, également citée par Interfax.
On ignorait toutefois si l’Alaed allait en fin de compte lui-même directement livrer sa cargaison en Syrie.
Des révélations sur la mission de ce cargo avaient poussé son assureur britannique à résilier son assurance, ce qui l’avait empêché de facto d’entrer dans quelque port que ce soit pendant son précédent périple et l’avait obligé à retourner dans les eaux russes.
La Russie, alliée au régime de Damas, avait reconnu le 21 juin que l’Alaed transportait du matériel de défense antiaérienne et trois hélicoptères Mi-25 appartenant à la Syrie et remis en état sur le territoire russe.
Moscou va poursuivre ses livraisons à la Syrie de systèmes de défense antiaérienne et honorer les contrats conclus dès 2008 sur la réparation des hélicoptères fournis à ce pays, a annoncé mercredi le directeur adjoint du service fédéral de coopération militaire, Viatcheslav Dzirkaln.
Par ailleurs, un groupe de navires de guerre russes, avec à sa tête l’Admiral Tchabanenko, un bâtiment de lutte anti-sous-marine, a quitté mardi Severomorsk, près de Mourmansk, pour le port syrien de Tartous, seule base navale russe en Méditerranée.
D’autres navires, de la Flotte de la Baltique et de la Flotte de la mer Noire, devaient les rejoindre pour participer à cette mission, c’est-à-dire, affirment les autorités russes, à des manoeuvres sans rapport avec les événements en Syrie.
Une source anonyme citée par Interfax a à ce sujet déclaré que deux bâtiments de guerre de la Flotte de la Baltique faisant route vers la Méditerranée pourraient assurer la protection de l’Alaed.
(©AFP / 13 juillet 2012 15h25)
Les Etats-Unis accélèrent le déploiement d’un porte-avions au Moyen-Orient
WASHINGTON – La marine américaine va accélérer le déploiement d’un porte-avions et de son escorte au Moyen-Orient pour faire face aux tensions dans la région, notamment en Iran et en Syrie, a affirmé lundi le porte-parole du Pentagone, George Little.
Le secrétaire (à la Défense Leon Panetta) a approuvé en fin de semaine dernière la requête du Central Command afin d’accélérer de quatre mois le déploiement de l’USS John-Stennis, a déclaré M. Little à des journalistes.
Le Centcom est le commandement américain responsable du Moyen-Orient, qui s’étend de la mer Rouge au Golfe et à la partie occidentale de l’océan Indien.
Ces dernières semaines, l’USS Abraham-Lincoln et l’USS Enterprise se trouvaient dans cette zone.
Le Lincoln a passé lundi le canal de Suez vers la Méditerranée, a annoncé la Marine américaine. Il doit être remplacé dans les prochains jours par l’USS Dwight-Eisenhower.
Actuellement en Méditerranée orientale, l’Eisenhower aurait dû se retrouver seul dans la zone après le départ de l’Enterprise, qui sera finalement remplacé à la fin de l’été par le Stennis, selon George Little.
La politique du Pentagone est de maintenir en permanence une moyenne annuelle de 1,7 porte-avions dans la région dépendant du Centcom, sur les 11 de l’inventaire américain. Depuis début 2012, deux porte-avions se sont toujours trouvés sur zone, signe des tensions dans la région, que le déploiement accéléré du Stennis ne fait que confirmer.
Le John-Stennis avait rejoint son port d’attache de Bremerton (Etat de Washington, nord-ouest) seulement en mars, après huit mois de déploiement. Au début de l’année, l’Iran avait menacé de s’en prendre aux navires militaires américains qui repasseraient le détroit d’Ormuz après que le porte-avions eut croisé dans le Golfe.
Plusieurs navires, dont des porte-avions, sont depuis retournés dans le Golfe sans que Téhéran ne réagisse mais les tensions restent fortes et les Etats-Unis ont renforcé de manière significative leurs moyens militaires dans la région, notamment en matière de lutte contre les mines.
Le détroit d’Ormuz est un goulet stratégique par lequel transitent 40% des exportations mondiales de pétrole par voie maritime. Leon Panetta a averti que son blocage constituerait une ligne rouge pour les Etats-Unis.
(©AFP / 16 juillet 2012 19h22)
L’armée turque déploie des missiles sol-air à la frontière syrienne
ISTANBUL – L’armée turque a renforcé son dispositif le long de la frontière syrienne avec l’envoi dimanche de batteries de missiles sol-air et de véhicules de transport de troupes à Mardin (sud-est), a rapporté l’agence de presse Anatolie.
Un convoi ferroviaire transportant plusieurs batteries de missiles antiaériens et de véhicules de transport de troupes est arrivé à la gare de Mardin, placée pour l’occasion sous haute surveillance, a affirmé Anatolie.
Le convoi comprenait au moins cinq véhicules équipés de missiles anti-aériens, selon des images diffusées par la chaîne NTV.
Les équipements doivent être répartis au sein des différentes unités déployées le long de la frontière syrienne, a ajouté l’agence, citant une source militaire locale.
Ces mouvements interviennent alors que trois des sept postes-frontières syriens avec la Turquie ont été pris par les rebelles syriens au cours des six derniers jours.
Les relations entre la Turquie et la Syrie, très mauvaises depuis le début de la répression des mouvements de contestation du régime du président Bachar al-Assad, en mars 2011, se sont gravement tendues fin juin après que la défense antiaérienne syrienne a abattu un avion de combat turc au large de ses côtes.
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a alors annoncé que les règles d’engagement militaire vis-à-vis de la Syrie avaient été changées, de telle sorte que tout élément militaire qui posera (…) un danger de sécurité à la frontière turque venant de la Syrie sera considéré comme une cible.
Ces déclarations ont été suivies par le déploiement de batteries antiaériennes le long de la frontière, et des patrouilles aériennes ont survolé les abords de la frontière à plusieurs reprises début juillet alors que des hélicoptères syriens s’en approchaient.
(©AFP / 22 juillet 2012 16h16)
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Cette brève escale dans leur base servait de ravitaillement, mais lequel au juste.. Simplement des vivres?